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  1. Il s’agit d’un rapport qui a été commandé par Macron, Président Français, nouveau membre du club d’amis de Kagame, comme en témoigne sa lettre adressée à Kagame le 7 avril 2020″ la France s’engage à soutenir (financièrement) les rescapés du génocide des Tutsi et leurs descendances ». Il est strictement politique et par conséquent dépourvu de caractère historique.
    Un mot crié sur les toits et colportés à grande échelle par les médias français et repris par les médias africains francophones est : Habyarimana, Président d’un régime raciste. Le régime étant différent d’un Etat. Par raciste, les membres de cette commission ont voulu dire que les Tutsi est une race au Rwanda et que le Président Habyarimana était contre une partie des Rwandais en raison de leur race. Il s’agit des Tutsi. En clair, les Tutsi sont une race au Rwanda. Kagame et sa clique ont applaudi comme de singes le Président Français, Macron, pour avoir dit expressément et publiquement que les Tutsi sont une race au Rwanda. Mais force est de constater que ces membres de cette commission et encore mois le Président Français ne précisent le nom de cette race tutsi au Rwanda et depuis quand les Tutsi sont une race dans notre pays, pays qui vient du fond des âges.
    Les membres de cette commission qui ne connaissent sur le Rwanda avaient une mission précise. Alors que leur connaissance du Rwanda fait notoirement défaut, ils ont été nommés pour faire un travail précis.
    1/ Faire de sorte que le mot responsabilité personnelle par cécité du Président d’alors François Mitterrand soit clairement souligné. Cette cécité est liée aux liens personnels entre celui-ci et feu Habyarimana, alors Président du Rwanda.
    2/ Faire de sorte que le Président Habyarimana, ami de Mitterrand soit mentionné sur toutes les pages du rapport et que la responsabilité de celui-ci dans le génocide des Tutsi soit clairement indiquée.
    3/ Il faut que le mot planification du génocide dit des Tutsi soit mentionné, qu’il soit limpidement écrit que le Président Habyarimana était raciste contre les Tutsi et qu’il est par conséquent auteur de la planification des massacres contre les Tutsi, que l’existence de cette planification été trouvé dans les archives de l’Elysée sous Mitterrand qui en était corrélativement au courant. Habyarimana était raciste parce qu’il a légalité la mention du mot Tutsi dans les cartes d’identité et institué les quotas des Tutsi dans les emplois publics et écoles rwandais. Etant précisé qu’au Burundi, les mots Hutu, Tutsi et Twa ne sont pas mentionnés dans les cartes d’identité et que le problème Hutu-Tutsi se pose plus gravement dans ce pays qu’au Rwanda mais bien géré par les dirigeants burundais.
    4/ Faire de sorte que les noms de Balladur, alors Premier Ministre, Léotard, Ministre de la Défense, Sarkozy, Porte-parole Gouvernement français de cohabitations d’alors, Juppé, Ministre des affaires étrangères n’apparaissent pas dans ce rapport.
    5/ Il faut que les noms de Nsengiyaremye Dismas, Uwilingiyimana Agathe, premiers ministres de l’Etat Rwandais et véritables chefs de l’Exécutif en application des articles 50 et suivants de la constitution du 10 juin 1991 n’apparaissent dans le rapport.
    6/ La constitution du 10 juin 1991 ne doit pas être évoquée. Pourquoi ? Parce qu’elle ôte toute la crédibilité à tout évocation ou invocation de la responsabilité du Président Habyarimana et les dirigeants de son parti politique MRNDD. En effet, cette constitution avait dépouillé le Président Habyarimana de tous ses pouvoirs exécutifs sur demande de Mitterrand et acceptée par le Président Rwandais ci-dessus indiqué.
    En droit et en fait, Habyarimana régnait mais ne gouvernait et ne dirigeait pas le Rwanda. Ses pouvoirs et compétences étaient limités au seul contreseing des actes du gouvernement sans pouvoir s’opposer aux actes contraires à l’intérêt général tel que le renvoi de soldats français du Rwanda par Nsengiyaremye). Ce renvoi étant à proscrire dans le rapport Duclert.
    La constitution du 10 juin 1991 est très importante car, dès la nomination du Premier Ministre Nsengiyaremye Dismas, le 2 avril 1992, issu du parti MDR, allié du FPR, le régime Habyarimana relevait du passé. Elle avait conféré au premier ministre la qualité de véritable chef de l’Exécutif en application des articles 50 et suivants de cette constitution.
    Il s’ensuit que toute évocation de responsabilité du Président Habyarimana dans les crimes qui ont été commis contre les Tutsi est erronée ou une fabulation caractérisée.
    Ensuite, en sus de cette constitution, l’existence effective du pacte d’alliance entre les partis d’opposition et le FPR, signé le 3 juin 1992 à Bruxelles-Belgique par les alliés contre le Président Habyarimana et son parti MRNDD, la collaboration notoire entre l’opposition et le FPR dans le gestion du Rwanda d’une part et la direction générale du service de renseignement intérieur ( les yeux et les oreilles du gouvernement rwandaise) attribuée à un membre en fait du FPR, à savoir Iyamuremye Augustin, actuellement président du Sénat et numéro deux du régime Kagame, déconstruisent littéralement toute assertion quant à l’existence de la planification du génocide des Tutsi rwandais par le Président Habyarimana.
    Dans le Rwanda tel qu’il est depuis des siècles, il est hasardeux pour quiconque de soutenir que les massacres des Tutsi ont été planifiés par un Président qui ne dirigeait pas le Rwanda, à l’insu des dirigeants réels du Rwanda et d’Iyamuremye et partant de Kagame, à qui le directeur général du service de renseignement intérieur rendait compte de ses missions.
    De même, dès lors qu’il est de notoriété publique que Uwilingiyimana Agathe, Première Ministre était pro-FPR et que le service de renseignement intérieur était rattaché à la Primature, si la planification du génocide a existé, elle est nécessairement antérieure à son exécution à savoir le 7 avril 1992, selon Kagame et le siens. Ses auteurs sont conséquemment Nsengiyaremye Dismas et Agathe Uwilingiyimana et Kagame, leur allié et dont la haute expertise en matière de renseignement n’est pas à prouver.
    Enfin, la participation des milliers d’infiltrés du FPR appelés techniciens aux massacres de masse contre les Tutsi a été confirmée par Tito Rutaremara, à la télévision rwandaise devant des millions de Rwandais. Les massacres des Hutu par les soldats et civils membres du FPR sont un fait établi. Dans un journal britannique du 2 mars 2021, Kagame a reconnu publiquement l’existence des millions de morts Hutu. Si Mitterrand était au courant de la planification et de l’exécution du génocide des Tutsi par le biais de ses collaborateurs et espions français opérant au Rwanda, il était nécessairement au courant des infiltrés du FPR dans les groumes de tueurs des Tutsi et de leur participation aux massacres de masse contre ces derniers d’une part et de l’existence des massacres de masse contre les Hutu qui ont été reconnus par Kagame en personne.
    Le rapport dit Duclert ayant été commandé pour un but précis à savoir cajoler Kagame et sa clique mafieuse à la tête de notre pays et nullement les rescapés qui sont les Tutsi de l’intérieur aux seules fins de permettre aux entreprises françaises d’accéder aux marchés rwandais, l’existence de ces infiltrés et les massacres des millions de Hutu en particuliers dans le nord du Rwanda, sous contrôle du FPR avant 94 doivent être bannis dans le rapport.
    Tout doit être fait de sorte que le Rapport Duclert fasse apparaître que la France est avec les victimes Tutsi dont certaines sont celles des techniciens du FPR et leurs postérités, que pour elle, seules les victimes tutsi méritent compassion et justice mais qu’aucune responsabilité pénale de quelque nature dans les crimes contre les Tutsi ne lui soit imputés et que deux personnages principaux doivent être mis en exergue : le Président Mitterrand et Président Habyarimana
    Doivent être omises, toutes des actions notoires de Mitterrand dans l’intégration du FPR dans le jeu politique et militaire rwandais : le vote par la France de l’embargo sur les armes contre le Rwanda et non pas contre le FPR, le refus de la France de vendre les armes au Rwanda lors du déclenchement de la guerre généralisée dans le nord du Rwanda le 8 février 1993 pour assurer les sécurité des Rwandais, le parrainage et le financement par la France des négociations entre les alliés qu’étaient le gouvernement d’opposition sous la houlette de Nsengiyaremye, anti Habyarimana notoire et le FPR aux fins de mettre définitivement fin à la guerre au Rwanda et par conséquent de faire intégrer le FPR dans les structures politico-militaire rwandaises ainsi que le remerciement de Kagame adressé expressément au Président Mitterrand pour ses actions positives en faveur du FPR qui prétendait incarner les Tutsi, le soutien politique de la France à l’opposition contre le Président Habyarimana au bénéfice du FPR qui prétendait incarner les Tutsi.
    7/ Devaient être évités tout entretien avec les grands connaisseurs rwandais des relations entre le Rwanda et la France durant la période retenue par la commission Duclert. Il s’agit deux Rwandais en particulier résidant en France à savoir Ndagijimana JMV, alors ambassadeur du Rwanda en France d’octobre 1990 à 1994, le seul connaisseurs des actions de la France au Rwanda et Colonel Serubuga Laurent, chef d’état-major de l’armée rwandaise en fonction en octobre 1990 jusqu’à son départ à la retraite début juin 1992, su décision du Premier Ministre Nsengiyaremye Dismas.
    Par contre, les membres de cette commission ont opté d’entre des soi-disant spécialistes du Rwanda qui, en réalité sont des charlatans tels que JF Dupaquier, Graner, Guillaume Ancel, JP Chrétien et autres membres d’officines du FPR opérant en France.
    Une personne clef dans le Rapport est Monsieur Michel Cuignet, chef de Mission de Coopération française au Rwanda d’octobre 1992 à septembre 1994 anti -Habyarimana et Hutu notoire et pro-Tutsi notoire.
    La prétendue responsabilité de la France, sans précision sur sa nature, dans le génocide dit des Tutsi est fondée sur les fabulations scatologiques de Monsieur Cuignet. Il en est de même des dires pathétiques et pitoyables du Président de cette commission, Duclert, professeur des universités françaises : Habyarimana raciste, un régime de Habyarimana raciste, corrompu etc. Il s’agit en réalité d’une reproduction des déclarations misérables de Monsieur Cuignet devant la Commission d’enquête de l’Assemblée Nationale française sur le Rwanda.
    Lors de son audition, Cuignet a évoqué des éléments significatifs pour mieux comprendre la spontanéité et la gravité des massacres entre les Rwandais.
    « Il a souligné l’importance de  » l’espace vital  » sur un territoire exigu et surpeuplé comme celui du Rwanda et observé que le besoin de terres se retrouve en filigrane dans la logique des conflits.»
    Il n’a pas tiré des conséquences logiques de ses affirmations dans son exposé sur le drame rwandais devant les parlementaires français.
    Il s’est fourvoyé dans les affirmations parcellaires, approximatives, subjectives, émotionnelles, erronées et la reproduction des mots ramassés dans les bistrots tel que Akazu qui, selon lui était une organisation criminelle dirigée par le Président Habyarimana, les membres imaginaires de la famille de celui-ci et autres Rwandais dont les noms n’ont jamais été précisés.
    La responsabilité de la France sans autre précision sur sa nature est un mot vide sens. Il s’agit de jouer sur la psychologie des membres de la clique qui sont à la tête de l’Etat Rwandais. Ceux-ci ont applaudi comme des singes les déclarations du Président de cette commission, Duclert, qui a été nommé par Macron. Les nègres sont des zébus. Il suffit de leur dire que je suis votre ami. Ils vous donnent ce que vous voulez. C’est qui se passe dans le cas présent.
    Une information de la dernière minute :
    Les Président américain, français, les Premiers ministres belge et britannique et autres sont en train de concocter un plan de positionner Louise Mushikiwabo, Secrétaire Général de l’OIF et lesbienne notoire à la tête de notre pays.
    Cette information doit être vérifiée quant à son effectivité.
    En cas de confirmation de la véracité des faits, il faut agir utilement et rapidement afin de mettre en échec le plan des maîtres du monde, lourd de conséquence pour les Rwandais et le Rwanda d’aujourd’hui et de demain.

  2. I- Comme Ndagijimana l’a bien dit, les créptocrates mafiosa qui sont à la tête de notre pays attendaient du Président Français principalement trois choses:
    1/ la reconnaissance de la responsabilité PENALE de la France dans le génocide dit des Tutsi et corrélativement des excuses publiques pour les crimes commis par les soldats français et Mitterrand contre les Tutsi;
    2/ Le renvoi à la barre des autorités civiles et militaires françaises qui ont été listées par Kagame (de son vivant) et les siens
    3/ Le paiement des plusieurs millions d’euros au représentant des victimes qu’est la clique de Kagame pris dans son ensemble, au titre de réparation des dommages qui ont été causés à l’endroit des Tutsi en sus des sanctions pénales contre ces autorités ci-dessus indiquées.
    En concluant que la France a une responsabilité dans le génocide dit des Tutsi mais qu’elle n’est pas complice de la commission de cé génocide, ce qui ne signifie manifestement rien, la question posée est de savoir si Macron , au nom de la France, va-t-il présenter des excuses à cette clique pour des crimes imaginaires qui on été prétendument commis par les Français qui ont été listés par Kagame d’une part et va payer des millions d’euros de denier publics aux gangsters mafieux qui sont actuellement à la tête du Rwanda d’autre part.
    Si Macron ne présenté des excuses pour les crimes imaginaires qui ont été commis par les Français listés et ne paye pas des millions attendus par la clique mafieuse du régime Kagame, que sera leur réaction? Les postérités de Kagame vont-ils retourner à la case de départ dans les relations entre leur régime et le Président Français. Il ne s’agit pas des relations entre deux Etats, à savoir le Rwanda et la France mais entre les individus que sont Macron et les postérités de Kagame agissant comme personnes physiques à titre individuel. Attendons voir leur rapport promis par Biruta , membre du PSD dont les membres sa jeunesse, Abakombozi, ont commis des massacres de masse contre les Tutsi dont Gicanda Rosalie, tante maternelle de Kagame à Butare, les Hutu et les Twa surtout dans les villes où ils étaient majoritaires telles que Butare et Gikongoro.
    En somme, dans la campagne d’infamies et chantages proférés depuis plusieurs années contre certains dirigeants français, Kagame et le siens visent arnaquer la France de plusieurs millions d’euros (l’argent et rien que l’argent). Macron, conseillé par les membres du groupe Kouchner-Sarkozy, ne comprend rien au jeu des escrocs sans foi ni loi. Leur mode opératoire est connu exclusivement des Rwandais.
    II- Les auteurs de ce rapport parlent de régime Hutu. Ils entendent pas régime Hutu, les gouvernements Habyarimana, Nsengiyaremye, Uwilingiyimana et Kambanda , tous Hutu. Tous ces dirigeants étaient racistes contre les Tutsi, pris pour une race au Rwanda et corrompus. Ils ont planifié planifié et exécuté le génocide des Tutsi. Autrement dit, Habyarimana, Nsengiyaremye et Uwilingiyimana ont planifié le génocide des Tutsi et Sindikubwabo et Kambanda l’ont exécuté. C’est ce que révérent les archives de Mitterrand, a dit le président de cette commission, Professeur Duclert. Seule la France a les preuves de la planification du génocide des Tutsi par les dirigeants Hutuà savoir Habyarimana et les Premiers ministres issus de l’opposition, alliée du FPR.
    Ces inepties pathétiques et pitoyables constituent une infamie à l’endroit de ces dirigeants rwandais dont certains ne sont plus de ce monde. Elles doivent être dénoncées avec force par les écrits adressé au Président de cette commission et au Président Macron même si les intérêts de con pays passe avant toute autre considération. Pour Duclert, ces dirigeants Hutu, outre qu’ils sont criminels, ils étaient corrompus. Sas mettre son pied au Rwanda, il a trouvé les preuves de la corruption des dirigeants Hutu rwandais dans les archives de Mitterrand. Le comble est que ces infamies scatologiques ont été reprises par les médias français, devenus les relais de la mafia rwandaise qui est à la tête de notre pays et conséquemment reprises pour les saintes écritures par les ignorants français et africains francophones. Ils n’ont non plus été condamnées par les Rwandais suffisamment bien outillés intellectuellement pour critiquer utilement ce genre d’assertions qui n’honorent pas leurs auteurs.
    III- Les auteurs de ce rapport ont affirmé que la France est responsale du génocide des Tutsi pour avoir donné et non pas vendus les armes non pas au Rwanda mais aux gouvernements Hutu, lesquels Hutu ont planifié le génocide (un gouvernement étant une fiction, seuls les dirigeants de ce gouvernement accomplissent les actes positifs ou négatifs). Elle a donc donné des armes aux Hutu alors que Mitterrand et ses collaborateurs savaient qu’ils planifiaient le génocide contre les Tutsi. Autrement dit, une puissance qu’est la France a fourni les armes à l’armée Hutu, celle-ci a été ensuite émiettée par un groupe de bandes armées qu’est le FPR, issue de l’armée ougandaise. Les auteurs de ce rapport affirment donc que les soldats rwandais avaient des armes fournies par la France mais ils ont été incapables de les utiliser contre le FPR. Par contre, ils les ont utilisées pour génocider les Tutsi. Ils affirment et détruisent ensuite leurs assertions par les assertions contraires. Aussi, les faits établis infirment leurs assertions. Même un idiot mongolien ne peut accorder une moindre crédibilité à ce genre de fabulations misérables.
    IV/ Force est de constater que le Ministre de la justice et avocat général ne s’est pas exprimé. Seuls quelques membres du FPR ont individuellement réagi et réaffirmé la position originelle de Kagame: reconnaissance de la participation des soldats français dans le génocide des Tutsi, demande de pardon à Kagame par Macron et payement de plusieurs millions de dollars au FPR au titre de réparations des dommages qu’ont subis les victimes Tutsi. Si ces exigences sont satisfaites, les relations entre Kagame- les siens avec Macron ou la France reprendront normalement. A défaut ce sera des relations à minima. Si la France des millions de deniers publics aux truands, le reste pourra être épongé ou oublié.
    V/ Il n’y a jamais eu et il n’y a pas de problème entre le Rwanda et la France c’est-à-dire entre le Peuple Rwandais et le Peuple Français. Il y a problème entre la clique mafieuse de Kagame et Macron, président français, expert dans les reconnaissance des méfaits avérés ou supposés des dirigeants français ou ses prédécesseurs morts et nullement vivants , car dans ce dernier ils peuvent déconstruire les dires des aventuriers du drame rwandais que les membres de la commission Duclert, qui ont été nommés par Macron. Les propos de celui-ci tenus au nom de la France engage celle-ci . D’où Macron est responsables des infamies et fabulations en tous genres contenus dans ce rapport qu’il a lui-même commandé d’une part et ses propres affirmations divisionnistes sur les Hutu, Tutsi et Twa de sorte qu’il serait raisonnable de dire que le Président Français est continuateur de Monseigneur Léon Classe, inventeur de la race Tutsi au Rwanda et de la supériorité des Tutsi sur les Hutu à tous les égards, les Hutu étant des bougres bantous, incapables à tout point de vue.

  3. Des affirmations contradictoires des membres de la commission mise en place par Macron qui témoignent l’escroquerie ou la malhonnêteté intellectuelle manifeste des professeurs des universités françaises.
    1/ Habyarimana raciste et corrompu
    Le régime Habyarimana c’est-à-die le gouvernement, les députes, les juges et les fonctionnaires aussi bien civils que militaires raciste et corrompu
    Le régime Hutu c’est-à-dire le gouvernement ou le Président, le Premier Ministre, les Ministres Hutu, les juges Hutu, les députés Hutu, les fonctionnaires Hutu sont racistes et corrompu.
    Le président Habyarimana raciste, son régime raciste, les gouvernements Hutu de Habyarimana à Kambanda en passant par Nsengiyaremye et Uwilingiyimana racistes, les membres de cette commission ont trouvé ces informations dans les archives de l’Elysée et chez les diplomates en poste à Kigali dont Monsieur Michel Cuignet, chef de mission de coopération française au Rwanda, anti-Habyarimana et anti Hutu notoire et autres.
    Ce sont ces racistes Hutu qui ont planifié le génocide des Tutsi. Mais le comble est que les ces érudits en histoire n’ont pas précisé où, quand et comment et le génocide dit des Tutsi a été planifié et quels sont les auteurs précis (noms, prénoms, fonctions) de cette planification.
    Ils se fourvoient dans les affirmations subjectives que les faits historiques sont en tout état de cause objectif. Dans le cas présent, il est manifeste que les faits évoqués par les membres de cette commission ont été ramassés dans les bistrots et sont corrélativement subjectifs. Par conséquent, ils sont dépourvus de caractère historique.
    les contradictions:
    Dans les déclarations publiques du président de cette commission, Professeur Duclert a affirmé que, selon les informations recueillies lors des enquêtes et exploitation des archives de l’Etat Français, le Président Habyarimana a été tué par les durs et racistes Hutu parce qu’il était modéré et voulait mettre en application l’Accord de Paix d’Arusha.
    Or, dans son rapport, il dit que le Président Habyarimana était raciste et qu’il a planifié le génocide des Tutsi. Se pose alors la question de savoir comment Habyarimana était à la fois raciste, anti-Tutsi et modéré mot insignifiant dans le cas présent? Ces experts sont restés muets sur les noms des extrémistes, racistes contre les Tutsi qui ont assassiné le Président Habyarimana. Aussi, si ces racistes Hutu contre les Tutsi ont assassinés les trois membres d’équipage de l’avion du Président Habyarimana et que les autorités françaises d’alors le savaient , pourquoi la France ne les a-t-il pas judiciairement actionnés pour assassinat des citoyens français alors qu’elle elle a dépensé des millions d’euros dans les affaires des victimes Tutsi? Comment ces experts en histoire ont-ils fait pour trouver les informations là où les juges français n’ont rien trouvé? Sans mettre les pieds au Rwanda, selon les les faits recueillis lors de leur enquête en France, ils ont affirmé que le Président Habyarimana a été assassiné par les membres de son camp, racistes , corrompus et extrémistes, une telle assertion est détruite par celle selon laquelle le président Habyarimana n’était raciste ou anti-Tutsi à moins qu’il soit possible qu’une personne peut être à la fois raciste à l’endroit des Tutsi et modéré à l’égard de ces mêmes Tutsi.
    Les membres experts ont adonné un nom aux extrémistes Hutu qui ont planifié et exécuté les génocide des Tutsi: les Hutu power. Les Rwandais qui connaissent l’existence et la signification de ce mot au Rwanda peuvent éclairer les lecteurs de The Rwandan. La reproduction de charabias ramassés dans ls bistrots parisiens prouve à suffisance le manque de rigueur et d’honnêteté intellectuelle manifestes attendus de tout professeur d’universités. Selon les membres de cette commission, ce sont ce sont les anti-racistes Hutu qui ont planifié e t exécuté le génocide contre les Tutsi en raison de leur race, la race Tutsi. Ni le FPR qui prétendait incarner les Tutsi ni les Tutsi de l’intérieur, aucun Tutsi n’a une quelconque responsabilité dans les massacres des Tutsi, les Hutu et les Twa d’une part et dans la guerre contre le Rwanda. Cette affirmation est infirmée par celle selon laquelle, le FPR était un groupe armé venu d’Ouganda qui ont attaqué militairement le Rwanda et les aveux publics de Tito Rutaremara relativement à l’existence des milliers de techniciens ou infiltrés en tenue civile qui ont participé aux massacres de masse contre les Tutsi. Par leurs affirmations contradictoires, ils prétendent mieux connaître l’Affaire Rwandaise que Tito Ruteremara, autres dirigeants du FPR et ex-soldats de celui-ci. Ils affirment même que ce sont les extrémistes, racistes, corrompus Hutu qui ont déclenché la guerre de 1994 aux seules fins de génocider les Tutsi
    En résume: Le Rapport Duclert commandé par macron, Président Français est un fourre-tout et in fine un vulgaire document dépourvu de toute qualité informative. Plus de 1200 pages pour ne strictement rien dire.
    En regardant de près, ils ont maladroitement joué sur les mots pour cajoler les dirigeants du FPR aux seules fins de permettre les entreprises françaises d’accéder aux marchés rwandais. Le VRP des multinationales françaises , l’ex-Président Français, Nicolas Sarkozy a préparé le terrain. Aussi, l’entrée de Macron dans le club d’amis de Kagame et son régime pourra faciliter les affaires.
    Mais connaissant le groupe de gangsters mafieux qui s’est accaparé du de notre pays, ce qu’ils attendent du Président Français est le pognon et nullement les discours contradictoires, à savoir des millions d’euros au titre de dédommagement pour préjudices subis par les victimes Tutsi et accessoirement le pardon écrit et verbal du Président français adressé à Kagame ( s’il est encore en vie) ou aux Tutsi, réduits à la clique de Kagame et autres. Se pose alors la question de savoir si la France paye des millions d’euros à la mafia rwandaise ou s’il demandera pardon comme l’exige certains cadres du FPR qui considèrent les Français sont forts en matières de discours et que si la responsabilité de la France évoqué dans ce rapport est reconnu par le Président Français, il doit en tirer les conséquences sur le plan financier. A défaut, tout agissement tendant à jouer sur la psychologie de Kagame est voué à l’échec.
    Le Président Français s’est fourvoyé dans une affaire dans laquelle il lui sera difficile de sortir sans entacher l’honneur et la dignité de son pays. Aussi, les propos scatologiques des membres de la commission sur l’ancien Président Français, François Mitterrand souillent gravement la mémoire de celui-ci. Ils ont été misérablement approuvé par Macron. La France a déjà irréparablement souillé la mémoire du Président Habyarimana par son jugement post mortem via son épouse. La souiller une seconde fois par une litanie d’infamies scatologiques est inopérant. Car le jugement post mortem d’un ancien chef d’Etat, dit malhonnêtement homme de la France et ami de Mitterrand par la France est, à mon sens, un acte d’une exceptionnelle gravité dont tous ceux qui ont connu le Président Habyarimana ou les Rwandais qui ont le sens de l’honneur et de dignité ne pourront jamais oublier et ce, quelle que soit les générations car cet acte sera enseigné dans les écoles rwandaises le moment venu.
    Le rapport est sur la toile. Toute personne intéressée peut y accéder.

  4. Rapport qui n’en est pas un. Plus de 1200 pages pour rien car sa destination finale est la poubelle.
    Question : Combien de milliers de deniers publics cette commission a-t-il englouti ?
    Pourquoi le Président Français, Macron, s’est-il fourvoyé dans une telle entreprise nonobstant les observations défavorables des experts français qui connaissent parfaitement le Rwanda ?
    Le Président Français savait-il que les chantages et infamies en tous genres proférés par Kagame (de son vivant) et autres à l’endroit de la France visent à extorquer à celle-ci des millions ou des milliers d’euros et que si la commission mise en place par lui ne conclut pas « la responsabilité pénale des dirigeants français d’alors dans le génocide dit des Tutsi et subséquemment des réparations financières, ce rapport ne sera qu’un document sans effet ?
    Le Rapport dit « la France est responsable dans le génocide des Tutsi » mais sa nature n’est pas volontairement précisée et exclut sans détour la responsabilité pénale de la France et conséquemment les réparations financières au bénéfice des victimes Tutsi de ce génocide.
    Autrement dit, les auteurs de ce rapport disent que la France est responsable du génocide des Tutsi et n’est pénalement pas responsable de ce même génocide. Les experts en français peuvent éclairer les Rwandais sur la cohérence des assertions des membres de la Commission Duclert. En créant une commission chargée d’éclaircir le rôle de la France dans les crimes qui ont été commis au Rwanda exclusivement contre les Tutsi qui ont été qualifiés de génocide des Tutsi en 2008, le Président Macron visait quel objectif et que voulait-il prouver aux membres des familles des victimes Tutsi ? Par son action, le Président Français a le sens de compassion sélective. Pour lui, les victimes Hutu n’appartiennent pas à l’humanité et ne méritent conséquemment pas de compassion et encore moins justice ou toute évocation de leur existence. Au regard des assertions du Président de cette commission glanées dans les médias français, les massacres des Hutu n’ont jamais existé. Cette assertion est déconstruite par les aveux publics de Kagame dans The Independent du 2 mars 2021 : existence des millions de morts Hutu ou la responsabilité pénale des soldats du FPR sous son commandement dans les massacres de masse contre les Hutu. En somme, ce Rapport vise à cajoler Kagame et autres ? Mais pourquoi ?

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