Abaturage baranduriwe imyaka bavuga ko ari umwanda ko hagiye kuba CHOGM, biswe interahamwe ni agahinda

1 COMMENT

  1. Il n’y aura jamais le sommet d’anglophonie au Rwanda.
    Il aurait été impensable qu’un Gouvernement qui emprisonne les pauvres pour que le monde entier ne puisse pas voir le Rwanda réel à savoir le Rwandais dirigé par une mafia impitoyable d’une part et caractérisé par l’extrême pauvreté qui frappé des millions de Rwandais d’autre part puisse abriter un tel sommet.
    Aussi, il convient de rappeler qu’un Pays dans lequel les Rwandais sont enlevés ou arrêtés, torturés puis éviscérés et où le commerce des organes des Rwandais est une activité qui rapporte gros ne peut accueillir le sommet du Commonwealth. Il convient de rappeler que plusieurs espions anglo-saxons et américains grouillent ici au Rwanda et que le Royaume Uni connaît le vrai Rwanda.
    C’est un camouflet pour Kagame et sa clique. C’est également un manque à gagner pour les oligarques mafieux de la place mains sans conséquence sur leurs portefeuilles quantitativement bien garnis.
    Pour montrer à ses invités que son Rwanda est la Singapour d’Afrique, Kagame a ordonné l’emprisonnement des pauvres qui, selon lui, sont les déchets et conséquemment la honte du Rwanda d’une part et la destruction des habitations des Rwandais considérées par lui comme saleté qu’il fallait par conséquent raser.
    Va-t-il libérer ces pauvres Rwandais ? Ceux dont les habitations ont été rasées vont subir le même sort que celui des Rwandais de Kangondo c’est-à-dire ils sont réduits à l’errance. Leurs habitations sont des caniveaux au vu et au su des représentants des Etats membres du Commonwealth ici à Kigali.
    Le plus grand criminel que l’Afrique n’a jamais connu dans son histoire sera, sous peu, l’invité de marque du Président de la République Française, Etat dit de droit de l’homme et donneur de leçon en matière de respect des droits de l’homme.
    Etant rappelé que Macron a dit que le Président Syrien ne mérite pas être à la tête de son pays mais en prison à la Haye. Or, alors qu’en matière de cruauté envers les hommes, qu’ils soient Rwandais ou Syriens, à côté de Kagame, le Président syrien est un nain, le même Macron va recevoir Kagame, l’homme entaché de sang des millions de Rwandais et Congolais. Ce qui est encore surprenant, il semblerait que certains officiers généraux français ont demandé à Kagame de les recevoir lors de son séjour dans leur pays afin qu’il puisse se prosterner devant lui et demander des excuses pour les agissements criminels contre les Tutsi à savoir le fait d’être au service de leur pays au Rwanda et nullement à celui du Rwanda. Le ridicule est devenu un mot dépourvu de sens chez les dirigeants français.
    Les lecteurs des Valeurs actuelles ont lu les propos scatologiques, pathétiques et pitoyables d’un ex-Président Français, Nicolas Sarkozy, sur feu Président Habyarimana et feu Président Mitterrand.
    Pour des raisons obscures, il prétend aujourd’hui avoir la compassion à l’endroit des victimes Tutsi et les mes membres de leurs familles alors que lorsque les Tutsi étaient découpés par des machettes, Sarkozy était dans le camp Balladur c’est-à-dire les membres du Gouvernement Français qui étaient contre l’intervention militaire française au Rwanda pour sauver les Tutsi. Par contre, Président Mitterrand était pour l’intervention militaire françaises au Rwanda pour sauver les Tutsi. A l’époque des faits, la France était sous le régime de cohabitation politique c’est-à-dire un Président de la République et le Premier Ministre ne sont pas issus du même parti politique. En l’espèce le Président est garant de la défense de la Nation et le Président Chef des armées. Ce qui signifie que l’envoi des militaires au Rwanda pour sauver les Tutsi relevait du champ de compétences du Premier Ministre Balladur et nullement de celui du Président Mitterrand. C’est donc en vertu des pouvoir qui lui étaient dévolus par la constitution française que le Premier Ministre a opposé une fin de non-recevoir à la demande du Gouvernement Intérimaire quant à l’envoi de soldats français au Rwandais pour que les FAR puisse mettre hors-jeu les criminels ( Hutu et Tutsi).
    Il convient de rappeler aux Rwandais que du 2 avril 1992 au 06 avril 1994, le Rwandais était sous le régime de cohabitation.
    La cohabitation désigne une situation institutionnelle particulière. Dans cette configuration, le pouvoir exécutif, exercé par le président de la République et par le Premier ministre qui dirige l’action du Gouvernement, est assuré par deux adversaires politiques, dans le cas Présent par le président Habyarimana et le Premier Ministre Nsengiyaremye Dismas puis Uwilingiyimana Agathe issus du MDR. Le véritable chef de l’Exécutif étant le Premier Ministre, le tout en vertu des articles 50 et suivants de la constitution rwandaise du 10 juin 1991 qui a mis fin au régime Habyarimana et consacré un Premier Ministre, véritable chef de l’Exécutif et garant de la sécurité et de la défense de la Nation.
    Cet élément est gommé par divers commentateurs soit sciemment, soit par ignorance. Il permet de savoir si les massacres qui ont été commis au Rwanda par des Rwandais contre les Rwandais sont-ils constitutifs de génocide tel qu’il est défini par le droit international et le droit interne rwandais.
    Il n’y a jamais eu un débat sur ce point. J’ai maintes fois invité Docteur Bizimana JD pour en débattre en vain. Il préfère faire le tour du Rwanda et des médias rwandais pour colporter ses prétendus résultats de rechercher sur le génocide et dispenser la leçon de génocide aux jeunes Rwandais mais fuit lorsqu’il s’agit d’accepter un débat sur les faits proférés par lui.
    Je réutère ma suggestion: un débat sur la cohabitation politique au Rwanda entre le 2 avril 1992 et le 6 avril 1994 et ses effets sur la gestion du Rwanda, de la guerre et le drame rwandais.
    Aussi, un débat pour mieux éclairer les jeunes Rwandais sur les déclarations de Rutaremara à savoir l’existence d’infiltrés dans les jeunesses des partis politiques et conséquemment dans les groupes des tueurs des Tutsi et leurs effets sur la qualification juridique des massacres qui ont été commis contre les Tutsi. Il s’agit d’un débit purement technique. Il faut que les intello rwandais puissent apprendre à débattre publiquement, le tout peu importe leur appartenance politique. Ceux qui savent, à l’exclusion des Bizimana JD, doivent éclairer les jeunes Rwandais. Au regard de ses agissements, celui-ci est la honte des docteurs et des Rwandais.

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