Kagame na Kabarebe babusanya ku bwicanyi bw’i Kongo

3 COMMENTS

  1. Parler c’est bon mais agit c’est encore mieux.
    Les assassins sont notoirement connus. Ils ont même avoué leurs méfaits devant des millions de Rwandais.
    Certains membres des familles des victimes résident dans les Etats dits de droit où les juges sont au service de la justice pour tous. Il s’agit notamment de la mère de l’enfant qui a été assassiné avec les religieux à Gakurazo. Sa mère réside dans un Etat dit de droit.
    Force est de constater qu’aucun des membres des familles de ces religieux n’a judiciairement actionné les assassins notoires devant un tribunal du pays où il réside.
    Agir est plus judicieux que les discours. Ceux-ci restent inaudibles. Plus vous parlez, moins vous êtes entendus, plus vous agissez, plus vous êtes entendus. Moins de discours, plus d’actions.

  2. Le comble pour ce gens est que ces gens, même si le cynisme est un mot dépourvu de sens, ils font semblant d’ignorer leurs aveux publics devant des millions de Rwandais et étrangers.
    Ce qu’il faut faire, c’est prier pour qu’ils puissent répondre de leur méfait devant un tribunal impartial. Ainsi, Kabarebe exposera ses divagations cyniques devant les juges. Ce moment viendra. Ils sont imbibés du sang des millions de Rwandais. Leurs agissements ne resteront sûrement pas impunis. Les Rwandais sont maîtres de leur destin. Ils font oser dire que la place des bourreaux des millions de femmes, enfants et hommes de tous âges et conditions Rwandais est ailleurs et nullement à la tête de notre pays, logés et nourris par les membres de familles de leurs victimes. Pour ce faire, les collectifs des membres des familles des victimes résidant dans les Etats dits de droit doivent être créés et agir judiciairement contre les bouchers des millions de Rwandais devant les tribunaux de ces Etats. Les crimes qui ont été commis sont imprescriptibles. Je n’ignore pas des liens entre les criminels et certains de ces Etats dont ces premiers sont serviteurs et conséquemment les difficultés pour accéder à la justice de ces Etats. L’important est d’oser agir légalement contre les criminels devant les juridictions des Etats dits de droit. L’action collective est plus porteuse que l’action individuelle. Les membres des familles qui ont la chance de vivre dans les Etats de droit, osez et vous serez entendus. Débarrassez-vous de la peur liée à la croyance psychologique des discours négatifs des bourreaux contre les Rwandais. Kagame et les siens ont ventralement peur de deux éléments:
    1- Répondre de leurs méfaits devant un tribunal ou affronter leurs victimes devant un tribunal
    2- Affronter royalement leurs adversaires politiques ou accepter le débat avec ces derniers sur la gestion de notre pays devant des millions de Rwandais.
    Il convient de préciser que, eu égard à l’imprescriptibilité des crimes qui ont été commis, leurs auteurs présumés ne bénéficient d’aucune protection de quelque nature que ce soit. Ce qui signifie que si les plaintes à leur encontre sont recevables et qu’elles sont effectivement portées à la connaissances des publics rwandais et international, ils n’oseront plus faire le tour du monde.

  3. L’absence prolongée de Kagame est confirmée par son absence la cérémonie d’investiture du Président Tanzanien.
    Le président John Magufuli a prêté serment ce jeudi matin 5 novembre 2020.
    « Le président, élu en 2015 pour un premier quinquennat, s’exprimait en présence de trois de ses homologues: l’ougandais Yoweri Museveni, le zimbabwéen Emerson Mnangagwa et le comorien Azali Asoumani. »
    Le président rwandais, Paul Kagame, était curieusement absent.
    Une question posée par les Rwandais depuis plusieurs mois, où est le Président Kagame?
    Depuis mars 2020, Kagame est présenté par les médias du régime mais avec des images qui datent de plusieurs mois voire années.
    Les techniciens ont été démasqués par les faits.
    Les Rwandais ont assisté à une mise en scène de nouveaux parlementaires qui prêtent serment devant Kagame.
    Après la mise en scène, le journaliste Cléophas Barore de la Radio-TV Rwanda a eu un entretien avec deux journalistes sur l’événement. Et si Père Nahimana avait raison!!!
    Des Rwandais qui ont suivi l’entretien ont assisté à une mise en scène pitoyable : Un journaliste s’est présenté en train de parler avec les nouveaux sénateurs dans la salle où a lieu le serment devant Kagame. Tout était soigneusement organisée. Le journaliste et le sénateur étaient visiblement face à face. Le sénateur Twahirwa André, (un retraité franco-rwandais qui n’a jamais payé d’impôt au Rwanda et qui ne le payera sûrement pas car il devra déclarer ses revenus au fisc en France, lieu de sa résidence habituelle) répondait aisément aux questions du journaliste. Une mise en scène parfaite.
    Après l’entretien l’imposteur est démasqué : Barore demande à son collègue de lui passer le sénateur Twahirwa qui est censé être à côté de lui puisqu’il avait dit devant les Rwandais qui ont suivi l’émission qu’il était avec le sénateur à qui il venait de poser les questions face à face dans la même salle.
    La réponse du journaliste : je ne suis technologiquement en état de te le passer.
    En clair, devant des millions de Rwandais, que Kagame et le sénateur Twahirwa André n’étaient pas dans la salle et qu’il a donc techniqué.
    Quelques jours après cette mise en scène, le même Kagame a été vu avec les soldats dans une école militaire où il a même prononcé un discours. Qui sont ces gens qui sont à la tête de notre pays.

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