Abanyarwanda benshi ubwo génocide yakorwaga bararebereye, FPR nayo irigukora génocide turikurebera.

2 COMMENTS

  1. Il faut proscrire dans vos articles ou réactions l’utilisation des mots techniques qui ont un sens précis.
    Le génocide est une qualification juridique des faits criminels et nullement ces faits.
    Ce mot est préciséement défini par le droit interne rwandais et le droit international.
    Pour qualifier de génocide un fait criminel, il faut
    1/ effectuer des enquêtes approfondies sur les faits criminels en cause et ce , chronologiquement,
    2/ étudier profondément et rigoureusement le contexte ou les contextes dans le(s)quel(s) ces les faits criminels ont été commis.

    En l’absence de ceux éléments procéduraux, les faits en question ne peuvent juridiquement pas recevoir la qualification de génocide.
    Le génocide est une question d’intention et nullement de quantité. Ce qui singnifie que ce n’est pas parce des crimes de masse ont été commis contre un tel groupe de personnes que ces massacres sont nécessairement constitutifs de génocide. Les membres d’une ethnie attaque une autre et massacres des femmes, enfants et homme de tous âges pour des problèmes de terre et religieux. Les membres de l’éthnie attaquée réagit avec force et massacre des milliers de membres de l’éthnie agresseursn tout plus de 50000 dans une semaine. Ces massacres ne sont pas nécessairement constitutifs de génocide.
    Dans le ca du Rwanda, l’absence d’enquête internationale par une commission indépendante et impartiale sur les crimes qui ont été commis au Rwanbda, qui a été refusée par Kagame, exclut, à mon sens, la qualification de génocide des crimes qui ont été commis contre les Tutsi.
    Ce n’est pas parce que Kagame et ses sponsors et relais médiatiques étrangers ont ciré sur les toits que ces massacres constituent un génocide qu’ils constituent juridiquement un génocide.
    Les juges du TPIR et du Rwanda en l’occurrence se sont cassés en vain les pieds pour qualifier ces crimes de génocide tel qu’il est défini par le droit interne rwandais et le droit international. ils ont politiquement des millions de Hutu Rwandais pour génocide inexistant car son existence non prouvée.
    Que celui qui soutient le contraire puisse éclairer juridiquement les Rwandais, en particulier des millions de jeunes rwandais nés sous Kagame (qui ont retenu ce mot tel qu’il est défini par Kagame et nullement par notre droit interne).

  2. Je ne prétends pas détenir toute la Vérité sur le drame rwandais.
    Je tente de porter à la connaissance des Rwandais non informés ou insuffisamment informés, en particulier nos jeunes nés sous le régime Kagame ce que je sais.

    Que celui qui soutient le contraire éclaire les Rwandais.
    Une mise au point:
    Les massacres de masse contre les Tutsi est une évidence et aucun Rwandais ne les a niés ou ne peut les nier.
    La singularité du droit est qu’il ne retient pas les spéculations.
    Tout fait évoqué ou invoqué doit être irréfutablement prouvé quant à sa véracité.
    Il s’en suit que concernant ces massacres, ce qui pose juridiquement problème n’est pas leur existence mais leur qualification juridique à savoir “génocide”, tel qu’il est défini dans notre droit interne et le droit international ou le droit interne français.
    Ce n’est pas parce que Kagame, les siens et ses relais médiatiques en France et ailleurs crient sur les toits que ces massacres sont constitutifs de génocide qu’ils sont nécessairement constitutifs de génocide.
    Kagame a prétendu pris les armes contre les Rwanda pour libérer les Tutsi de l’intérieur ligotés par les fantômes au Rwanda. Il a ensuite infirmé ces assertions lors de l’entretien accordé au journaliste du The Monitor Ougandais , Charles Onyango Obbo du 26 février au 3 mars 1993. En effet, Kagame a dit limpidement qu’au Rwanda, il n’y a pas de problème Hutu-Tutsi, qu’il n’y a pas de problèmes de réfugiés Tutsi mais un problème politique, qu’il a pris les armes pour le régler et que le règlement est le changement du régime et la mise en place de nouvelles institutions et une nouvelle armée.
    En 1994, alors que les Tutsi étaient impitoyablement massacrés, femmes, enfants et hommes de tous âges, le Gouvernement Intérimaire dirigé par Kambanda a demandé à l’ONU le renforcement de la MINUAR. Il a également demandé à Kagame de cesser les hostilités afin que les soldats des FAR puissent mettre hors-jeu les criminels. Le chef d’Etat major de l’armée rwandaise par intérim Général Marcel Gatsinzi, pro-FPR notoire a effectué les mêmes démarches auprès de Kagame. Bagosora accompagné du Général Dallaire sont allés à Mulindi pour implorer Kagame pour qu’il cesse les hostilités afin de permettre au Gouvernement de neutraliser les criminels et partant protéger les Tutsi contre les massacres de masse (voir le livre de Dallaire, « J’ai serré la main du diable »). La réaction de Kagame fut cynique et cinglante: rejet total de la demande du gouvernement intérimaire, déclarations contradictoires des représentants du FPR au USA et aux Nations Unies et mise en garde sévère adressée à l’ONU par Kagame en cas d’envoi de soldats au Rwanda pour renforcer la MNUAR aux seules fins de protéger les Tutsi (toute armée étrangère sur le sol rwandais sera traitée comme telle et combattue). Kagame a même tenté de prendre en otage Bagosora et ceux qui l’accompagnaient. Ils ont eu la vie sauve grâce à l’intervention du Général Dallaire (voir son livre ci-dessus cité).
    Kagame savait pertinemment qu’en tout état de cause, s’il assassine le Président Habyarimana, sa tante maternelle Rosalie Gicanda sera tuée. Il avait dès lors le devoir absolu d’exfiltrer sa tante cela d’autant plus que la charité bien ordonnée comme par soi-même ou par les siens.
    Lorsque le FPR a conquis trois quarts du Rwanda c’est-à-dire lorsque Kagame a estimé que sa victoire est assurée à cent pour cent, il a sorti le mot génocide dont il avait précédemment infirmé l’existence.
    Un employé de Human Rights Watch (HRW) a colporté à grande dans un article qu’il a fait publier dans les médias américains. Mais Kagame et ses relais médiatique américain se sont gardés de dire » génocide des Tutsi ». Ces médias anglo-saxons disaient «génocide » sans autre précisions quant à l’ethnie ( voir les déclarations de Rudasingwa de Dusaid et la lettre adressé au Conseil de sécurité de l’ONU signée Gahima entre autres. Celui-ci, actuellement en exil, peut expliquer pourquoi a-t-il omis d’ajouter au génocide le mot « de Tutsi ». Les médias français ont repris moutonnement le génocide version Kagame et l’ont colporté à grande échelle en France et en Afrique francophone en particulier. Lorsque le gouvernement intérimaire a demandé expressément à l’ONU la création d’une commission internationale d’enquêté sur l’attentat contre l’avion du Président rwandais, Kagame a accusé la France d’avoir soutenu le gouvernement génocidaire c’est-à-dire le gouvernement qui lui a demandé de cesser les hostilités afin que les soldats rwandais puissent sauver les Tutsi des massacres de masse qualifié par lui de génocide autre précision.
    Pourquoi a accusé malhonnêtement la France afin de l’empêcher de demander à bon droit au conseil de sécurité de l’ONU dont elle est membre permanente la création d’une commission internationale d’enquête sur l’attentat car cet attentat avait emporté trois ressortissants français. Par conséquent, la France était fondée à demander la création de cette commission. Ni les USA, ni le Royaume Uni ne pouvait s’y opposer. Kagame a donc brillamment joué sur les contradictions entre les dirigeants français d’alors à savoir le groupe Balladur qui dirigeait la France et le groupe Mitterrand, PS.
    In fine, la France et ses médias ont colporté à grande échelle le mot génocide ou repris les fabulations des journaux anglo-saxons (voir les déclarations du Ministre des Affaires Etrangères Alain Juppé qui criait sur le toit « génocide » alors que son pays avait participé au rejet de la demande de création d’une commission internationale pour enquêter sur les massacres commis au Rwanda et les qualifier juridiquement de « génocide » ou d’autres crimes.
    Au sein de l’ONU, les USA, le Royaume Uni et autres Etats mobilisés pour la cause, se sont activés pour que le mot génocide des Tutsi soit retenu alors que sur demande de Kagame, les mêmes Etats ont rejeté le renforcement de la MINUAR et la création d’une commission internationale d’enquête sur l’attentat contre l’avion du Président Rwandais et les massacres commis au Rwanda formulée par le Gouvernement intérimaire.
    Ce qui signifie qu’au mépris des règles du droit pénal élémentaires, sans enquête, les USA, le Royaume Uni et dans une certaine mesure la France ont qualifié de génocide les massacres commis au Rwanda. Mais, ils se sont gardés d’indiquer dans la résolution 955 du Conseil de sécurité du 8 novembre le mot « génocide des Tutsi ». Au regard des informations en leur possession fournies par les experts envoyés au Rwanda par le secrétaire général de l’ONU dont Rene Dégni-ségui, ils n’ont pas voulu distinguer des victimes rwandaises.
    Au vu de l’ensemble des faits, des déclarations de Kagame et des rapports de l’ONU sur le Rwanda, le mot génocide dit des Tutsi est inexistant. Il n’existe que dans les discours de Kagame et ses relais médiatiques en France et ailleurs.
    Toute affirmations selon laquelle les Nations Unies ont reconnu « le génocide dit des Tutsi » est une pure spéculation qui ne peut nullement être retenue par le droit.
    Par ailleurs, la commission mise en place par Kagame après sa prise du pouvoir en marchant dans le sans des siens en l’occurrence pour qualifier les massacres qui ont été commis au Rwanda a retenu la qualification de « génocide » tout cours. Ce mot a été adopté par l’Assemblée Nationale et intégré dans le code pénal rwandais et dans la constitution rwandaise de 2003 (voir préambule).
    C’est en 2008, lors de la révision partielle de de la constitution de 2003, le mot « génocide a été intégré dans les lois rwandaises » et à partir de là, il est devenu un outil de répression efficace contre les Rwandais listés et transformés en fonds de commerce vendus partout où va Kagame et diffusé grandement par les relais médiatiques et les officines du FPR opérant partout dans le monde.
    Certains juges et dirigeants français dont le Président actuel sont devenus des exécutants des décisions de Kagame contre certains Hutu exilés résidant en France, le tout, jusqu’à tomber au niveau le plus bas des caniveaux de ridicules comme en témoigne l’Affaire Veuve Habyarimana victime de Kagame accusée honteusement par celui-ci de génocide dit des Tutsi alors qu’il n’a même pas sauvé sa tante maternelle et qu’il a œuvré pour empêcher le secours au bénéfice des Tutsi dont il a cyniquement prétendu avoir sauvés et/ou libérés. Il a dépensé et dépense plusieurs millions de dollars pour ses petits intérêts personnels et ceux de sa clique. Il a transformé le Rwanda en patrimoine personnelle.
    Je rappelle que j’ai maintes fois invité docteur Bizimana JD pour débattre techniquement sur le “génocide”.Il n’a jamais donné suite à ma demande. Je ne suis le seul à l’avoir invité en vain.
    Réagissez nombreux(les juristes) à mes opinions. De nos échanges constructifs et objectifs naîtra LA VERITE, indestructible par qui que ce soit et éternelle
    Je remercie the rwandan qui permet aux Rwanda d’exprimer leurs opinions, d’échanger les idées et d’informer les jeunes rwandais nés sous Kagame.

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