Padiri Thomas Nahimana yabajijwe aho yavanye amakuru ko Kagame atagifite ubushobozi bwo kuyobora

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  1. De quoi parle Père Nahimana?
    Il parle de
    1/ Président de la République Rwandaise, clef de voûte des institutions de notre pays;
    2/ Président Kagame qui incarne celle-ci
    3/ Décès de ce dernier depuis plusieurs mois, différent de Kagame, Président;
    4/ Conséquences de la mort du Président Kagame sur le fonctionnement normal des institutions, illustrées par des exemples précis et d’actualité;
    Il a mis ses détracteurs au défis de prouver le contraire notamment la présence physique de Kagame devant des millions de Rwandais;
    A mon sens, il s’agit d’un débat de haut niveau qui requiert que les intervenants et les détracteurs de Nahimana aient un bon niveau culturel. Ce qui n’est manifestement pas le cas au regard de leurs dires lors de leurs dires.
    Les points qui auraient dû faire l’objet de débat et d’explications de la part du Père Nahimaa, juriste sont
    1/ le Président Kagame, clef de de voûte des institutions de la République: sa place, ses missions et son rôle;
    2/ Les conséquences de son absence prolongée ou de son décès sur le Rwanda, sur le fonctionnement normal des institutions de la République Rwandaise et sur la vie des Rwandais prise au sens large;
    Kagame, personne physique est mortel . Ce n’est donc pas la mort de celui-ci qui est en jeu mais celle du décès du Président Kagame, selon Nahimana.
    Nahimana est un homme politique. Il parle de la macro-politique.
    Les échanges entre Nahimana et autres intervenants étaient dans notre langue. Les enfants d’exilés rwandais nés à l’étranger ne parlent pas le Kinyarwanda ou parlent le kinyarwanda de la maison. Il s’ensuit que Nahimana et autres ne se sont pas adressé au Rwanda de demain mais aux anciens qui, dans quelques années, seront hors jeu. Pour qu’il soit audible, il aurait été judicieux de s’adresser à des millions de jeunes rwandais en français. Bref, trouver le juste équilibre dans le choix de la langue dans laquelle il entend s’exprimer. Le constat est que la majorité de débats et entretiens entre avec les médias pilotés par les Rwandais sont en kinyarwanda. La conséquence logique est la suivante. A l’égard des jeunes, qui constitue le gros bataillon, ils sont inaudibles.

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