HervéTV n°6 – Rwanda: victime de harcèlement, j’ai décidé de parler!

Samedi 30 mars 2019, je me suis rendu au commissariat de police de Bastia afin de déposer plainte contre un individu qui, depuis juin 2018 a entrepris de me harceler à la suite de la parution de mon livre « Rwanda, vingt-cinq années de mensonges » (Ed. Vincentello d’Istria, mars 2018). Cet individu a écrit une lettre de 8 pages qu’il envoie systématiquement à tous les libraires, médias, centres culturels, bibliothèques de Corse et de France continentale. En gros il, m’accuse d’être un « négationniste » du génocide d’avril-juin 1994 contre les Tutsis du Rwanda. Je n’ai jamais nié ce génocide, je fais même partie de ceux qui l’ont dénoncé, dès mon premier séjour au Rwanda en 1996, et dès mon premier livre « Kadogo, enfants des guerres d’Afrique centrale » (L’Harmattan, 2003). Cependant, dans mes écrits et en particulier dans le livre paru en 2018, j’affirme aussi que si des centaines de milliers de Tutsis ont bel et bien été massacrés sur ordre des autorités intérimaires du Rwanda et par des milices armées hutu entre avril et juin 1994, des centaines de milliers Hutus ont également été massacrés avant, durant et après cette même période et que ces massacres-là ont ensuite touché les Hutus réfugiés au Congo/Zaïre ainsi que la population congolaise (à partir de 1996). Le 10 mars dernier, j’ai co-organisé une conférence-débat sur la Corse, à Calvi. Cela n’avait rien à voir avec le Rwanda. Quelques jours plus tard, le responsable de l’établissement où a eu lieu cette conférence a lui aussi reçu le fameux courrier de 8 pages de l’individu. C’est ce dernier fait qui m’a convaincu de réagir et de porter plainte, après être resté passif et silencieux pendant près d’une année. C’est chose faite aujourd’hui. J’ajoute que je ne suis pas coutumier de ce genre de procédure: c’est la première fois que je porte plainte. Mais là, cet individu est allé trop loin. Qu’il sache que je suis plus que jamais déterminé à offrir aux lecteurs ma part de vérité sur ce qui s’est réellement passé au Rwanda. Je dirais même que sa malveillance m’a fortement stimulé!

2 COMMENTS

  1. Par les menaces, chantages et autres méfaits à l’endroit de ceux osent dire la Vérité et rien que la Vérité sur les massacres qui ont été commis au Rwanda, qualifiés de génocide exclusivement des Tutsi, tels que Judi Rever, Anjan Sundaram et Hervé Chezeuville et autres, les excroissances du régime sanguinaire Kagame reconnaissent leurs méfaits et confirment a contrario les affirmations des chercheurs de la VERITE.
    Mentir c’est bon mais encore faut-il que l’auteur du mensonge soit sûr et certain qu’il ne sera pas démasqué. L’histoire nous a appris qu’un menteur finit par être démasqué ou à se démasquer lui-même. C’est ce qui se passe avec ces individus qui ont tenté de faire taire Chezeuville.
    Que dit celui-ci? Globalement, au vu de ses écrits, certaines questions simples et faciles à comprendre même par une personne frappée d’insanité d’esprit peuvent être posées. Il est de notoriété publique que ce sont les Tutsi regroupés au sein d’une organisation politico-militaire dénommée FPR qui ont déclenchée la guerre contre le Rwanda dirigé majoritairement pas les Hutu . Leur objectif était de s’emparer du pouvoir par la force ( voir des entretiens de Kagame avec plusieurs journaux dont The Monitor Ougandais, du vendredi 26 février au 2 mars 1993 avec le journaliste Charles Onyango-Obbo), et l’exercer effectivement au sein d’un nouveau régime, que des milliers de Tutsi du Rwanda et des pays voisins de celui-ci ont quitté les écoles , universités et leur travail pour s’enrôler massivement dans le FPR contre les Hutu, leurs voisins et amis, que ce sont les Tutsi qui ont commencé les massacres contre les Hutu et qu’en réaction, ces derniers ont massacré les Tutsi, que le 6 avril 1994, le Président Hutu qui, pourtant avait signé l’Accord de Paix avec les Tutsi, a été assassiné par Kagame qui incarne les Tutsi ( voir ses aveux publics devant des millions de Rwandais), qu’immédiatement après l’assassinat du Président Hutu Habyarimana, les éléments des forces spéciales du FPR infiltrés dans la ville de Kigali sont entrés en action: assassinat des Hutu et membres de leurs familles listés, canarder la Garde Présidentielle etc., que les Hutu ont alors commencé à massacrer les Tutsi, que le Général Roméo Dallaire, Commandant en chef des forces onusiennes au Rwanda a été informé par Kagame du cataclysme imminent et il l’a couvert. Il s’explique dans son livre J’ai serré la main du Diable ”, pp. 278-279 en ces termes : “Je devais absolument entrer en contact avec les chefs militaires des deux parties pour me faire une idée de la situation. Le samedi matin, le 2 avril, j’ai rencontré le Ministre de la Défense […] Je suis arrivé en lui débitant à toute allure la liste de ses omissions et de ses engagements non remplis […] Après l’avoir quitté, j’ai pris un hélicoptère pour Mulindi pour rencontrer Kagame après le déjeuner. Il m’a paru distant et un peu renfermé lorsque je lui ai posé la même longue liste de questions épineuses. Il a réagi à peine, même lorsque je lui ai annoncé que j’avais reçu mes hélicoptères et que nous allions commencer nos opérations de reconnaissance de façon régulière au-dessus de tout le pays, y compris de sa zone d’opérations. Son attitude était un peu surprenante, étant donné qu’il s’ingéniait à garder le secret sur les mouvements des troupes du FPR et leurs capacités de frappe […] Finalement, je lui ai demandé s’il avait des questions à me poser. Il a voulu savoir ce qui se passait relativement à la proposition concernant l’admission du CDR et du PDI. J’ai regardé son visage. Jamais, je ne l’avais jamais vu aussi sombre. Il a seulement ajouté que nous étions à la veille d’un cataclysme et qu’une fois enclenché, aucun moyen ne permettrait de le contrôler. »
    Dans ces conditions, comment Kagame et les siens peuvent-ils soutenir que les Hutu ont planifié et exécuté le génocide contre les Tutsi d’une part et nier les massacres des Hutu d’autre part? Le fait de préciser la chronologie des faits constitue-t-il un crime de négation du génocide tel qu’il est défini par l’article 211-1 du code pénal français? Les Batutsi incarnés par Kagame pouvaient-ils prendre le pouvoir par la force en violation totale de l’accord qu’ils venaient pourtant de signer avec les Hutu et l’exercer effectivement dans u Rwanda majoritairement Hutu sans réduire ceux-ci à une proportion acceptable par eux et décapiter le leadership Hutu? Pouvaient-ils assassiner un Président Hutu sans provoquer la réaction foudroyante des Hutu contre les Tutsi mêmes les innocents? Quels sont les conséquences de la décapitation de l’opposition par Kagame par les assassinats de Gapyisi Emmanuel, vice-président du MDR et de Gatabazi Félicien, secrétaire exécutif du PSD sur les relations entre les Hutu et les Tutsi de Gikongoro et de Butare, régions natales de victimes?
    Kagame avait manifestement prévu des massacres de masse contre les Tutsi, appelé par lui de cataclysme, consécutivement à l’assassinat du Président Habyarimana. Les Tutsi et les pro-Tutsi français n’ont qu’à s’en prendre à Kagame et nullement à Chezeuville.
    A regard de l’ensembles des faits, qui a effectivement commencé les massacres des Rwandais, peu importe leur qualification juridique? Le génocide est une qualification juridique des faits et non pas un fait. Le génocide est une question d’intention et non pas de quantité, sachant qu’il y a eu numériquement plus de Hutu tués que des Tutsi tués entre 1 octobre 1990 et 31 décembre 1994. Une confusion est faite entre le génocide et fait criminel à qualifier juridiquement. In fine, le mot génocide est utilisé à tort et à travers par certains. Dans le cas du Rwanda, qui a planifié le génocide des Tutsi? Quand, où et comment? Pourquoi Kagame et les siens ont sorti ce mot pour la première fois en 2008 et non avant? C’est en 2008 qu’ils se sont rendus compte que les massacres contre les Tutsi doivent être qualifiés de génocide? Des milliers de cranes de Rwandais sont exposés comme des produits d’exhibition touristique dans divers mémoriaux construits sur l’ensemble du Rwanda, le tout au mépris total de la tradition séculaire de notre pays qui impose le respect des morts en tout état de cause. Depuis 2008, ces cranes des Rwandais ont été réduits exclusivement à ceux des Tutsi. Kagame et les siens ont chiffré les victimes Tutsi. Elles sont plus d’un million. Comment, dans ces milliers de cranes, Kagame et les siens ont -ils fait pour distinguer des cranes des Tutsi de ceux des Hutu et conclure que le nombre des victimes Tutsi sont plus d’un millions sur une population qui, au demeurant, ne dépassait pas 590000? Qui comprend comment les personnes qui prétendent avoir perdu les leurs dans ces massacres peuvent-ils exposer leurs cranes au titre des produits d’exhibition touristique que tout étranger qui vient ici doit nécessairement aller regarder ? Où est le rapport avec le génocide des Juifs ? Les Juifs exposent-ils les cranes des leurs au titre de produits d’exhibition touristique ? Au regard des dires de Kagame et les siens dont les membres d’Ibuka-France, ils ont érigé les mensonges au rang de la science. Ils disposent d’une haute expertise dans ce domaine à tel point qu’ils ont pu faire avaler aux Français ignorants que le nombre de plus d’un million indiqué sur les stèles construites en France à la mémoire des victimes Tutsi doit être retenu et enseigné dans les écoles françaises. Question posée aux juriste français : inscrire sciemment un chiffre erroné sur un monument historique qu’est une stèle dédiée aux victimes Tutsi rwandais est-il constitutif d’une infraction ? Dans l’affirmative, quelles sont les sanctions encourues par les auteurs en l’espèce Ibuka-France ? Dans la négative, pourquoi ?
    C’est en raison de ces mensonges qui ont été colportés à grande échelle par les excroissances du régime Kagame opérant en France et retenus pour les Saintes Ecritures par les ignorants français et étrangers que les maîtres chanteurs contre Chezeuville s’activent pour l’empêcher de démarquer les imposteurs menteurs. Car la Vérité est portée à la connaissance du public français, les menteurs et imposteurs en tous genres seront démasqués les grandes portes qui leurs sont ouvertes depuis un certain temps se fermeront. C’est pourquoi, les têtes de Chezeuville, Judi Rever et Anjan Sundaram sont mises à prix par Kagame et ce, pour plus d’un million de dollars US. Ils ne plaisantent pas. Chezeuville doit prendre au sérieux les ménaces qu’il a reçues.

  2. Par les menaces, chantages et autres méfaits à l’endroit de ceux osent dire la Vérité et rien que la Vérité sur les massacres qui ont été commis au Rwanda, qualifiés de génocide exclusivement des Tutsi, tels que Judi Rever, Anjan Sundaram et Hervé Chezeuville et autres, les excroissances du régime sanguinaire Kagame reconnaissent leurs méfaits et confirment a contrario les affirmations des chercheurs de la VERITE.
    Mentir c’est bon mais encore faut-il que l’auteur du mensonge soit sûr et certain qu’il ne sera pas démasqué. L’histoire nous a appris qu’un menteur finit par être démasqué ou à se démasquer lui-même. C’est ce qui se passe avec ces individus qui ont tenté de faire taire Chezeuville.
    Que dit celui-ci? Globalement, au vu de ses écrits, certaines questions simples et faciles à comprendre même par une personne frappée d’insanité d’esprit peuvent être posées. Il est de notoriété publique que ce sont les Tutsi regroupés au sein d’une organisation politico-militaire dénommée FPR qui ont déclenchée la guerre contre le Rwanda dirigé majoritairement pas les Hutu . Leur objectif était de s’emparer du pouvoir par la force ( voir des entretiens de Kagame avec plusieurs journaux dont The Monitor Ougandais, du vendredi 26 février au 2 mars 1993 avec le journaliste Charles Onyango-Obbo), et l’exercer effectivement au sein d’un nouveau régime, que des milliers de Tutsi du Rwanda et des pays voisins de celui-ci ont quitté les écoles , universités et leur travail pour s’enrôler massivement dans le FPR contre les Hutu, leurs voisins et amis, que ce sont les Tutsi qui ont commencé les massacres contre les Hutu et qu’en réaction, ces derniers ont massacré les Tutsi, que le 6 avril 1994, le Président Hutu qui, pourtant avait signé l’Accord de Paix avec les Tutsi, a été assassiné par Kagame qui incarne les Tutsi ( voir ses aveux publics devant des millions de Rwandais), qu’immédiatement après l’assassinat du Président Hutu Habyarimana, les éléments des forces spéciales du FPR infiltrés dans la ville de Kigali sont entrés en action: assassinat des Hutu et membres de leurs familles listés, canarder la Garde Présidentielle etc., que les Hutu ont alors commencé à massacrer les Tutsi, que le Général Roméo Dallaire, Commandant en chef des forces onusiennes au Rwanda a été informé par Kagame du cataclysme imminent et il l’a couvert. Il s’explique dans son livre J’ai serré la main du Diable ”, pp. 278-279 en ces termes : “Je devais absolument entrer en contact avec les chefs militaires des deux parties pour me faire une idée de la situation. Le samedi matin, le 2 avril, j’ai rencontré le Ministre de la Défense […] Je suis arrivé en lui débitant à toute allure la liste de ses omissions et de ses engagements non remplis […] Après l’avoir quitté, j’ai pris un hélicoptère pour Mulindi pour rencontrer Kagame après le déjeuner. Il m’a paru distant et un peu renfermé lorsque je lui ai posé la même longue liste de questions épineuses. Il a réagi à peine, même lorsque je lui ai annoncé que j’avais reçu mes hélicoptères et que nous allions commencer nos opérations de reconnaissance de façon régulière au-dessus de tout le pays, y compris de sa zone d’opérations. Son attitude était un peu surprenante, étant donné qu’il s’ingéniait à garder le secret sur les mouvements des troupes du FPR et leurs capacités de frappe […] Finalement, je lui ai demandé s’il avait des questions à me poser. Il a voulu savoir ce qui se passait relativement à la proposition concernant l’admission du CDR et du PDI. J’ai regardé son visage. Jamais, je ne l’avais jamais vu aussi sombre. Il a seulement ajouté que nous étions à la veille d’un cataclysme et qu’une fois enclenché, aucun moyen ne permettrait de le contrôler. »
    Dans ces conditions, comment Kagame et les siens peuvent-ils soutenir que les Hutu ont planifié et exécuté le génocide contre les Tutsi d’une part et nier les massacres des Hutu d’autre part? Le fait de préciser la chronologie des faits constitue-t-il un crime de négation du génocide tel qu’il est défini par l’article 211-1 du code pénal français? Les Batutsi incarnés par Kagame pouvaient-ils prendre le pouvoir par la force en violation totale de l’accord qu’ils venaient pourtant de signer avec les Hutu et l’exercer effectivement dans u Rwanda majoritairement Hutu sans réduire ceux-ci à une proportion acceptable par eux et décapiter le leadership Hutu? Pouvaient-ils assassiner un Président Hutu sans provoquer la réaction foudroyante des Hutu contre les Tutsi mêmes les innocents? Quels sont les conséquences de la décapitation de l’opposition par Kagame par les assassinats de Gapyisi Emmanuel, vice-président du MDR et de Gatabazi Félicien, secrétaire exécutif du PSD sur les relations entre les Hutu et les Tutsi de Gikongoro et de Butare, régions natales de victimes?
    Kagame avait manifestement prévu des massacres de masse contre les Tutsi, appelé par lui de cataclysme, consécutivement à l’assassinat du Président Habyarimana. Les Tutsi et les pro-Tutsi français n’ont qu’à s’en prendre à Kagame et nullement à Chezeuville.
    A regard de l’ensembles des faits, qui a effectivement commencé les massacres des Rwandais, peu importe leur qualification juridique? Le génocide est une qualification juridique des faits et non pas un fait. Le génocide est une question d’intention et non pas de quantité, sachant qu’il y a eu numériquement plus de Hutu tués que des Tutsi tués entre 1 octobre 1990 et 31 décembre 1994. Une confusion est faite entre le génocide et fait criminel à qualifier juridiquement. In fine, le mot génocide est utilisé à tort et à travers par certains. Dans le cas du Rwanda, qui a planifié le génocide des Tutsi? Quand, où et comment? Pourquoi Kagame et les siens ont sorti ce mot pour la première fois en 2008 et non avant? C’est en 2008 qu’ils se sont rendus compte que les massacres contre les Tutsi doivent être qualifiés de génocide? Des milliers de cranes de Rwandais sont exposés comme des produits d’exhibition touristique dans divers mémoriaux construits sur l’ensemble du Rwanda, le tout au mépris total de la tradition séculaire de notre pays qui impose le respect des morts en tout état de cause. Depuis 2008, ces cranes des Rwandais ont été réduits exclusivement à ceux des Tutsi. Kagame et les siens ont chiffré les victimes Tutsi. Elles sont plus d’un million. Comment, dans ces milliers de cranes, Kagame et les siens ont -ils fait pour distinguer des cranes des Tutsi de ceux des Hutu et conclure que le nombre des victimes Tutsi sont plus d’un millions sur une population qui, au demeurant, ne dépassait pas 590000? Qui comprend comment les personnes qui prétendent avoir perdu les leurs dans ces massacres peuvent-ils exposer leurs cranes au titre des produits d’exhibition touristique que tout étranger qui vient ici doit nécessairement aller regarder ? Où est le rapport avec le génocide des Juifs ? Les Juifs exposent-ils les cranes des leurs au titre de produits d’exhibition touristique ? Au regard des dires de Kagame et les siens dont les membres d’Ibuka-France, ils ont élevé les mensonges au rang de la science. Ils disposent d’une haute expertise dans ce domaine à tel point qu’ils ont pu faire avaler aux Français ignorants que le nombre de plus d’un million indiqué sur les stèles construites en France à la mémoire des victimes Tutsi doit être retenu et enseigné dans les écoles françaises. Question posée aux juriste français : inscrire sciemment un chiffre erroné sur un monument historique qu’est une stèle dédiée aux victimes Tutsi rwandais est-il constitutif d’une infraction ? Dans l’affirmative, quelles sont les sanctions encourues par les auteurs en l’espèce Ibuka-France ? Dans la négative, pourquoi ?
    C’est en raison de ces mensonges qui ont été colportés à grande échelle par les excroissances du régime Kagame opérant en France et retenus pour les Saintes Ecritures par les ignorants français et étrangers que les maîtres chanteurs contre Chezeuville s’activent pour l’empêcher de démarquer les imposteurs menteurs. Car la Vérité est portée à la connaissance du public français, les menteurs et imposteurs en tous genres seront démasqués les grandes portes qui leurs sont ouvertes depuis un certain temps se fermeront. C’est pourquoi, les têtes de Chezeuville, Judi Rever et Anjan Sundaram sont mises à prix par Kagame et ce, pour plus d’un million de dollars US. Ils ne plaisantent pas. Chezeuville doit prendre au sérieux les ménaces qu’il a reçues.

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