PATRICK DE SAINT-EXUPÉRY UN DES SÉIDES DU RÉGIME DU FPR INKOTANYI

Par Jean Uwizeye

L’un des 7 piliers du régime Inkotanyi au pouvoir actuellement au Rwanda de Paul KAGAME et les siens est les médias dominants entre autres et qui sont repris par le monde entier. Cette force de l’information, l’éclat de leur enseigne, leur talent et leur prestige au service du sanguinaire de Kigali ont contribué et contribuent à diaboliser la communauté Hutu rwandaise et en général. Un grand sanguinaire qui ne manque pas l’occasion de revendiquer ses forfaits et outrages. Cette complicité est source de la publicité mensongère qui consiste à nous vendre une idée d’un pays prospère et paisible en oubliant sciemment de souligner le manque de la liberté et la violation endémique du droit pour jouir et s’épanouir. On cherche à cultiver en nous des sentiments trompeurs de sécurité. Le mépris de la dignité humain et le traitement de l’actualité de façon cordiale au régime de Kigali par ces médias en RDC et ailleurs où les hostilités et la prolongation de cette guerre entre hutu-tutsi a pris racine et fait rage est consécutive à cette solidarité nourrie par la convoitise des richesses de la région. Le dévouement de ses canaux de l’information à diffuser la propagande des suprémacistes tutsi a atteint un point où il faut craindre en Europe comme aux États-Unis des affrontements à l’image du conflit israélo-palestinien. Rappelons simplement que l’importation du conflit du Moyen-Orient n’est pas le fait uniquement de l’immigration, mais bel bien le résultat des médias dominants en odeur de sainteté avec la haine. Cette haine a engendré le terrorisme islamique et l’islamophobie endémique et Dieu seul sait l’avenir. En l’occurrence, le journaliste Patrick de Saint-Exupéry est actuellement entre de faire la publicité de son dernier livre intitulé « la traversée », un ouvrage négationniste du génocide dit des hutu en recourant à des termes et vocabulaires des suprémaciste tutsi sans que personne ne puisse s’offusquer à cette ignominie en cours dans les médias dominants français.

Par manque de liberté d’expression pour nos aînés hutu rwandais en exilés, à qui l’occident à réduit en silence dans les prisons ou en les renvoyant dans la gueule des lions INKOTANYI et d’autres ne trouvent pas des pays d’accueil bien que le TPIR les a innocentés et ils croupissent en détention en Tanzanie  ; d’autres sont coffrés au Rwanda ou ailleurs dans les fosses communes ou quelques parts dans la solitude. Un vide s’est installé pour laisser prendre place l’idéologie suprématie tutsi. 

LES MŒURS DU GÉNOCIDE DIT TUTSI 

Anselme de Cantorbéry 1033-1109 : « Je ne cherche pas à  comprendre pour croire, mais je crois pour comprendre. Car je crois aussi que je ne pourrais comprendre si je ne croyais pas ». Au sujet du génocide dit des tutsi, appellation d’origine contrôlée FPR INKOTANYI, Cette citation célèbre d’Anselme de Cantorbéry résume la façon dont le dit génocide des tutsi a été décrété par les instances internationales des suprémaciste blancs y compris le Tribunal International pour le Rwanda (TPIR) pour neutraliser les hutu Rwandais et en général. Les conséquences de cette démarche de haine aveugle envers les hutu Rwandais et en général, ces sont entre autres les mœurs du génocide dit des tutsi : 

1. Dire à ce jour que le FPR INKOTANYI a commis un génocide dit des hutu rwandais revient à minimiser le génocide dit des tutsi voir le nier.  En quoi cette révélation est vrai ? Il faut remonter aux origines des termes HUTU-TUTSI-TWA selon le registre disponible sur instinzi tv https://youTube.be/fEB1FBVAdLU dans la bouche d’un historien tutsi rwandais Nsanzabera Jean de Dieu qui se trouve actuellement à Kigali  : Nsanzabera Jean de Dieu dit grosso modo que les HUTU-TUTSI-TWA sont des castes, la première caste TUTSI réunie en son sein des hommes de capacité intellectuelle élevés disons au-dessus de la moyenne. Les Tusti sont les seuls aptes à diriger la chose publique. La seconde caste Hutu n’est qu’un ensemble d’hommes ignares ; incapable de saisir la bonne marche de la chose publique. La troisième caste TWA quant à elle, regroupe les parias… Pour nos suprémaciste tutsi, il est insupportable pour eux de mettre au même niveau les hutu et les tutsi sauf peut-être pour dissimuler les cadavres des hutu en les faisant passer pour ceux des tutsi. Voir le procès en cours actuellement de Gérard Urayeneza.

Par manque d’affinités avec la tradition politique Nyiginya-Tutsi Patrick de Saint-Exupéry et consorts véhiculent la nouvelle idéologie de la supériorités des races dérivée de la tradition politique Nyiginya-Tutsi. Pour vous en rendre compte de la nature politique des suprémaciste tutsi aujourd’hui dans le Rwanda de Paul KAGAME et les siens on n’utilise plus l’attribut TWA pour désigner la communauté de la troisième ethnie rwandaise ; on emplois officiellement « ABASIGAJWE INYUMA N’AMATEKA » en bon français cela veut dire  « ARRIÉRÉS ». La dernière personnalité politique à infliger ouvertement sans équivoque une telle injure à une communauté, c’est Nicolas Sarkozy en tant que président de la République française à Dakar le 26 juillet 2007. Mais dans son discours, on relève également ceci : « … Ceux qui jugent la culture africaine arriérés, ceux qui tiennent les Africains pour de grands enfants, tous ceux-là ont oublié que la Grèce antique qui nous a tant appris sur l’usage de la raison… » Deviner quoi ? C’est l’un des Français à l’aise avec notre sanguinaire squatteur du village Urugwiro. L’autre homme puissant dans la sphère occidentale mise à part Donald Trump avec sa petite phrase « trou de merde », c’est le président Barack Obama, l’apôtre de l’homosexualité. Dire à quelqu’un en occident qu’il est PD (homosexuel(le)) c’est une insulte qui provoque les bagarres. Maintenant, Barack est au courant de notre sentiment intérieur envers sa personne. La dimension de la suprématie tutsi est vaste et variée ; la famine de longue durée « Nzaramba » consécutive à des réformes agraire inappropriées est aujourd’hui présentée par nos suprémaciste tutsi  comme une inaptitude de la masse sociale rwandaise à faire une cuisine adéquate et équilibre. En bref, bien que Paul KAGAME et les siens sont de loin les seuls sur cette planète terre à conserver les oripeaux de la tradition politique séculaire au détriment du bien-être de leur population, ils sont l’obstacle à la paix et porteurs des germes de haine au Rwanda.

LE DRAME RWANDAIS : UNE TRAGÉDIE ET À LA FOIS UN TRIOMPHE 

2. À la citation d’Anselme de Cantorbéry, dans notre cas de figure rwandaise, la préférence va pour celle d’Augustin D’Hippone : « Comprends pour croire, Crois pour comprendre ». C’est-à-dire chercher à comprendre pour…

Omettre de chercher la vérité véritable nerf de la paix en faisant passer le carnage rwandais pour une tragédie et à la fois un triomphe est une autre réalité de la suprématie ; l’armée tutsi de Paul KAGAME et les siens vainqueur de la bataille du 04 juillet 1994 s’est rendue auteur des massacres à grande échelle reconnus désormais par son chef suprême ; n’est-ce pas que le sauveur des tutsi et à la fois le fossoyeur des hutu ? Quelle est la signification de l’héroïsme des Inkotanyi par rapport à l’ensemble des Rwandais ? L’accueil chaleureux qu’on a toujours réservé à Paul KAGAME comme sauveur des tutsi dans le monde entier est aussi le fruit de la propagande des suprémaciste blancs qui épouse celle des suprémaciste tutsi. L’étude approfondie du conflit hutu-tutsi, le recensement indépendant et impartial est susceptible de réduire le génocide dit des tutsi à un détail, un accident de l’histoire, car l’ampleur du génocide des hutu Rwandais, Burundais et congolais tués dans cette guerre civile est au moins dix fois plus que les chiffres officiels. Pour Paul KAGAME et les siens, c’est une vérité insupportable, ils n’ont pas massacre tout ce monde pour être marginalisés par les statistiques. La campagne génocidaire PUNGUZA a pour objectif de niveler vers le bas le nombre des HUTU. Le nombre des victimes rwandais HUTU-TUTSI-TWA confondues s’élever à près de trois millions de personnes. Officiellement, plus de 1 600 000 ont été dénombré par CNLG comme tutsi sans tenir en compte totalement les hutu Rwandais tués au Rwanda et en RDC. 

OUVERTURE D’ESPRIT OU PRESSION POLITIQUE 

Comme le dit désormais Paul KAGAME dans le journal Independent du 02 mars 2021 : « OK, il y a beaucoup de Hutus qui sont morts. Mais ils ne sont pas morts parce qu’ils ont été ciblés pour qui ils sont. » https://www.google.com/amp/s/www.independent.co.uk/stop-the-illegal-wildlife-trade/rwanda-paul-kagame-interview-conservation-b1810132.html%3famp. L’autre problème majeur de la société rwandaise est d’une ampleur démesuré. Les détracteurs des survivants hutu comme Patrick de Saint-Exupéry  et consorts doivent sérieusement méditer sur le mea-culpa de leur idole dit sauveur des tutsi.   

UN POIDS DEUX MESURES 


Dans la même démarche, à l’occasion d’un autre entretien télévisé, Patrick de Saint-Exupéry : https://youtu.be/BSiRKWgUltE. On nous apprend que les leaders HUTU ont immolé la plèbe hutu. No commentaires. Ce qui est vrai pour les hutu, n’est-il pas vrai pour les tutsi ? L’un de particularité de la population rwandaise qui est mise en avant pour dire que le colonisateur a divisé la société rwandaise source d’étonnamment dans le monde entier, c’est qu’au Rwanda, il y a une seule langue, culture, partage des mêmes croyances ! N’est-ce pas que, par évidence que, les Rwandais en termes de moral, d’éthique et immortalité sont à la même longueur du pur comme du bien ? Pourquoi alors s’en prendre à ceux qui affirment avec raison et preuves d’ailleurs que les Inkotanyi ont participé dans le génocide des tutsi ? Lorsqu’on évoque le génocide dit des hutu Rwandais, on a aussi souvent les propos plus incroyable que la négation de Patrick de Saint-Exupéry : le FPR INKOTANYI n’a pas commis un génocide des hutu Rwandais parce qu’il ne faisait pas de différence entre hutu-tutsi et qu’il a tué sans distinction. Autrement dit, c’est un aveu avec des preuves irréfutable que les soldats tutsi ont participé à l’extinction des leurs. 

DANS LES MÉANDRES DU GÉNOCIDE DES HUTU RWANDAIS ET EN GÉNÉRAL 

L’IGNORANCE NÉCESSAIRE À LA SOUMISSION

Le mobile du génocide dit des hutu est de deux ordres : l’un consistait et consiste à détruire les élites hutu conformément à l’usage politique séculaire Nyiginya-Tutsi qui a fait ses preuves en 1972 au Burundi. Cette pratique politique n’est pas singulière au Rwanda même Nicolas Machiavel en a dispensé dans son livre Le Prince. À y voir de près Honoré de Balzac y adhérer. « Il est plus facile de gouverner un peuple d’idiots qu’un peuple de savants. Une nation abrutie est heureuse : si elle n’a pas le sentiment de la liberté, elle n’en a ni les inquiétudes ni les orages… L’ignorance : c’est par elle seule que se maintient le despotisme ; il lui faut des ténèbres et le silence ». Honoré de Balzac dans Physiologie du mariage paru en 1829. L’autre mobile est lié à la démographique défavorable, un certain nombre des hutu Rwandais tués ont été victime de la campagne PUNGUZA pour créer de l’espace vide et des rapports politiques équilibré. Le plan génocidaire initial des Inkotanyi a échoué partiellement à cause de la résistance farouche à sa campagne militaire et sa progression lente qui a permis un grand nombre des hutu de fuir. Et les massacres des tutsi a dépassé les prévisions initiales des stratèges Inkotanyi. Le FPR INKOTANYI avait prévu de tuer discrètement un certain nombre des tutsi pour se rendre indispensable à eux comme protecteur tout en suscitant un élan de solidarité, fidélité à la cause, à la communauté et avoir un mobile solide pour décimer les hutu. « OK, il y a beaucoup de Hutus qui sont morts. Mais ils ne sont pas morts parce qu’ils ont été ciblés pour qui ils sont. » Ces paroles sont récemment sorties de la bouche du chef suprême des Inkotanyi. Ici, il faut éviter des amalgames, il ne s’agit pas des victimes collatérales, le mode opératoire des génocidaire tutsi prouve bien que nous sommes entre de vivoter au Rwanda, en RDC  dans le domaine de la mort, mais mort relevant du cadre juridique chapitre génocide. 

LA FAMEUSE DISCIPLINE MILITAIRE DES SOLDATS TUTSI DE PAUL KAGAME ET LES SIENS 

La notoriété et la suprématie militaire des tutsi saluées dans le monde est dû à sa discipline. C’est un FAIT acquis avec peine et sacrifice. Une armée disciplinée est une armée qui obéit à ses chefs. C’est scientifique ! Cette armée bien discipline qui a ravagé toutes les villes et villages du Rwanda comme en RDC n’est il pas génocidaire ? Comment définir la discipline militaire : «Si je prends une file de chanvre tout seul et que je le tire un peu fort, il se casse. Si j’en prends un autre ensuite, puis un troisième, dix et vingt, il en est de même. Mais si, tous ces fils, je les enlace ensemble, j’en fais une corde solide et il n’y a plus moyen de la casser, on peut s’en servir. Dans l’armée, il y a beaucoup d’hommes différents. Dans un régime, le 33e par exemple, il y a beaucoup d’hommes différents. Chacun de ces hommes, séparément, ne pourrait pas faire grand-chose, et s’il y avait la guerre et qu’ils se battaient chacun de leur côté, les Allemands n’auraient pas de peine à les démolir tous les uns après les autres. Seulement ces hommes, on les met ensemble, on les fait agir ensemble, on les discipline, et voilà un régiment magnifique, les Allemands n’ont qu’à se bien tenir. LA DISCIPLINE, C’EST-CE QUI FAIT AGIR ENSEMBLE. Une troupe, une armée disciplinée, c’est une troupe qui agit avec ensemble et comme l’union fait la force, c’est une troupe qui remportera la victoire. Vous voyez donc combien la discipline dans l’armée est une chose importante. C’est la plus importante de toutes. Une troupe disciplinée, c’est une troupe qui sera victorieuse. Une troupe indisciplinée, c’est une troupe qui sera battue. En bien ! Comment va-t-on faire de tous ces hommes différents qui arrivent de partout un régiment, un 33e discipliné ? On va le faire par deux moyens : L’OBÉISSANCE AUX CHEFS, VOILÀ UN MOYEN. ET PUIS LA SOLIDARITÉ, VOILÀ L’AUTRE MOYEN. C’EST UN BIEN GRAND MOT, N’EST-CE PAS, LA SOLIDARITÉ ET C’EST AUSSI UNE TRÈS GRANDE CHOSE». Notes pour un discours aux recrues, 1913 par Charles De Gaulle à Saint-Cyr

Le Chef suprême des Inkotanyi à (perpétuité) PAUL KAGAME est l’auteur de nombreux discours où il revendique ses exploits au Rwanda comme en RDC, Kenya, Afrique du Sud… http://jkanya.free.fr/murambifra070407.html. Et il n’y a pas que les discours, dans une région actuellement sous les feux de l’actualité GITWE en commune Murama Préfecture Gitarama chez Paul RUSESABAGINA, chef Habimana Callixte alias Sankara, chef Urayeneza Gérard… Il y a des fosses communes comme c’est le cas en commune Mukingi, Masango, Ntongwe… Les guides dignes de foi, il en existe à Paris. Notre désormais compatriote dans les papiers d’identité Patrick de Saint-Exupéry qui affiche son mépris pour nos ancêtres sans le savoir a déjà dangereusement importé le conflit hutu-tutsi dans les rues de France. L’intention génocidaire de Paul KAGAME et les siens est perceptible dans ses discours. En somme, la réunion des mobiles du crime associé aux discours de Paul KAGAME et les siens avec les modes opératoires des Inkotanyi, appréciés à leur juste valeur indique que les hutu ont été victime d’un génocide. Cependant, le mot génocide au Rwanda n’a pas sa place, car il n’est traduit pas fidèlement à sa juste valeur la gravité de la tragédie rwandaise. Les hutu Rwandais et en général ont participé à la destruction de leur communauté hutu idem pour les tutsi qui ont participé à la destruction des tutsi. C’est une entorse et une altération de nature à rendre la qualification de la tragédie rwandaise de « génocide » biaisée. À ce qu’on en sachant, il n’y a pas d’équivalent dans les génocides reconnu ailleurs. Patrick de Saint-Exupéry est un mercenaire, un Séide au service du  régime sanguinaire des INKOTANYI. Il n’est pas du tout animé par les valeurs d’égalité, de vérité et de paix.