Les enfants de Paul Rusesabagina tirent une sonnette d’alarme. Son état de santé est préoccupant

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  1. Saisir la Commission des droits de l’homme ONU contre la torture est plus porteur. Effet, mettre les prédicateurs du respect des droits de l’homme devant leur responsabilité. Sur le kidnapping de Rusesabagina par Kagame, force est de constater le silence de tombeau de la FIDH qui s’est pourtant illustrée dans la campagne négative contre feu Nkurunziza, alors Président Légitime du Burundi. Il convient de préciser que la FIDH est une des officines de Kagame opérant en France contre les Hutu listés par celui-ci. Une organisation qui prétend oeuvrer pour respect des droits de l’Homme est devenue une officine d’un régime sanguinaire et tyrannique qui, au surplus, affame et spolie de leurs biens les Rwandais, sans oublier les détournement de plusieurs millions de dollars US par Kagame et sa clique. Leurs magots sont planqués dans les paradis fiscaux ( voir Panama Papers). Bref, la FIDH est une officine de la mafia rwandaise à la tête de notre pays. Le caractère mafieux du régime Kagame n’est pas à prouver. Les chantages, les extorsions de fonds, les rackets, les intimidations, les exécutions sommaires et disparitions des Rwandais, la terreur contre les Rwandais qui osent informer les Rwandais ou attirer l’attention des Rwandais sur les méfaits de Kagame et son régime etc. ont été érigés en instruments de gestion du Rwanda. Pour optimiser l’efficacité de ses méfaits, moyennant des millions de dollars, Kagame a su habilement se faire des relais médiatiques dans les Etats dit démocratiques et ONG colle la FIDH et diverses officines françaises en l’occurrence de sorte que même la France s’est écrasée devant lui. Il est dit que Rusesabagina est Belge par naturalisation. Le constat est que les relations entre Kagame et la Belgique passent avant les droits des naturalisés belges ou les Belges de seconde catégorie. En kidnappant Rusesabagina alors qu’il savait qu’il est de nationalité belge, Kagame voulait dire aux Rwandais naturalisés belges, français, canadiens, américains etc. que les nationalités acquises par naturalisation ne leur confère nullement les droits reconnus aux vrais nationaux par les lois des Etats qui leur accordé la nationalité, qu’ils sont, en fait, des citoyens de seconde zone quant à la protection de leurs droits par les Etats dont prétendent être nationaux. Au surplus, Kagame s’est vanté d’avoir reçu les félicitations des autorités des services de renseignements belges, américains et autres pour ses funestes exploits. C’est donc une preuve irréfutable qu’en Belgique, il y a des vrais Belges qui méritent protection quant à leurs droits d’un côté et des Belges de seconde zone qui ne le méritent pas. Tel est le cas ici de Rusesabagina. A défaut comment face à un tel méfait contre un ressortissant belge, la Belgique peut-elle rester apathique ou inerte?

  2. Certains Rwandais ont ergoté sur le nouveau président américain.
    Observations:
    1/ C’est le retour de Clinton et d’Obama comme en témoigne le retour de Monsieur Blinken, pro-Kagamiste notoire;
    2/ Un président américain oeuvre d’abord dans les intérêts de son pays, peu importe son parti politique.
    Il s’ensuit que Le président Biden s’inscrira dans le droit fil de tous les présidents US qui lui ont précédé.
    A l’égard du Rwanda et de Kagame en particulier, il n’y aura rien de nouveau comme ça a été le cas sous Trump alors que l’arrivée de celui-ci au pouvoir avait fait jaser des opposants politiques et applaudie par les Kagamistes.
    Au Rwanda de défendre leurs intérêts. Aidez-vous d’abord, Dieu vous aidera ensuite. Le sens de sacrifice doit être intégré dans chaque Rwandais. Celui-ci doit comprendre le changement n’est possible que par les actions conjuguées de Rwandais alliées au sacrifice visible.
    Certains de mes amis me reprochent de parle toujours de Kagame. C’est vrai. C’est parce qu’il est Président de Rwandais même s’il s’est autoproclamé Président. En cette qualité, il es notre commandant en chef et gardien en chef de la sécurité des Rwandais. Aussi, Rien ne peut se faire ou être dit sans son accord. Il est donc à la fois loi, juge et justice dans ce pays. Enfin, pour les Rwandais et aux yeux du monde, il est au premier chef gestionnaire comptable de la Maison Commune qu’est le Rwanda même s’il a transformé celui-ci en patrimoine personnel.
    Sur les massacres contre les Tutsi précisément.
    J’ai maintes fois précisé qu’aucun Rwandais n’ nié leur existence, que ce qui pose problème est leur qualification juridique de « génocide. Celui-ci n’est pas un fait mais une qualification juridique des faits criminels. Pour que ceux-ci soient qualifiés de « génocide », il y a des règles procédurales impératives qui doivent être respectées à savoir: enquête préalable sur ces faits et ce, chronologiquement c’est-à-dire mener des enquêtes approfondies par un équipe d’enquêteurs dont les compétences ne sont pas à prouver sur la chronologie de la commission de tous les crimes qui ont été commis au Rwanda contre les Rwandais dont les Tutsi. La seconde étape procédurale est l’examen ou l’étude objective et complet du contexte dans lequel ces crimes ont été commis, le tout depuis le 01/10/1990.
    C’est au regard des résultats d’enquête et de l’examen ou étude de ce contexte que les faits sont qualifiés de génocide ou pas par les enquêteurs qui, en tout état de cause doivent être en possession des compétences en conduite des enquêtes, en droit pénal, en sociologie, ethnologie etc. Les juges auront pour mission de qualifier de génocide les faits imputés aux divers accusés de génocide etc.
    En l’absence de respect de ce schéma procédural, le fait criminel ne peut nullement recevoir la qualification de » génocide ». Toute invocation de celui-ci contre un accusé constitue une spéculation. Or, le droit ne retien pas la spéculation.
    Dans le cas, présent, à ce jour, soit depuis plus de 27 ans, aucune enquête n’a été faite sur tous les crimes qui ont été commis dans notre pays. Dès lors, même un idiot mongolien comprend parfaitement que dans ces conditions, il est hasardeux de soutenir que ces crimes sont constitutifs de génocide. Il s’ensuit que les affirmations colportées à grande échelle selon lesquelles ces crimes constituent un génocide est une pure spéculation. Celle-ci ne peut être retenue par un tribunal au sens exact du terme.
    Kagame et les siens, au premier rang Bizimana JD dit Docteur en droit, crient sur les toits que les crimes qui ont été commis contre les Tutsi sont constitutifs de génocide. Pour démontrer la véracité de leurs assertions, ils évoquent une prétendue reconnaissance de ce génocide par l’ONU. Dans tous les systèmes juridiques du monde moderne, lorsqu’un crime a été commis, peu importe sa gravité, une enquête est préalablement mené par les juges ou services compétents de l’Etat où le crime a été commis ou dont la victime est ressortissant, le tout en application des règles de procédure pénale. Au cours de cette enquête, l’étude du contexte ci-dessus évoqué détachable de cette première est faite. Les règles portant enquête sur un fait criminel sont d’ordre public au Rwanda comme dans tous les Etats dits de droit. Par conséquent, elles s’imposent aux juges. Le Conseil de sécurité de l’ONU qui a reconnu le génocide dit des Tutsi, selon Kagame et les siens est composé des Etats dits de droit c’est-à-dire des Etats dans lesquels susévoquées sont consacrées par leurs lois. S’ils ont reconnu le génocide dit des Tutsi, cette reconnaissance est fondée sur des résultats d’enquête menée par les experts envoyés par l’ONU pour enquêter sur les massacres qui ont été commis au Rwanda depuis octobre 1990. Or, force est de constater qu’il n’existe aucun document du Conseil de sécurité de l’ONU qui reconnait le génocide dit des Tutsi, que ni Kagame ni Bizimana JD ni quiconque autre n’a produit ce document de l’ONU. La résolution 955 dit nulle part « génocide des Tutsi ». Le génocide dit des Tutsi est une spéculation.

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