Brazzaville: 26 véhicules d’un réfugié Rwandais au nom de Martin Byiringiro partis en fumée

Voilà à quoi ressemble ce qui était le Parking des véhicules de transport en commun de la Rue Eboundji 14/lycée Nkombo à Brazzaville d’un réfugié Rwandais au nom de Martin Byiringiro où 26 véhicules composés de 14 Bus (Coaster); 9 mini Bus (Hiace) ,2 Dynas et 1 Jeeps Toyota V8 partis en fumée dans un incendie visiblement d’origine Criminel ce jeudi 09 mars 2017 vers 02H00 du matin .

-vers 02H00 du matin les gardiens ont été révélées subitement par les flammes dans le Parking et dans moins de 5 minutes tous les véhicules pourtant diesels avaient simultanément pris feu ainsi ils n’ ont pas eu le temps de faire grand chose et même les sapeurs pompiers qui n ‘ ont pas tardé à arriver sur place n ‘ ont fait que constater les dégâts.

Néanmoins tout indique qu’il s ‘ agit bien’ un incendie d’origine Criminel et par des personnes spécialisées qui ont soigneusement préparé cet opération commandos.

Au réveil les gardiens témoignent avoir vu étonnamment que tous les véhicules en série étaient en flammes alors qu’ils étaient Diesels ce qui est bien évidemment étrange.

Les gardiens affirment qu’aucune source de feu pouvant provoquer une incendie de cet ampleur ne se trouvait dans le Parking car il y avait même pas de courant électrique dans le cartier (délestage) .

Insécurité grandissante

Cet incident vient après un autre sur un autre grand commerçant et réfugié Rwandais de renom très connu sur le nom de MUROKORE qui a été surpris par des hommes en armes (5) à l’aube qui ont fait irruption dans sa maison en déguisement des forces de l’ordre qui sont réparties après avoir lui dépouiller plusieurs millions de francs cfa .des sources concordantes confirment le montant de plus de 75.000.000 FCFA (soixante quinze millions)

Peu avant précisément dans le quartier commercial de TEXACO un certain dimanche, les commerçants Réfugiés Rwandais ont été ciblé par la police du poste de police de Plateau sans ordre précis de l ‘ hiérarchie selon les explications de ce dernier interrogé après cet incident, pour leurs demander les cartes de séjour ce qui est très étonnant et étrange car d’habitude la police sais bien que les réfugiés Rwandais n’ ont que les cartes d’ identité de réfugiés et qui est suffisant selon la loi.

Ces réfugiés commerçants se sont vus embarqué dans le véhicule de la police (Toyota BJ) comme des voleurs et ils ont été obligé de payer les amandes de 36.000 FCFA (trente six mille) certains même ont passé la nuit au cachot alors que leurs cartes étaient en cours de validité.

Ces événements étrange et inhabituels s’ accentuent à l’approche de la date butoir du 31 décembre 2017 prévu pour la cessation de statut de réfugiés et au moment où la commission d’éligibilité au statut de réfugiés chargée d’examiner et de décider à toute indépendance les demandes d’exemption à la cessation de statut de réfugiés est en train d’examiner ces demandes et après la mise en place de l’ambassade du Rwanda à Brazzaville qui a tout fait pour sensibiliser les réfugiés Rwandais au retour au pays sans succès.

On peut se demander avec raison si ces événements haut cités ne sont pas liés avec les mots que parfois les diplomates Rwandais utilisaient pendant la sensibilisation qu’après la date du 31 décembre 2017 les réfugiés auront forte à faire avec la police que donc le seul moyen d’échapper est de rentrer ou d’accepter les passeports Rwandais et rester au Congo comme expatriés.

Il paraît que certains des réfugiés commerçants haut cités ont déjà eu la réponse positive de la commission d’éligibilité ce qui peut donc expliquer l’acharnement contre eux avec pour but soit de les punir ou encore pour intimidation des restes pour qu’ils comprennent que la seule chose à faire est de rentrer.

De toutes les façons les réfugiés Rwandais sont très inquiet en pensant que ce n’est que le début et que le pure risque de s’ abattre sur eux dans les jours à venir par des personnes qui ne souhaitent que de mal pour n’avoir pas faire leur volonté, c’est pourquoi ils souhaitent que les enquêtes approfondies soient menées pour voir si leurs inquiétudes sont fondées.