Judi Rever a littéralement déconstruit les théories des oligarques du régime Kagame et les excroissances de celui-ci opérant à l’étranger

Par César

Judi Rever a littéralement déconstruit les théories des oligarques du régime Kagame et les excroissances de celui-ci opérant à l’étranger, en l’occurrence en Belgique, France et Canada jusqu’là retenues pour les saintes écritures par les ignorants.

Ces théories ont été colportées à grande échelle par certains médias belges et français. Ils sont la voix de Kagame et de son régime dans leurs pays. Nonobstant la VERITE CRUE et irréfutable portée à la connaissance du monde entier par Judi REVER, relativement aux crimes qui ont été commis dans notre pays d’une part et à leurs auteurs d’autre part, pour les médias français et belges, cela ne change rien sur leur soutien à Kagame et à son régime. Dès lors qu’ils ont le pouvoir d’information et de désinformation, la déconstruction de leurs affirmations subjectives et orientées par Judi Rever est et sera sans effet. Ainsi, les faits qui se sont révélés erronés à tous les égards à savoir le chiffre de 800000 morts rwandais majoritairement Hutu continue à être colporté à grande échelle par certains médias européens et repris moutonnement par des millions d’Africains et européens ignorants . Ce chiffre a été rayé du vocabulaire des prétendus experts du Rwanda du moins conséquents avec eux-mêmes. Sur les stèles qui ont été construites en France par le Gouvernement Kagame via Ibuka avec l’appui des amis des Batutsi Rwandais et non pas des Rwandais, à mémoire des Batutsi, victimes du génocide commis par les Bahutu, il est écrit clairement « plus d’un million de Tutsi ». Pour les médias français, le nombre de victimes Tutsi est de 800000, pour Kagame et les excroissances de son régime opérant en France, il est de plus d’un million.

Une inscription sur une stèle dédiée au mort doit impérativement être revêtue d’un caractère historique irréfutable. Il est flagrant que l’inscription qui a été effectuée par Ibuka sur ces stèles à la mémoire des victimes tutsi est totalement erronée et conséquemment dépourvue de caractère historique.

Il s’ensuit que la justice française et ou belge aurait logiquement dû actionner les auteurs de cette fausse inscription. Ils ont fabriqué des faits pour que le public français et belge en l’espèce puisse adhérer à leur invention.

Ce qui est excessivement grave, c’est que ces chiffres fantaisistes et erronées ont été inscrits dans les livres d’histoires, de droit etc de sorte que les élèves et étudiants français et belges ont retenu que les Hutu ont génocidé plus d’un million de Tutsi, plus de 800000 Tutsi, le tout sans même se poser préalablement trois questions élémentaires:

1/ Avant le 6 avril 1994, quel était le nombre de Tutsi au Rwanda et aujourd’hui, y a-t-il combien de Tutsi au Rwanda qui ont vécu le drame rwandais ?

2/ Dès lors que Kagame a interdit le recensement des Rwandais en fonction de leur appartenance ethnique, comment les auteurs de ces chiffres le sont-ils trouvés et comment ont-ils fait pour identifier spécialement des victimes Tutsi ?

3/ quelle est la source des auteurs de ces affirmations ?

Même leurs enseignants recopient moutonnement ces chiffres sans se poser préalablement ces question, le tout au regard des écrits sérieux actuellement disponibles sur le drame rwandais et les écrits des ‘ex-dirigeants du FPR sur ces chiffres précisément. On trouve ces chiffres dans les thèses de doctorants des étudiants de ces pays et des mémoires de fin d’études des étudiants rwandais. Un étudiant rwandais qui se pose ces questions avant de les recopier outre qu’il commet un crime de négation du génocide des Tutsi, il ne peut sûrement pas obtenir son diplôme.

Les Judi Rever et Charles Onana sont, à ce jour, inexistants aussi bien ici au Rwanda qu’en France et en Belgique en l’occurrence.

En France, l’arrivée du nouveau Président ne change rien quant aux missions de ces médias au bénéfice de Kagame et son régime.

A l’assemblée Nationale Française, une députée d’origine sénégalaise dénommée Siri Sylla a intégré la club des Kagamistes en France. Elle vient de créer un groupe dit d’Amitié Franco-Rwandaise dont elle est présidente. Elle est aujourd’hui la voix de Kagame, le tyran inique, unique et sanguinaire dans les annales de l’histoire de l’Afrique moderne auprès de Macron et au sein du Parlement Français. Lors de la commémoration de plus d’un million de Tutsi victimes dans le treizième arrondissement de Paris, il y avait une kyrielle d’autorités française vouées pro-régime Tutsi Rwandais. Il y avait également cette députée. Quelques minutes de silence ont été observées par les invités d’Ibuka-France, agence d’Ibuka , maison mère, branche du FPR ou syndicats de délateurs et malfaiteurs qui a à son actif des milliers de prisonniers, disparus et de cadavres de Rwandais Hutu et Tutsi de second rang. Ibuka est un des instruments d’oppression des Rwandais Hutu et Tutsi. Même les enfants et les avocats ne sont pas épargnés.

Kagame a assassiné six citoyens français. Puisqu’il était question d’observer quelques minutes de silence pour les morts Tutsi, une députée française et la Maire de Paris, Anne Hidalgon d’origine espagnole auraient exigé l’observation de quelques minutes de silence des victimes françaises.

Par leur silence, pour elles, seules les victimes Tutsi méritent compassion et justice.
Il est regrettable qu’une députée soit invitée par Ibuka, branche du FPR de Kagame, assassin notoire des citoyens français et qui, au surplus considèrent les victimes françaises comme des dommages collatéraux de la guerre qui a été déclenchée par les mêmes Tutsi dans un pays en paix d’une part et un sanguinaire notoire qui a, à son actif, des millions de cadavres de Rwandais, Congolais et Burundais. Ce qui est également étonnant, comme une maire de Paris ait-elle pu aller s’incliner devant une stèle dédiée aux victimes Tutsi alors qu’il est flagrant que celle-ci est revêtue d’une fausse inscription.

Le problème n’est pas les victimes Tutsi. Il est légitime d’Ibuka, organe du régime Tutsi puisse faire construire une stèle dédiée aux victimes Tutsi, dont quiconque de bonne foi ne peut nier l’existence même si la qualification juridique donnée par Kagame des crimes dont elles furent l’objet est juridiquement discutable. Ce qui grave c’est l’existence d’une fausse inscription sur une stèle avec intention effective d’abrutir les Français et les Belges ainsi que les publics divers ignorants.

Force est de constater le silence des oligarques du régime Kagame sur le livre de Judi Rever alors qu’ils ont réagi violemment sur le Que sais-je de Filip Reintjens alors que pour les Rwandais qui l’ont lu est un fourre-tout d’une part et il n’a jamais dit que les crimes qui ont été commis contre les Tutsi ne sont constitutifs de génocide d’autre part. Il a même écrit qu’il a la preuve sans la produire de la planification du génocide des Tutsi par Bagosora cité plusieurs fois par lui.

Kagame va-t-il émettre un mandat d’arrêt international contre Judi Rever pour négation du génocide des Tutsi ou va-t-il demander au premier ministre canadien de l’actionner et la mettre en cage pour négation du génocide des Tutsi ou va-t-il payer les tueurs à gage pour la liquider ? Ceux payés via l’ambassade du Rwanda en France pour liquider Charles Onana ont échoué car ils ont été démasqués avant la commission de leur funeste forfait.