Les bouchers des milliers de femmes, enfants et hommes de tous âges de Kibeho sont notoirement connus. Au premier rang, il y a Kagame, alors commandant en chef du FPR, donneur d’ordre. Certains des membres des familles des victimes résident dans les Etats dit démocratiques en Europe et en Amérique. Dans ces Etats, les juges sont au service de la justice de tous ceux qui y résident y compris les exilés rwandais dont certains ont acquis la nationalité de ces Etats.
Au Rwanda, sous peine de disparaitre ou d’être exécuté publiquement, aucun des membres des familles des victimes ne peut judiciairement actionné ces bouchers.
Parler c’est bon mais agir c’est encore mieux. L’action est plus opérante que le discours.
Pour que les membres des familles des victimes soient audibles, il serait judicieux de constituer un collectif qui agira judiciairement contre les bouchers des leurs devant les juridictions des pays dans lesquels il vivent. Les actions isolées ou individuelles ne pourra pas prospérer, sachant que les auteurs des messages de masse contre des milliers de Rwandais y mettront un bon paquet de dollars US pour faire échouer les actions judiciaires ci-disposées. Dans un Etat dit de droit, le chantage, les danses dans les rues autres agissements négatifs de la part des officines du FPR opérant dans ces Etats évoqués ci-dessus sont inopérants dans le droit interne rwandais.
Agissez et parlez mois. Ainsi, vous serez plus audibles surtout que les faits sont établis et que nier leur existence sera sans effet. L’apathie ou les discours sans action de la part des membres des familles des victimes renforce l’impunité des criminels.
Les bouchers des milliers de femmes, enfants et hommes de tous âges de Kibeho sont notoirement connus. Au premier rang, il y a Kagame, alors commandant en chef du FPR, donneur d’ordre. Certains des membres des familles des victimes résident dans les Etats dit démocratiques en Europe et en Amérique. Dans ces Etats, les juges sont au service de la justice de tous ceux qui y résident y compris les exilés rwandais dont certains ont acquis la nationalité de ces Etats.
Au Rwanda, sous peine de disparaitre ou d’être exécuté publiquement, aucun des membres des familles des victimes ne peut judiciairement actionné ces bouchers.
Parler c’est bon mais agir c’est encore mieux. L’action est plus opérante que le discours.
Pour que les membres des familles des victimes soient audibles, il serait judicieux de constituer un collectif qui agira judiciairement contre les bouchers des leurs devant les juridictions des pays dans lesquels il vivent. Les actions isolées ou individuelles ne pourra pas prospérer, sachant que les auteurs des messages de masse contre des milliers de Rwandais y mettront un bon paquet de dollars US pour faire échouer les actions judiciaires ci-disposées. Dans un Etat dit de droit, le chantage, les danses dans les rues autres agissements négatifs de la part des officines du FPR opérant dans ces Etats évoqués ci-dessus sont inopérants dans le droit interne rwandais.
Agissez et parlez mois. Ainsi, vous serez plus audibles surtout que les faits sont établis et que nier leur existence sera sans effet. L’apathie ou les discours sans action de la part des membres des familles des victimes renforce l’impunité des criminels.