Emmanuel Abayisenga watwitse Kiliziya ntabwo ari maneko: Ambasaderi Ndagijimana

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  1. Sur l’Affaire Abayisenge Emmanuel, il faut lisser les juges français faire leur travail. Seuls ces juges et eux seuls trouveront le pourquoi et le comment l’intéressé a commis l’irréparable c’est-à-dire incendier la Cathédral de Nantes.
    Par conséquent, tout commentaire sur le mobile ou sur ceci, cela est une spéculation.
    Mes observations sur les propos de Ndagijimana JMV sont les suivantes.
    1/ A moins de 39 ans, JMV Ndagije était numéro deux de la Fonction Publique de la République Rwandais. Il a représenté le Rwanda dans les conférences et sommets internationaux dédiés au travail dans le monde.
    2/ A moins de 39 ans, il était Ambassadeur de l’Etat Rwandais. Il a représenté honorablement notre pays dans les sommets et conférences internationaux. Au surplus, il état un de rares ambassadeurs rwandais de bonne qualité. La parfaite illustration est son esprit de synthèse et son éloquence (parler audiblement et sans répétition des mêmes mots ou avec utilisation de vocabulaire varié dans le temps imparti), le tout en sus de son bon niveau en culture générale).
    3/ Dans le Rwanda ancien, certains garçons de trente-neuf ans étaient de grands-pères.
    Il s’ensuit qu’Abayisenga Emmanuel, âgé de trente-neuf ans n’est un enfant et mais un adulte. Tout homme étant enfant comparativement à celui qui est plus âgé que lui. Je ne sais pas ci c’est dans ce que JMV Ndagije a voulu dire que ce premier est un enfant.
    Il a commis un délit et il savait ce qu’il faisait. Dans un premier temps, il a nié son méfait. Confronté à la réalité à savoir les preuves trouvées par les experts français sur le terrain, il a été contraint de reconnaitre son forfait.
    4/ Ce Rwandais a commis un délit. C’est l’auteur, indépendamment de son ethnie si on admet que les Hutu, Tutsi et Twa sont des ethnies dans notre pays au sens exact du terme (ce qui est discutable au regard de l’histoire et de la sociologie rwandaise) d’une part et le fait délictuel qu’il a commis d’autre part qui sont objectivement intéressants. C’est bien lui-même qui a commis le fait qui lui est imputé comme l’aurait fait toute autre personne, quelle que soit sa couleur. Par conséquent,évoquer son appartenance ethnique me semble hors sujet.
    5/ Sur son passé et son parcours, Ndagijimana n’a pas suffisamment d’éléments pour soutenir qu’il n’était pas agent de renseignement du FPR.

    Il sait très bien que des centaines de Rwandais étudiants, boursiers du Gouvernement Rwandais et non étudiants dans les pays occidentaux et dans certains Etats africains ont pour mission de recueillir des renseignements auprès des Rwandais listés aussi bien Hutu que Tutsi dont Ndagjimana lui-même. Certains sont arrivés dans ces pays comme demandeurs d’asile politique et ont obtenu la reconnaissance de statut de réfugié politique. Comment ont-ils obtenu le statut de réfugié politique ? Ils ont habilement bien exposé leur parcours et les raisons qui les ont conduits à quitter le Rwanda. Après l’obtention de leur statut, ils sont allés ou vont aux ambassades du Rwanda pour demander les passeports rwandais. Certains reviennent ici souvent au Rwanda. D’autres reviennent pour effectuer la formation militaire et retournent dans les pays où ils résident après leur formation. JMV Ndagije le sait très bien.
    Le problème se pose pour ceux qui échouent dans leur mission. En effet, lorsqu’un Rwandais qui avait le statut de réfugié dans un Etat Africain se voit refuser la reconnaissance de statut de réfugié politique par la France, les Rwandais considèrent que c’est pour des raisons sérieuses que la France a rejeté sa demandé et commencent à se méfier de lui. Beaucoup de cas existent aux USA, au Canada et ailleurs. Les intéressés, sommés de quitte les territoires des Etats qui les hébergent, ont été contraints de cracher le morceau.
    C’est donc à partir des cas d’espèce avérés que les Rwandais ont considéré ou considèrent que si Abayisenga avait le statut de réfugié politique au Malawi où il était et que la France a rejeté sa demande de reconnaissance de statut de réfugié politique et l’a sommé de quitté le territoire français, alors qu’ils ne connaissent pas un cas similaire depuis 1994, les dires selon lesquels il était espion du gouvernement sont rwandais sont alors plausible. C’est une affirmation qui peut être infirmée ou confirmée.
    Enfin, tous les Rwandais savent que la règle qui gouvernement le service de renseignement de Kagame est l’exclusion de tout échec dans les missions confiés à un agent professionnel ou amateur comme ces jeunes étudiants rwandais ci-dessus évoqués d’une part et aucun témoin ne doit survivre d’autre part. Des dizaines d’espions amateurs et professionnels du régime Kagame ont été arrêtés au Burundi. Ils ont décliné leurs identités et avoué être agents du service de renseignement rwandais. Le Gouvernement Rwandais a été informé de leur arrestation et emprisonnement. Qu’a-t-il fait ? Il a nié leur existence. Sont-ils combien et où sont-ils ? Certains sont morts par manque de soins et de maladie, d’autres ont disparu. Kagame ne tolère par l’échec. Aussi, pour éviter que l’espion qui a échoué ne prenne la tangente comme des milliers de Rwandais et divulgue ensuite ce qu’il sait et a vu, le nécessaire est fait par la police politique pour les mettre définitivement hors circuit : accident de route, empoisonnement (moyen largement utilisé), injection des produits nocifs pour la santé (l’intéressé décède à courte échéance), internement dans le centre psychiatrique de Ndera etc.
    S’il était effectivement espion du Gouvernement Rwandais, le fait de n’avoir pas obtenu le statut de réfugié politique en France signifie qu’Abayisenga Emmanuel a échoué dans sa mission. Il était Frappé d’OQTF dans un délai imparti. Tous les autres statuts lui ont été refusés par la France. Il était donc un SP et ne vivait que grâce aux bienfaiteurs dont l’Eglise catholique de Nantes. Il ne pouvait logiquement pas être contre ses bienfaiteurs.
    La question que tout Rwandais qui suit cette affaire se pose est la suivante. Devant l’OFPRA, il n’a pas démontré qu’il remplit les conditions requises par la convention de Genève sur les réfugiés aux fins d’obtention de reconnaissance de statut de réfugié politique. Pourquoi n’a-t-il pas voulu retourner au Rwanda, sachant qu’en tout état de cause, il sera arrêté et expulsé comme des milliers d’autres africains?
    C’est un Rwandais qui a commis un délit en France comme il aurait fait ici au Rwanda.
    Que la justice face son travail et dise le droit et rien que le droit. C’est seul Abayisenga qui connaît le mobile de son acte. Il le dira ou l’a dit aux juges français.
    Lorsqu’une personne comme un délit d’une telle gravité ou crime, il faut prier pour lui. C’est ce que les Rwandais doivent faire et éviter d’ergoter sur sa prétendue appartenance ethnique. Il y a des centaines de Rwandais qui, dans les buvettes et salons des pays occidentaux insultent Kagame et sont régime mais qui font les affaires avec les oligarques du régime et au surplus, reviennent ici au Rwanda. Je ne cite pas leurs noms. S’ils lisent the rwandan, ils se reconnaîtront. Connaître son passé ne signifie émettre un jugement de valeur sur lui et donner une opinion sur son acte.
    La Communauté des Rwandais de France, en réalité la Communautés des Rwandais triés sur le volet pro-régime Kagame a misérablement tenté d’ethniciser le fait délictuel qui a été commis par ce Rwandais dans l’unique dessein de dire aux Français que cet homme est tombé dans le milieu de génocidaires Hutu et ce sont ces derniers qui l’ont manipulé et poussé à commettre le fait qui lui est imputé.
    Je constate une contradiction flagrante dans leur assertion. Les membres de cette prétendue communauté de Rwandais de France ont colporté à grande échelle les accusations contre la France : la France a soutenu les génocidaires des Tutsi. Par conséquent, elle est directement impliquée dans ce génocide. Si les Hutu génocidaires et la France ont commis le génocide contre les Tutsi , pourquoi ces mêmes Hutu ont-ils alors manipulé un Rwandais pour incendier une Cathédrale française qui est un bien culturel de haute valeur ?
    L’auteur du fait délictuel est âgé de trente-neuf ans. Il n’est donc pas un enfant. Il n’est pas non plus prouvé qu’il est frappé d’insanité d’esprit ou est dépourvu de sens de jugement ou est un déséquilibré mental. Sur quoi les membre de cette pseudo communauté se sont-ils basés pour proférer une telle assertion? Qui sont ces génocidaires Hutu qui l’ont manipulé ?Ont-ils transmis leur liste à la justice française?

  2. nifuzaga kwibariza JMV Ndagijimana utubazo2;

    1/kuki wumva ko Minister Edouard Bamporiki

    abeshyera mama we?aramwanga?baba bapfa iki? niba utar’uhari bavugana wemezwa n’iki ko amubeshyera? iyo ntiyaba impamvu nyakuri ihamyako iby’uvuga byose bidakwiye kwizerwa?

    2/mbese waba witeguye kugarura ya 200.000$

    Leta yaguhaye ngo ujye gufungura Embassade

    ukagenda ugiye?

    ndagushimira n’unsubiza.ariko n’utansubiza nzakomeza kugufata nk’umuntu ubuz’ubwebge mu buzima

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