Le président de la Guinée, Alpha Condé le meurtrier récidive et massacre 11 Fulbé.

Alpha Condé

En effet, les élections référendaire et législatives se sont tenues en Guinée dans un climat où la mort atroce était au rendez-vous. Le président actuel a voulu coupler les législatives à un référendum pendant lequel, le peuple était appelé à maintenir ou à supprimer la limitation de l’exercice du pouvoir présidentiel à 2 mandats. Il aurait auparavant manipulé la cour constitutionnelle acquise à sa cause. Des sources sûres auraient confirmé, que ce scrutin serait frauduleux et qu’il allait sortir vainqueur de cette consultation. De ce fait, il va continuer à gouverner son pays jusqu’à sa mort ou installer un de ses proches quand il ne sera plus capable d’exercer le pouvoir qu’il a toujours confisqué. Quel est le bilan de cette journée où l’extermination a atteint son paroxysme ?

Malheureusement, le cannibale, Alpha Condé a encore fait couler beaucoup de sang dans son pays natal. Le bilan est atroce et ce sont 11 personnes issues de l’ethnie des Fulbe qui ont perdu la vie. Dans cet imbroglio électoral, le vote était quasi impossible ce dimanche, dans maints endroits de la capitale où les bureaux de vote ont été saccagés. Dans la commune de Ratoma, où de violents heurts ont été enregistrés, l’armée a été mise à contribution pour mater les manifestants opposés aux élections. Des scènes de violence ont émaillé également ce double-scrutin dans les provinces de N’Zérékoré, Mamou, Labé, Télimélé, pour ne citer que ces endroits, à forte concentration de contestataires. Dans ce climat de terreur, les agents des forces de l’ordre et de sécurité, censés protéger les populations, sont accusés d’exactions par de nombreux citoyens. Comme s’ils étaient chargés d’écraser toute contestation à ce scrutin. Cette consultation électorale sans suspense s’est donc achevé dans un bain de sang.

Encore une fois, le président Alpha Condé considéré comme l’un des pires génocidaires des Fulbe, a fait pleuvoir du feu par ses forces de l’ordre, sur son peuple qui ne demande rien que vivre dans la paix et dans la dignité.   Il continue de faire couler du sang de ses compatriotes innocents.  Rien ne semble l’arrêter dans la poursuite de sa folie meurtrière. C’est un fou qui a perdu toute raison. Nous demandons aux puissances étrangères telle que la France, d’arrêter de soutenir ce cannibale. Il est grand temps que la cour pénale internationale poursuit ce barbare.  

Gondiel Ka

Chroniqueur

Montréal, Canada