Umuvugizi wa R2UDA aravuga ko RIB yapfobeje Barafinda nk’ikiremwamuntu.

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  1. Sur ordre de Kagame, la police politique de son rĂ©gime a internĂ© dans un centre pysychiatrique un homme politique qu’est Barafinda.
    Ce qui est regrettable, aucune rĂ©action des prĂ©dicateurs des droits de l’homme, du ComitĂ© contre la torture, organe du HCDH de l’ONU d’une part et des dirigeants des partis d’opposition d’autre part ou des organisations
    rwandaise des droits de l’homme. Les agissements de KagameĂ  savoir torture, internement dans un centre psychiatrique d’un opposant politique, inoculation Ă  celui-ci des substances nocifs pour sa santĂ© Ă  court et Ă  moyen terme, dĂ©tention arbitraire et torture de Barafinda relèvent de la compĂ©tence du ComitĂ© contre la torture, organe du Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU. Parler c’est bon mais expressĂ©ment agir c’est encore mieux. La parole est retenue Ă  l’instant T et oubliĂ© Ă  l’instant T’.
    Pour savoir les produits qui ont Ă©tĂ© inoculĂ©s Ă  Barafinda, celui-ci peut aller se faire examiner dans les pays qui ont des mĂ©decins spĂ©cialisĂ©s et du matĂ©riel idoines pour le traiter. A dĂ©faut, quoi qu’il advienne, les produits qui lui ont Ă©tĂ© inoculĂ©s ont et auront nĂ©cessairement des consĂ©quences irrĂ©parables. C’est une question de temps. Si Kagame a monstrueusement agi en toute impunitĂ© contre Barafinda, au seul motif qu’il est opposant politique, critique les politiques publiques de Kagame et dĂ©nonce la corruption gĂ©nĂ©ralisĂ©e en sus des dĂ©tournements massifs de deniers publics par les oligarques du rĂ©gime, il pourra commettre les mĂŞmes mĂ©faits contre un opposant politique ou tout Rwandais qu’il veut liquider physiquement en douceur. Le problème majeur et inĂ©luctablement lourd de consĂ©quence pour notre pays est exclusivement Kagame. Il est responsable des malheurs qui se sont abattus sur le Rwanda. Le comble est que les opposants politiques rwandais ne parviennent pas Ă  dĂ©construire son fonds de commerce et le rĂ©duire de sorte qu’il ne puisse trouver preneur. Ce fonds de commerce est le gĂ©nocide dit des Tutsi dont les auteurs sont des Hutu. Les preneurs sont ceux qui ont gobĂ© ou gobent les fabulations de Kagme. Certains opposants politiques participent directement Ă  l’amplification de ces fabulations par la rĂ©pĂ©tition de celles-ci alors qu’ils ne sont pas en Ă©tat de prouver l’effectivitĂ© de leurs assertions. J’ai proposĂ© aux divers intervenant rwandais intellectuellement honnĂŞtes de dĂ©battre sur 1/ le gĂ©nocide et 2/ le gĂ©nocide des Tutsi, le tout auregard de l’histoire et de la sociologie de notre pays, de la chronologie des faits criminels qui ont Ă©tĂ© commis au Rwanda et de la situation contextuelle dans laquelle ces faits ont Ă©tĂ© commis. A mon sens, c’est au regar de ces Ă©lĂ©ments que les crimes qui ont Ă©tĂ© commis contre les Tutsi ( fait incontestable) qu’ils peuvent recevoir la qualification juridique de gĂ©nocide ou pas. Il en est de mĂŞme des crimes qui ont Ă©tĂ© commis contre les Hutu. Toute hiĂ©rarchisation des crimes et partant des victimes par qui que ce soit, doit ĂŞtre vigoureusement par les opposants politiques et les intellectuels rwandais. Cette hiĂ©rarchisation a nĂ©cessairement des consĂ©quences sur les rapports entre les Rwandais et le Rwanda dont il est, a priori, impossible de mesurer la gravitĂ©. Le gĂ©nocide est une qualification juridique des faits et nullement ces faits. pour se livrer Ă  une reproduction de ce mot, il faut ĂŞtre bien outillĂ© en matière de droit pĂ©nal et droit international. Il me semble qu’il faut donc laisser le dĂ©bat sur le gĂ©nocide et gĂ©nocide dit des Tutsi entre les experts rwandais dans ces domaines. Notre compatriote, professeur Kambanda, a donnĂ© l’exemple. Force est de constater qu’il n’a pas Ă©tĂ© suivi par les Ă©rudits rwandais en droit d’une part et que les Ă©rudits juristes de Kagame dont Docteur Bizimana JD n’ont dĂ©construits les affirmations du Professeur Charles Kambanda: inexistence du gĂ©nocide des Tutsi au sens juridique du terme. Dans sa dĂ©monstration, Professeur ( avec P) a excipĂ© des arguments juridiques fondĂ©s sur la dĂ©finition mĂŞme du mot gĂ©nocide, de l’histoire et de la sociologie de notre pays , de la chronologie des faits et de la situation contextuelle dans laquelle les crimes qualifiĂ©s de gĂ©nocide des Tutsi par Kagame et les siens ont Ă©tĂ© commis. Le fait de crier sur le toit une qualification juridique d’un fait Ă©vident ans respecter les règles juridiquement impĂ©ratives qui gouvernent toute qualification juridique d’un fait , qu’il soit criminel ou pas ne confère pas Ă  ce fait son exact qualification juridique. Aussi, le fait de contester une qualification fondĂ©e sur des considĂ©rations strictement politique et nullement juridiques n’est pas constitutif de nĂ©gationnisme de celle-ci ou de l’existence des crimes erronĂ©ment qualifiĂ©s.

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