INTERPELLATION À L’OPINION PUBLIQUE

Actuellement à Bruxelles, on juge deux Hutus Rwandais accusés d’avoir joué un rôle dans les émeutes de 1994 au Rwanda. Soulèvement populaire marqué par la violence à l’occasion d’une situation conflictuelle, généralement spontané et non organisé, c’est la définition donnée à l’émeute concordante aux événements dramatiques d’avril – juillet 1994 au Rwanda.

Il semble nécessaire d’interpeller l’opinion publique sur un fait historique de grande importance pour tout ressortissant rwandais dans le collimateur de la politique létale du FPR Inkotanyi. Ici, il s’agit de la crédibilité et de la valeur des témoignages des spécialistes dit du Rwanda ou des génocides, témoins clé de l’accusation, qui pose un sérieux problème. L’influence politique, idéologique et juridique de ces gens a contribué jusqu’à présent à tordre la vérité, à légitime les guerres en RDC et le déni de justice pour la population hutu et la population congolaise sans oublier des nombreux droits fondamentaux et élémentaires bafoués allègrement pour les accusés. 

Gardez-vous avec soin du levain des Pharisiens. C’est Jésus-Christ qui a dit ça et sa parole reste la vérité. Aussi, sans prétentions, gardez-vous avec soin des farceurs de mauvais goût comme Trévor Noah. https://youtu.be/NTrSTq7fJwA?si=avTY6LKwtikq6R0o. Selon la communauté juive ; texte parmi tant d’autres qui est tire du site internet mémoire de la Shoah https://www.memorialdelashoah.org/archives-et-documentation/genocides-xx-siecle/genocide-tutsi-rwanda.html

 « Le génocide des Tutsi s’enracine dans la politique coloniale et l’idéologie du XIXe siècle. Le colonisateur belge choisit en un premier temps de s’appuyer sur les Tutsi en créant le mythe de leur supériorité sur l’autre communauté, les Hutu. L’antagonisme né de cette hiérarchisation est exacerbé lors de l’indépendance du Rwanda dans les années 60, marquées par un renversement du pouvoir qui échoit alors aux Hutu avec l’appui de la Belgique. Le jeune Etat rwandais réduit toute forme d’opposition politique à une lutte raciale opposant des soi-disant ethnies, en fait des communautés apparentées historiquement à des clans ».

Or, historiquement, le conseil supérieur du Pays a répondu à cette question ou énigme par « il n’y a pas un problème hutu-tusti ». C’était à la fin de la période coloniale. Pour démontrer cette absence de problème majeur du pays selon le colonisateur ; les plus grands serviteurs du palais royal Nyiginya-Tutsi avec les preuves à l’appui ont justifié l’exclusion des hutu par leur statut de serf ou d’esclave consécutif à la défaite et disparition des royaumes hutu. Rappelons simplement que l’esclavage comme la colonisation sont des crimes contre l’humanité. Ses conséquences fâcheuses pour l’homme noir sont encore vives nombreuses sur sa destinée et sur sa nation des siècles après son abolition et des décennies après la colonisation.

La caste hutu des serfs est loin d’être apparentées historiquement à des clans. Un clan est défini comme groupement de personnes ayant entre elles un rapport de parenté soit du point de vue du père, soit du point de vue de la mère. Tandis qu’une caste est un groupe social endogame, ayant le plus souvent une profession héréditaire et qui occupe un rang déterminé dans la hiérarchie d’une société. Groupe qui se distingue par ses privilèges et son esprit d’exclusive à l’égard de toute personne qui n’appartient pas au groupe.

La différence n’est pas moindre, les suprémacistes tutsi comme les suprémacistes blancs ont toujours considéré que leurs esclaves étaient traités comme des membres de famille. Une façon d’esquiver les accusations des cruautés qu’ils ont toujours infligées aux esclaves par un rhétorique négationnisme. Méfiez-vous des alliés de Paul KAGAME et les siens en Europe comme aux États-Unis d’Amérique. Ils ont tellement des points communs et leur agenda politique dans la région reste sanguinaire. Le soutien indéfectible de la classe politique anglaise au régime suprémaciste tutsi de Paul KAGAME et les siens dans l’affaire des immigrés illégaux est un exemple parfait.

Par cette réponse plein de sagesse de la cour royale Nyiginya-Tutsi, il apparaît très clairement que le problème hutu-tusti est un fait historique antérieur à la colonisation et pas un mythe de supériorité créé par le colonisateur belge. Comment accepter alors cette paternité du génocide alors que les plus grands représentants du pays à une époque où les gens assumés ouvertement leur suprématie ont indiqué et défendu l’origine de l’antagonisme hutu-tutsi par ricochet l’origine du génocide dit des tutsi s’il en est un, comme étant une conséquence historique endogène. Toutes les autres explications sont des foutaises. De la même façon que Paul KAGAME et les siens ont obtenu leur appellation d’origine contrôles « génocide tutsi » à l’ONU, il en fut autant pour les cartes d’identique avec les mansions hutu-tutsi-twa.

Le FPR Inkotanyi et ses alliés suprémacistes blancs ont inventé un narratif qui réfute le caractère d’un soulèvement populaire, spontané et non organisé d’une partie de la population rwandaise qui était excédée par les crimes du FPR Inkotanyi et l’assassinat des présidents Juvénal HABYARIMANA et Ntaryamira Cyprien avec leurs suites. Spontané si on exclut le rôle joué par les infiltres du FPR Inkotanyi qui avait besoin d’un alibi solide pour rompre les accords d’Arusha pour son dernier offensif généralisé de son étape de conquête du Rwanda. C’est aussi l’une des explications plausible du rôle joué par un grand nombre de tutsi dans les massacres d’avril 1994.

En excluant les tutsi comme tueurs et les hutu comme victimes. Le narratif actuel subtil consiste à créer un contexte d’explication favorable et conforme avec le concept de génocide. De cette façon en supprimant l’histoire du Rwanda précoloniale défavorable aux tutsi, ils s’épargnent le devoir de prouver la justesse de la thèse du dit génocide. Ils l’ont décrété et l’ont crédité artificiellement au TPIR avec une campagne médiatique mensongère soutenue dans le temps. C’est un procède qui a déjà fait ses preuves et des ravagés dans l’histoire des nègres. Un peuple sans héritage historique réduit à l’état animal.

En revanche, il serait intéressant de savoir qui entre l’UNAR et le FPR Inkotanyi a tort sur ce sujet, car la vérité réside dans cette phase initiale de l’histoire du Rwanda. Il n’y aurait pas eu de révolution et des réfugiés tutsis monarchistes encore moins leurs tentatives de retour sanglant.

Les réfugiés tutsis dans leur exil ont développé une idéologie victimaire létal en oubliant au passage qu’ils ont été des supplétifs du colonisateur allemand et belge. Vont-ils un jour de commun accord avec les Allemands présenter des excuses pour leur œuvre civilisateur dans le nord du pays ? Ils ne peuvent pas avoir été privilégiés et associés à la destinée de la nation rwandaise dans cette période charnière comme il en est et prétendre en même temps au statut des victimes si ce n’est pour masque leurs propres responsabilités politiques. Leur système féodal injuste s’apprêtait parfaitement aux exigences de la colonisation comme il en est aujourd’hui avec le FPR Inkotanyi.

Admettons un instant que l’origine du problème HUTU-TUTSI est due à la colonisation ; le fait que la cour royale Nyiginya-Tutsi ne l’a pas adressé au moment où le problème avait été soumis devant l’instance supérieure du pays où siéga le Roi pour examen ; et préféra le nier, indique tant bien que mal l’origine du génocide dit des tutsi, soit par l’omission de la cour royale Nyiginya-Tutsi d’accomplir son devoir soit par un fait historique antérieurement lointain à la période coloniale dans la suite logique des explications des grands serviteurs du palais royal Nyiginya-Tutsi par ailleurs cohérentes avec l’évolution du royaume du Rwanda. L’esclavage conséquence de la politique expansionniste du royaume Nyiginya-Tutsi. Sinon, ils auraient préféré donner les explications que le FPR Inkotanyi nous suggérer. La faute d’omission en droit est définie comme l’abstinence à faire ce qui aurait dû être fait.

Divisionnisme des suprémacistes tutsi 

Pour les plus grands serviteurs du palais royal Nyiginya-Tutsi, il n’y a pas de lien de fraternité entre les HUTU-TUTSI-TWA. Cette vérité des suprémacistes tutsi s’est encore vérifié une fois de plus dans l’affaire Twahirwa Séraphin. Cet homme a risqué sa propre vie pour une personne qu’il croyait partager un amour et ce n’est pas l’absence de gratitude dans son affaire qu’il s’agit, mais bel bien de la fraternité. Même avec les aveux tardifs de son épouse dans un retournement judiciaire spectaculaire, le but poursuivi initialement était de démontrer cette absence de fraternité entre hutu-tutsi. Il n’est pas le seul à le vivre. Paul RUSESABAGINA, a-t-il trouvé à Kigali une seule personne à risquer sa propre vie parmi les mille personnes qu’il avait aidées en 1994 ? Il y en a tant d’autres.

Selon les suprémacistes tutsi, le fait d’avoir aidé les tutsi prouver un certain degré de pouvoir ou d’autorité au sein des émeutiers. Être né ou avoir marié, sauvé les tutsi n’est pas un gage ou preuve de fraternité. Voilà une façon ingénieuse de tenir éloignés les uns et les autres pour nourrir les radicaux. C’est le fond de la pensée du général rwandais James Kabarebe dans son dernière intervention. Il a peur que leurs jeunes gens élevés comme des poules en batterie dans les amatorero où ils ne voient pas le soleil ( la vérité historique), soient influences par d’autres enfants rwandais qui luttent pour leurs droits fondamentaux.

Pour garder une certaine cohésion intérieure, Le FPR Inkotanyi a toujours besoin au préalable de radicaliser la communauté tutsi pour se garantir l’entière fidélité de ses membres face au périr hutu. Même ceux qui ont des affinités avec les suprémacistes tutsi l’apprennent souvent à leur dépens même quand ils sont tutsi de père et de mère. Kizito Mihigo n’est-il pas mort assassiné pour avoir cherché à construire les ponts entre les HUTU-TUTSI-TWA ? On voit bien qu’il ne sert à rien de chercher la source du divisionnisme au Rwanda, car les autorités politiques légales et légitimes de l’époque l’ont fourni en héritage au FPR Inkotanyi. La prestation de services des spécialistes du Rwanda témoin de l’accusation ne fait qu’orienter les débats dans un sens inextricables pour les accusés, favorables aux demandeurs et altère le discernement du jury. Le but est de créer de toute pièce un climat génocidogène dans l’imaginaire du jury et du public en général prêt à les suivre.

Dans les procès des Hutu tenus en Belgique, l’avocate juive, vedette, Michèle Hirsch, a toujours obtenu la condamnation des accusés hutus en suivant ce procédé. Pour elle, les Hutus sont des nazis collectivement d’une façon ou d’une autre. Le public ne devrait pas oublier que Paul KAGAME et les siens ont fait de la persécution des Hutu à l’étranger une de leurs priorités sous les conseils prodigués par la communauté juive. Michèle Hirsch tient bien son rôle de persécuter les hutu. Es-tu sûr d’être bien défendu par un avocat juif ? Es-tu en sécurité quand ton médecin est juif ? Ce sont des questions que tout hutu devrait se poser, car ces gens-là nous ont déclaré la guerre. Faustin Twagiramungu, s’en est-il assez méfié. Dans les hôtels et restaurants, méfiez-vous.

Il est reproché aux accusés d’être des proches du feu président Juvénal HABYARIMANA. Le sort de ce dernier est celui qu’ils veulent réserver aux accusés. Il existe un projet politique documenté d’éliminer les supposés proches et proches du courant politique du président Habyarimana Juvénal. La synthèse est disponible dans les livres et écrits du professeur Kubwimana Mureme Bonaventure un des Inkotanyi qui s’ignore. La preuve en est que, un des accusés vit avec les séquelles de tentative d’assassinat dans son exil. Ce n’est pas lui qui devrait être sur le banc des accusés. C’est l’autre partie au procès qui n’est pas à sa place.

Cet homme qu’ils accusent d’avoir fourni de l’argent pour la besogne, était-il comptable quelqu’un part dans les entités mis en cause ? Il faut distinguer la personnalité juridique. La personne morale de la personne physique pour comprendre les amalgames. Pour la personne morale, l’absence de l’objet d’être condamnable ou illégal, du plan et de l’entente à commettre des crimes qu’on leurs reproches, exonérer quiconque ayant contribué au financement des entités RTLM ou mouvements politico-militaire dans leurs gestions contractuelles, civiles et pénales. Seuls les dirigeants et salariés ou bénévoles chargés de la gestion sont responsable devant la loi en tant que personne physique. En-dehors, les associés, les adhérents ou les membres ne peuvent que subir la perte ou disparition de l’entité à hauteur de leurs apports.

L’accusé Pierre Basabose en tant que personne physique n’est pas visé comme tel, on dirait qu’il était trésorier ou gestionnaire. Il en est rien de tout ça. Il est juste victime de l’inimitié et de l’aversion envers les personnes de son entourage envié et le phantasme sur sa richesse. Le reste des témoignages sont des paroles contre paroles.

Où trouver les coupables pour rendre justice aux morts ? Avec l’avènement des chaînes YouTube, il n’y a plus de monopole d’information. Les anciens du FPR Inkotanyi parlent sans le devoir de réserve. Ils ignorent souvent la clause de confidentialité professionnelle inhérente à leur contrat de travail comme Paul KAGAME lui-même quand il est ivre de colère. On sait que par exemple, le FPR INKOTANYI a continué de recruter et de former les militaires après la signature des accords d’Arusha au lieu et à la place de la démobilisation. Les noms, les dates, les immatriculées des recrues sont disponible. C’est une des preuves solides contre le FPR Inkotanyi pour la rupture des accords de paix d’Arusha de façon préméditée.

Dans ces centres d’endoctrinement, le FPR Inkotanyi enseigne que le pays est plus important que ses habitants pour justifier ses sacrifices pour son offensif d’avril-juillet 1994. Il était encore possible de sauver la situation après les premiers jours du 06 avril 1994, mais le FPR Inkotanyi en connaissance de cause a préféré la prise du pouvoir total qu’un compromis pour obtenir un cesse le feu qui aurait pu sauver la vie d’un grand nombre. Mais les va-t en guerre du FPR Inkotanyi comme le fidèle compagnon de Paul KAGAME le général Mubarak Muganga  priaient pour avoir la guerre et les victimes à brandir comme un casus belli.

Qui est vraiment génocidaire quand vous avez les tutsi comme Vital Mucanda alias Kivumbi, le général Rwandais Mubarak Muganga qui décline leur casier judiciaire sans susciter un élan de solidarité avec Michèle Hirsch ? C’est son père qui a connu les camps nazis, elle, elle ne peut pas les identifier. Elle fantasme sur des récits sans se méfier de l’intox qui est propre à tous les régimes.

L’état d’esprit des suprémacistes tutsi parle de lui-même. Les spécialistes témoins de l’accusation n’en tiennent jamais en compte pour avoir une lecture fidèle à la réalité rwandaise. Pour conclure, il serait sage pour les états limitrophes du Rwanda de casser la machine de guerre des suprémacistes tutsi pour stopper définitivement leurs guerres expansionnistes actuelles et à venir. C’est la seule option durable pour la paix et pour anéantir leur volonté de domination des peuples de la région des grands lacs africains qu’ils ont toujours pris pour des sous-hommes.