LES FUTURS RADICALISE TUTSI RWANDAIS

Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. Proverbes 

La clique tribaliste tutsi au pouvoir à Kigali a sous son en prise tout une génération de rescapés tutsi sans famille ou quasiment seul du fait de la guerre civile hutu-tutsi. Les jeunes tutsi  isolés dans leurs groupements d’associations tel AERG (association des étudiants rescapés du génocide tutsi)…, Sous forme déguisé de rencontre de moralisation, causerie ou de soutien politique de l’état, ils subissent des séances de radicalisation à l’instar de celui livré par le général James KABAREBE en novembre 2019.

Pendant le mis au point ou mis en garde adressé aux jeunes tutsi et accompagne des menaces ouvertes en l’endroit de la jeunesse  hutu le conseil à la présidence rwandaise à force de trop parler a livré le plan génocidaire du FPR INKOTANYI.  Un proverbe biblique dit : Qui parle trop tombe forcément dans l’erreur. 

Bien que le général James KABAREBE aime prendre la parole en public, c’est un piètre orateur, il n’est ni à la hauteur de son autre frère tutsi tribaliste Jean Damacene BIZIMANA ni à la cheville de la plume de haine de Tom NDAHIRO un redoutable tribaliste dans l’âme. Il est plutôt audacieux et  rompu au métier des armées. 

Si dans le passé Paul KAGAME  ivre mort de colère et de haine a avoué avoir eu comme objectif de tuer un certain nombre de hutu au ZAÏRE-RDC 1996 et de regretter amèrement le peu de moyens à sa disposition pour faire beaucoup de victimes à l’époque des faits, 1990-1994 . Son conseil à la présidence de la République rwandaise quant à lui a dévoilé un autre pan de cette politique macabre du FPR Inkotanyi consistant à réduire à l’extrême pauvreté les hutu rescapés de ses campagnes des tueries multiples. Le général James KABAREBE dans sa prestation du novembre 2019 en face des jeunes homme tutsi inexpérimentés et démunis moralement de tout autre soutien en dehors de la propagande politique de victimisation, de la propagation de la peur et du déni de l’autre. A cet occasion les membres de L’AERG ont subit et aussi démontré à leur hôte leur attachement au langage et valeurs politiques des Inkotanyi à travers une série des questions et commentaires laudateurs. La négation de l’autre est la règle appris par cœur c.-à-d. par exemple les paysans hutu tués rodant dans leurs champs en quête des vivres durant la guerre civile de 1990-1994 est pour le FPR Inkotanyi des boucliers civils utilisés par les forces gouvernementales pour localisé les positions et abris des rebelles tutsi ….

Proverbes 22-6 :Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. 

Évidemment dans l’ordre naturel des choses l’invité de marque le général James KABAREBE a profité de cet occasion offerte, propice à semer la haine et la peur dans les cœurs des êtres innocents en quête des repères et modèles à suivre. 

Tout d’abord, le général James KABAREBE a eu le mérite de bien préciser à travers son résumé bref de l’histoire récent du Rwanda (1959-à nos jours) la nature tribal du conflit hutu-tutsi. De poursuivre son exposé en affirmant que le pouvoir actuel au Rwanda est un régime tribal tutsi. 

Les hutu en exil de votre âge sont aujourd’hui en position de remettre en cause l’ordre établi et de revendiquer leur retour aux affaires public comme en octobre 1990 lorsque les exils tutsi de leur âge Vôtre âge l’ont fait après 30 ans d’errance. La différence entre eux et nous ces jeunes hutu sont très dangereux car ils ont hérité de leur parents l’idéologie du génocide. En occident et en Afrique australe, après leur traumatisant périple ils ont réussi à s’intégrer dans leurs sociétés d’accueil échappant ainsi à notre contrôle et influence.  Ils doivent être réduits en bon à rien, useless. Là où ils méritent d’être sans risque de nous nuire. Pour se rendre utile à la cause, garde vous de perdre un instant sans le mettre au profit de toujours apprendre plus. Autrement vous seriez dépassé et non efficace à la cause. 

Sous le camouflage de la lutte contre l’idéologie du génocide, le conseil de Paul KAGAME invite et mobilise les jeunes rescapés tutsi à une croisade contre la démocratisation du Rwanda, contre le devoir de mémoire des victimes hutu des massacres programmés du FPR Inkotanyi et contre la révolution de 1959. Ces trois points indissociable sont indéfectiblement liés à la dignité et l’histoire des hutu comme membres de la communauté rwandaise. 

La lutte pour la démocratie au Rwanda est l’un d’enjeu majeur et défi politique à venir pour la nouvelle génération rwandaise. Or le FPR Inkotanyi par calcul machiavélique a massacré un grand nombre de tutsi lui est hostile tout en faisant porter le chapeau aux hutu dans l’idée d’imposer sur l’échiquier politique rwandais et international l’incompatibilité de la démocratie dans l’environnement politique local rwandais en question au nom de la survie du peuple tutsi. De cette manière à défaut de la majorité politique ou tribal le FPR Inkotanyi peut reléguer aux oubliettes la démocratie au Rwanda. Le rôle des Inkotanyi dans ce qui est appel le génocide tutsi doit être dénoncé et mis à nu pour le salut national. D’autant plus que le président Paul KAGAME dans ses excès de colère a donné un nom sans équivoque à cette stratégie politico-militaire : FAIRE PORTER UN FARDEAU À L’ENNEMI (Kw’ikoreza urutsyo) 
Le deuxième point et pas de moindre englobé dans la définition de l’idéologie du génocide, c’est la réclamation de justice des hutu victimes des massacres du FPR Inkotanyi et d’être reconnu à juste titre par l’Etat, par là de bénéficier de la même assistance que les rescapés tutsi et traduire les auteurs devant la justice. 

Le dernier point source des déchirements, c’est le travail intellectuel sur le servage des hutu en rapport avec le devoir de mémoire sur la période monarchique nyiginya-tutsi. Le rôle joué par les tutsi dans l’ancien régime a été étudié de fond en comble pour éclair la nouvelle société post la  révolution de 1959. Et barrer au retour du servage, le fameux plus jamais ça.  Or le FPR Inkotanyi est là pour restaurer et réhabiliter les valeurs de la société tutsi rwandais ancienne. Ces valeurs là sont entièrement et totalement en contradiction avec la société moderne. Le régime tutsi à Kigali fait d’amalgame sur ce point avec la haine du tutsi pour conclure à une définition vague, imprécis de l’idéologie du génocide.  Le manque de dialogue national libre et franc imposé de fait au nom du génocide combiné à la confusion et l’ escroquerie intellectuelle entretenu sciemment à ce sujet laisse la latitude aux Inkotanyi de réduire au silence leur adversaire politique. 

Le régime tutsi travaille d’arrache-pied pour élaboré l’idéologie du génocide tutsi avec beaucoup de mal et de peine. Car tout simplement, toute conduite dans la société humaine est régie par la législation, la réglementation, jurisprudence. Dans la matière d’idéologie,  il faut juger le régime du président Grégoire KAYIBANDA selon sa constitution de 1962 et les autres livres de loi idem pour le président Juvénal HABYALIMANA selon la constitution de 1978. A titre d’exemple l’idéologie nazi a imprimé des textes de loi et pris des mesures conduisant à la destruction des juifs. L’idéologie capitalisme a des textes de loi reconnaissant la liberté privée d’entreprendre, l’idéologie communiste a eu ses textes et conséquences. La conduite ou la haine menant à la destruction des Tutsi  n’a jamais été légalisé. Il n’y à pas de livres non plus conceptualisation la pensée de tuer les tutsi. Par contre la destruction des hutu est inscrite dans les textes de loi du régime FPR Inkotanyi, l’aveu du conseiller à la présidence constitue la plus belle preuve dans la matière juridique livré en public par ignorance et imprudence d’un homme clé du système Inkotanyi. 

PROVERBES :10. 18 :IL EST HYPOCRITE DE CACHER SA HAINE MAIS IL EST INSENSE DE RÉPANDRE UNE CALOMNIE 

La haine entre hutu-tutsi existe belle bien. Elle  a pour origine l’ancêtre  Kanyarwanda qui a condamné les hutu à servir les tutsi. Et Les guerres de conquête territoriale de la monarchie nyiginya-tutsi. Il est important de souligner que tout les Hutu ne sont pas issus de la même ethnie. Tout les nouvelles populations arrivant au Rwanda selon les guerres de conquête territoriale étaient réduit à la servitude au même titre que la population de la tribu hutu et sous cette appellation (hutu) d’où le nombre plus élevé des hutu par rapport aux tutsi.  En 1959, la majorité de la population rwandaise à remis en cause les valeurs anciennes déjà mises en mal par le christianisme et la colonisation en l’opposant justement aux valeurs chrétienne et de la démocratie. 

Le refus de réforme le Rwanda par le roi Mutara III RUDAHIRWA puis son successeur Kigeli V NDAHINDURWA (ni NDAHINDURWA koko) a provoqué et initié une escalade de violence, de la révolutionnaire et de la guerre civile de 1990 à présent. 

Les propos et l’appel du général James KABAREBE, conseiller à la présidence, ex ministre de la défense, ex chef d’état major des RDF, FARDC, le tombeur du feu maréchal MOBUTU, le bourreau des réfugiés hutu au Zaïre, l’homme dans le collimateur de la justice française et espagnole, l’assassin des présidents Juvénal HABYALIMANA et Cyprien NTARYAMIRA ne sont pas à prendre à la légère. Ils sont révélateur d’un mal qui gangrène la société rwandaise et la menace qui pèse sur la vie des hutu. Son CV ci-dessus témoigne aisément à son encontre. Sa place est en prison, il est mal placé pour combler le vide laissé par la disparition des familles des jeunes rescapés tutsi de L’AERG. 

Le nert  de la guerre est l’argent, la paupérisation des hutu comme moyen de se maintenir au pouvoir. Grosso modo l’intervention du général James KABAREBE résume la politique intérieure du FPR Inkotanyi :
La chasse au pauvre dans la ville de Kigali et marchands ambulants, la spoliation des terres et habitants des hutu, la fiscalité très élevée, la destruction des champs et récoltées des paysans, les normes et standards économiques hors de la porte de la majorité de la population, les problèmes de bourses scolaires et mutuel de santé…. Tout ces mesures et orientations politiques n’affectent que durement les hutu. Les tutsi à moindre mesure car ils sont largement et prioritairement privilégiés sur le marché du travail. Ils sont également bénéficiers d’aides financières à travers les fonds des rescapés tutsi du génocide. 

Cette fois-ci avec les propos limpide de la haute personnalité du régime de Kigali et membre imminent du FPR Inkotanyi et sa branche armée APR/RDF ; il est établi que la paupérisation des hutu comme tel en exil comme ceux de l’intérieur est l’un objectif principal poursuivi par la clique tutsi au pouvoir au Rwanda. Par conséquent, les textes de loi au nom de la lutte contre l’idéologie du génocide tutsi, sur le divisionnisme, négationnisme ou minimisation du génocide sont caduques. Sa nouvelle interprétation à l’aide des aveux du général James KABAREBE de facto condamne irrévocable pour crime de génocide le FPR Inkotanyi. 

Ainsi la fabrication et la lutte contre l’idéologie du génocide est une guerre sournoise des Tutsi pour dominer les hutu. Au lieu de promouvoir un état de droit garant de nos libertés, sécurité et la lutte contre l’ignorance source de L’incompréhension mutuel entre les différents tribus du Rwanda. C’est plutôt un épisode supplémentaire de guerre civile que le régime de Paul Kagame propose et prépare à sa jeunesse tutsi. On ne peut pas s’en empêcher de se demander si les futurs radicalisés, privés du libre arbitres dès leur plus jeune âge, élevé dans la négation de leur compatriotes hutu et dans la victimisation seront à hauteur des espérances de leurs aînés ? 

La solution à la crise rwandaise passe par un désarmement des esprits à travers un dialogue inclusif sur les origines de la société rwandaise, son évolution, ses défis identitaire actuels, ses valeurs et le serrage de la nouvelle alliance pour vivre ensemble dans un environnement libre, égalité en droit et paisible. Sans cela tout nos efforts, énergies physique et intelligence, les avances économiques seront toujours détruit et consommer par la guerre dans les différents intervalles de la vie de chaque génération. 

Jean UWIZEYE