Par Jean Uwizeye
La drôle de guerre entre la France et le Rwanda des lions Inkotanyi l’est moins pour la communauté hutu rwandaise et en général. Le pur dans cette guerre, on ne voit pas la ligne Maginot, car les partisans de Paul KAGAME sont partout dans l’armée, dans la classe politique dans les médias et les associations nombreuses abritent la 5e colonne. La France marche en tirailleurs ; l’État-major des armées est aux abois face aux accusations du régime de Kigali et le chef suprême des armées françaises (l’Elysée), lui, a choisi de ramper sur la botte de Paul KAGAME et les siens la langue pendante. Visiblement, notre président ne maîtrise pas bien l’exercice militaire de base de ramper. En témoigne la sortie et l’excitation médiatique autour du rapport de la commission Vincent Duclert commandé par le président Emmanuel Marco. Ce rapport n’a rien d’excitant, mais exagéré dans la bêtise et la haine. Cette commission ressasse les mêmes constats faussés sans pour autant Franchir un pas pour inculper la France pour génocide. C’est la version de l’histoire rwandaise selon le régime de Paul KAGAME et les siens récupérée pour caresser le diable et amadouer les ardeurs des lions Inkotanyi. Il ne manque qu’un pas de plus pour faire de la France un pays génocidaire. À beau mentir qui vient de loin ; le président François Mitterrand pour son bref rôle dans la France de Vichy et sa relation personnelle avec René Bousquet ( https://youtu.be/co1agNuOCmk) , (écoutez la vidéo à partir de la 11-12ème minute.) entraîne au fond de l’abîme son homologue rwandais Juvénal HABYARIMANA qualifié de raciste et il faut le dire la vengeance post-mortem de la part de Juifs se manger froide : « Nous étions une poignée à nous battre pour que la vérité soit faite sur ce sujet du Rwanda, nous étions soutenus par les associations qui défendent la mémoire de la Shoah et des droits de l’Homme ». Propos de Guillaume Ancel https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/rwanda/genocide-rwandais-un-ancien-militaire-francais-evoque-la-complicite-morale-et-politique-de-francois-mitterrand-et-son-secretaire-general-hubert-vedrine_4349627.html#xtor=CS2-765-[share]-
Qui est René Bousquet, l’homme évoqué par Vincent Duclert dans l’interview de France-Inter https://youtu.be/co1agNuOCmk ?
René Bousquet, né le 11 mai 1909 à Montauban (Tarn-et-Garonne) et mort assassiné le 8 juin 1993 à Paris, est un haut fonctionnaire français, collaborateur avec l’occupant allemand pendant la Seconde Guerre mondiale.
Du 18 avril 1942 au 31 décembre 1943, sous le sixième gouvernement de Pierre Laval, il est secrétaire général de la police du régime de Vichy. Antisémite convaincu, il applique la politique du régime. Il est l’organisateur principal de la rafle du Vélodrome d’Hiver de juillet 1942 et de celles d’août 1942 en zone sud. Il dirige également la police française aux côtés de l’occupant lors de la rafle de Marseille, en janvier 1943.
Au total, durant ses fonctions à ce poste, et parfois à son initiative, plus de 60 000 Juifs sont arrêtés par la police française (ou en assistance de l’occupant allemand) pour être remis aux autorités nazies qui en organisent la « déportation vers l’Est », expression allemande de l’époque désignant la déportation vers le camp d’extermination d’Auschwitz. La compréhension par l’administration de Vichy de la finalité réelle des déportations est débattue ; René Bousquet, quant à lui, ne montre alors aucun intérêt pour le sort des Juifs déportés. Extrait de la page Wikipédia.
En France, un règlement des comptes est entrain d’être opéré par les Juifs en se servant de la tragédie rwandaise pour abattre définitivement François Mitterrand et si possible atteindre la France elle-même. On peut dire qu’il y a réellement un complot international contre la France, orchestre à travers les médias dominants pour accrédité la complicité française dans l’innommable. En d’autres termes, François Mitterrand est un nazi qui est à l’origine d’un autre génocide au Rwanda. Ainsi, de cette façon, pour Vincent Duclert, le président, Juvénal HABYARIMANA est membre du club des nazis par l’intermédiaire de François Mitterrand. Aujourd’hui à l’unanimité la classe politique française a sacrifiée François Mitterrand sur des bases intellectuelles fausses.
https://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00296/les-relations-de-francois-mitterrand-et-rene-bousquet.html. Au nom du génocide, les Juifs ont accueilli grand bras ouverts les rescapés tutsi qui eux aussi en retour savent s’en servir mondialement ; plus rien d’étonnant de voir la facilitation existante pour espionnage pour le compte du régime FPR Inkotanyi : https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/politique-africaine/comment-des-opposants-rwandais-ont-ete-espionnes-via-whatsapp_3691473.html La finance internationale, les médias dominants et les rapports élogieux sont au service de Paul KAGAME et les siens via ces réseaux juifs.
LA RACAILLE DU MILIEU POLITICO-MILTAIRE FRANÇAIS
Nos compatriotes français dans les papiers comme Nicolas Sarkozy, Raphaël Glucksmann, Bernard Kouchner, Guillaume Ancel,… ont-ils joué un rôle d’influence sur Vincent Duclert qui vient de rendre son rapport sur le rôle de la France dans le génocide dit des tutsi ? Le rapport manque du sérieux, il n’y a que de la gesticulation. La France est un pays uni et indivisible. De tous les temps, la présidence française agit au nom de la France. Si à quelques degrés que ce soit un officiel français en fonction est mise en cause dans ce qu’ils appellent génocide des tutsi, c’est la France elle-même comme personne morale à comparaître à la Haye. Une fois de plus, le rapport évacue la responsabilité de la France sur les individus français dont le chef suprême des armées françaises à l’époque du conflit (François Mitterrand et ses proches collaborateurs) et sur la communauté hutu. Une responsabilité atténuée pour les Français par rapport au traitement réservé et l’analyse faite du régime du feu président Juvénal HABYARIMANA considéré comme préparateur de commandes des soi-disant extrémistes hutu. La France est, à la limite, innocentée de justesse dans le rapport par contre on ne peut plus douter que le président français Emmanuel Marco ait voulu offrir à Paul KAGAME et les siens ce qu’ils n’ont pas pu obtenir à Arusha à travers les archives français sur le Rwanda : « La préparation du génocide ou le plan du génocide (le soi-disant processus du génocide), si ce génocide en est un réellement ». Le président Macron a grandi comme tous les gamins français sous le tapage médiatique en faveur du FPR Inkotanyi. Son point de vue est identique à celui de Paul KAGAME à la limite près qu’il est président de la République France. Il n’a pas de discernement, la preuve en est le mot « entreprise » utilisé dans sa lettre adressée à Vincent Duclert en date du 05 avril 2019. Il faut le savoir, les suprémacistes blancs savent dresser leurs gamins. Comme il est désormais de coutume pour la racaille du milieu politico-militaire français, ils esquivent les coups tout en chargeant les Hutu les accusations insupportables pour eux tout seul. Selon ce rapport, la France a été aveugle durant la période 1990-1993 sur « la préparation du génocide » rappelons simplement que le TPIR n’a pas pu le démontrer : https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/rwanda/genocide-au-rwanda/rwanda-un-rapport-de-chercheurs-francais-pointe-les-responsabilites-lourdes-et-accablantes-de-la-france-dans-le-genocide-des-tutsis-en-1994_4348603.html
Les archives françaises prouvent que la France ne fut pas aveugle ou aveuglée. Les suprémacistes blancs ont laissé faire la rébellion tutsi pour prendre le pouvoir, car à cette époque, s’interposer entre les belligérants revenait à sauver les hutu qui venait de se rendre coupable de la mort de plus de 10 soldats belges casque bleu. Sans oublier également, le climat anti-belge à l’origine des quiproquos. Dans ce rapport, le rapporteur parle aussi « d’entreprise génocidaire », une façon de méprise la vie des personnes emporté par l’attentat terroriste qui est à l’origine du carnage rwandais. Sans l’attentat point de génocides. Visiblement peu habitué des usages du sujet politique rwandais, Vincent Duclert interrogé par Franceinfo, il a brillé par son ignorance de la société rwandaise et il a opté pour le mensonge pour aider Paul KAGAME et les siens : « Il y a eu des relations de président à président, plutôt que d’obliger HABYARIMANA à démocratiser, à cesser d’exercer sa politique Raciste ». D’après le dictionnaire Larousse, est raciste celui qui est partisan de l’idéologie qui attribue une supériorité à une race, à un groupe ethnique ; comportement qui en résulte.
C’est de la diffamation pure, le procède de notre spécialiste des génocides. Il ne faut pas confondre la détermination à se défendre et le racisme ! Au Rwanda hutu-tutsi-twa n’ont pas une option Alyah. La guerre, c’est la guerre. Bref, comment alors notre expert de la Shoah peut-il expliquer comment les anciens serfs des tutsi se sont gonflés d’un complexe de supériorité ? Nous lui recommandons une remise à niveau scolaire pour avoir un statut universel pour être en mesure d’aborder d’autres sujets en dehors de la question juifs. En 2019, un ministre hutu rwandais a qualifié les hutu de : si idiots qu’ils ne sont pas dignes et capables de gouverner un pays. La preuve que les Hutu souffrent d’un complexe d’infériorité aigu face aux Tutsi. https://www.musabyimana.net/20191028-rwanda-revelations-troublantes-devode-uwizeyimana-un-membre-du-gouvernement-de-paul-kagame/
En outre, dans ce rapport à la page 107, l’ambassadeur Martres en date du 15 novembre 1990, écrit : « Le complexe d’infériorité de l’ethnie majoritaire à l’égard des anciens féodaux reste grand. Beaucoup, parmi les 1ers, sont convaincus que de concessions en concessions, les seconds parviendraient vite à reconquérir leur SUPRÉMATIE ». Qui dit mieux ? Monsieur Vincent Duclert est un négationniste du drame qui frappe les hutu. Il a aussi été coupable du délit de diffamation dans sa sortie médiatique. Et d’une façon ou d’une autre, quelqu’un devrait le poursuivre en justice.
UN RAPPORT TRUQUÉ ET PLEIN DE MENSONGES ABERRANTS
Un rapport truqué et plein de mensonges aberrants : « La France rejette tout dialogue avec les Tutsi exilés en Ouganda ainsi que toute l’opposition Hutu et le Front Patriotique rwandais et donc sa politique avive les tensions inter-ethniques et, d’une certaine manière, renforce les possibilités du génocide ». D’une part pour quelqu’un qui a passé deux ans à feuilleter le dossier rwandais, il aurait au moins été foutu à combler ses lacunes et savoir que les exilés tutsi sont les mêmes individus regroupés au sein du FPR Inkotanyi. La guerre civile rwandaise a éclaté le 01 octobre 1990 et dès le 17 octobre 1990, les sommets et les négociations se sont enchaînés pour trouver une issue pacifique au conflit : https://www.musabyimana.net/20071128-test-documents/.
L’air ne fais pas la chanson, méfiance oblige pour le terme « complicité de génocide » ; le génocide dit des tutsi ne remplis pas les conditions nécessaires pour être qualifié comme tel et les suprémacistes blancs ont trouvé un moyen d’inculquer dans la cervelle des gens en agitant à tout vent la soi-disant complicité de génocide de la France libre. Ce qui suppose qu’un génocide a eu lieu. Ce rapport n’est qu’une guerre des mots pour détruire la communauté hutu rwandaise et justifier les massacres des réfugiés hutu au Rwanda et en ex-Zaïre. Il cherche à légitimer la guerre civile rwandaise et la dictature sanguinaire du FPR Inkotanyi au nom de la survie des Tutsi. Au fond, il y a un malin plaisir pour dresser les Rwandais les uns contre les autres. Le jour où les suprémacistes blancs, maîtres de ce monde arriveront à qualifier les massacres des Hutu par les Tusti depuis le 01 octobre 1990 à ce jour de génocide, la vérité sur la tragédie rwandaise faire son chemin tout seul.
LA PETITE PHRASE DU GÉNÉRAL FRANÇOIS LECOINTRE QUI FAIT MOUCHE
« Il est fou d’imaginer que les soldats qui ont été engagés dans Turquoise y allaient pour autre chose que pour arrêter le massacre des Tutsi par les Hutus ». En effet, ici dans cette phrase, il y a beaucoup de vérité insupportable. La France n’est pas venue pour sauver tous les Rwandais sans distinction, car si c’était le cas, elle aurait aussi intervenu dans la zone du FPR Inkotanyi où les massacres des Hutus par les Tusti d’une ampleur dépassant ce qui est appelé couramment génocide dit des tutsi étaient et sont toujours en cours. Les massacres que le régime sanguinaire champion toutes catégories confondues des crimes contre l’humanité et génocides n’arrive plus à cacher : https://www.google.com/amp/s/www.independent.co.uk/stop-the-illegal-wildlife-trade/rwanda-paul-kagame-interview-conservation-b1810132.html%3famp
Le massacre des Tutsi n’est pas non plus un œuvre exclusif des hutu, KAGAME et les siens y ont joué un rôle déterminant. L’opération Turquoise fut une opération humanitaire discriminatoire montée par les suprémacistes blancs pour aider les Tusti à prendre le pouvoir. Les soldats français ont sauvé effectivement beaucoup des tutsi déjà sauvés et mis à l’abri par les Hutu. Ils ont désarmé les miliciens et malicieusement, ils ont invité à la désertion, plutôt dissuadés les autorités rwandaises à la poursuite des hostilités pour offrir Paul KAGAME et les siens la moitié du territoire rwandais sans combattre. Selon Huffington post :
L’ambassadeur Yannick Gérard, alors représentant du Quai d’Orsay au Rwanda dans le cadre de l’opération militaro-humanitaire Turquoise, avait demandé des instructions concernant la présence de responsables génocidaires dans la “Zone humanitaire sûre” contrôlée par les militaires français. « Vous pouvez (…) utiliser tous les canaux indirects et notamment vos contacts africains, en ne vous exposant pas directement, afin de transmettre à ces autorités notre souhait qu’elles quittent la Zone Humanitaire Sûre », lui répond un télégramme “confidentiel diplomatie”, daté du 15 juillet 1994. https://www.huffingtonpost.fr/entry/rwanda-un-document-prouve-que-la-france-a-laisse-senfuir-les-genocidaires-en-1994_fr_60299231c5b680717ee8b49e
Dans le livre de Jean Kambanda, un passage relate comment le gouverneur de Bukavu sous prétexte de fermeture de la frontière lui a demandé de dire aux militaires ex FAR de partir à temps. Voilà la vraie vérité de la tragédie rwandaise qu’ils cherchent à noyer sous un tant d’information mensongers. C’est complètement inconséquent, insensé d’imaginer autre chose. C’est une injure faite à l’humanité et à des hutu locataires de la carte d’identité française. C’est une injure d’accabler une communauté hutu réduite à la merci du premier venu au profit d’un régime sanguinaire du FPR Inkotanyi pour fuir la responsabilité qui incombe aux signataires des traités internationaux sur la répression du crime de génocide. Tout effort est vain à qui cherche à soustraire et exonérer le FPR Inkotanyi de ses responsabilités dans la tragédie rwandaise dans son ensemble. Il faudra d’abord lui en filer une muselière et une laisse, ils s’acclament Roi de leurs exploits génocidaire comme des beaux nègres rwandais du 18e siècle. Franchement, à force d’exciter les Inkotanyi au point de non-retour, il appartient à la France d’avaler ; d’avaler les couleuvres. La virulence des propos du général François Lecointre chef d’état-major des armées françaises cache mal la virilité molle de l’armée française face aux Juifs et les suprémacistes blancs. On dirait une armée qui a une seconde patrie. Pour certains Français la carte d’identité française pour x ou y raison est susceptible d’être retirée et déchirée et ce n’est pas tout le monde qui peut faire appel à l’Alyah et se permettre de brader la vie d’autres citoyens français. Il est recommandé au général François Lecointre chef d’état-major des armées françaises pour les accusations des viols à faire appel aux experts en balistique des juges français Marc Trévedic et Nathalie Poux : ils sont qualifiés également pour ce genre de calibre. De plus, ils sont aux ordres.
Le dernier point et pas le moindre ; depuis 27 ans de règne du FPR Inkotanyi sans partage, Paul KAGAME ne rate pas l’occasion pour fustiger la démocratie occidentale. Il n’en veut pas. Mettre ça en rapport avec la volonté du président François Mitterrand de démocratiser le Rwanda en privant son allié Juvénal HABYARIMANA les moyens pour vaincre définitivement préféra prolonger la guerre au profit des acteurs politiques Inkotanyi qu’il ignorait la nature ; n’est-il pas là où se trouver le nœud de la tragédie rwandaise et le malaise français ? Sachant pertinemment que la guerre engendra de nouveau la haine ancestrale entre hutu-tutsi. Pourtant, il existe d’autres leviers notamment économiques pour exercer une pression sur un allié.