PAUL KAGAME ET LES SIENS VEULENT SOUTIRER À LA FRANCE 500.000 MILLIONS D’EUROS

Paul Kagame

Par Jean Uwizeye

À ce moment, le sort du peuple palestinien est peu enviable et personne n’aimerait pas être à la place des politiques israéliens. L’Israël, va-t-il réellement anéantir le Hamas sans se rendre génocidaire du peuple palestinien ? Selon le vocabulaire des scientifiques de la Shoah un génocide commence par la déshumanisation des victimes. Et dans le cas des crimes du Hamas, on continue inexorablement d’entendre dire que se sont les barbares, les sauvages, etc. Qui sont capables d’une telle extrême violence intolérable. Or, pour le moment, la vengeance israélienne n’a juste à présent fait que des victimes quasiment civiles. Peut-on parler de la sauvagerie dans l’autre sens sans être accusé d’antisémite ? Une chose est sûre, une étape a été franchie et mes hommes sont capables du pire.

Toujours suivant le raisonnement des scientifiques de la Shoah, le fait qu’en 1990 au Rwanda, suite à l’attaque militaire du FPR Inkotanyi, les gens soupçonnés d’être de connivence avec les assaillants avaient été emprisonnés en masse ; pour Vincent Duclert spécialiste des génocides, ce fait constitue une manifestation d’envie de commettre un génocide. Cela, est-il valable quand ce sont les Israéliens qui invitent un million de Palestiniens à quitter leur domicile sous 48 heures pour une destination inconnue sans assistance sans consentement ?

Dans son rapport sur le rôle de la France au Rwanda, il a affirmé avec son équipe que c’est la Belgique coloniale qui a divisé la société rwandaise pour régner en maître. Que la société rwandaise était uniforme. Ce mensonge des aristocrates Nyiginya-Tutsi suprémacistes chassés au pouvoir en 1959 que le FPR Inkotanyi s’est approprié vient d’être explosé par les jeunes artistes tutsi en manque d’inspiration qui se retrouvent à raviver la culture suprémaciste tutsi :

https://youtu.be/QxoDmF__ql0?si=JAreVsp-zzDzpTvd https://youtube.com/shorts/sTpanT-8XV0?si=rvN3yQDThSIFX_2- https://youtube.com/shorts/lrldKv9Fwb0?si=jj1Wv2BbCiolcapR Lui, qui a épousé les thèses du FPR Inkotanyi, devrait en prendre pour son grade.

Cette chanson populaire récente des suprémacistes tutsi est une dédicace à la suprématie blanche en général et aux tribunaux français et belge qui sont engagés dans le combat de Paul KAGAME et les siens pour la persécution des hutu. La vérité sort de la bouche des enfants, ils disent ceux que les adultes auraient préféré taire ou ne pas entendre. Ce piètre chercheur français a été décollé par Emmanuel MACRON qui est convaincu que la France a commis un génocide au Rwanda sans apporter des preuves. Peut-on s’étonner que certains pays ne veulent plus d’alliance avec la France ? Qui veut se retrouver avec un allié qui lui pèse ?

En matière de preuve, lorsque le sénateur Jean-Pierre Dusingizemungu affirme sa volonté ferme d’accomplir un génocide sous l’emprise des conseils prodigués par leurs amis juifs entre autres Vincent Duclert, ses propos constituent une preuve solide devant un juge. Les taupes du FPR Inkotanyi au sein des FAR et dans l’administration ont de tous les temps parle et agit dans le sens inverse des intérêts du régime au nom de l’administration Habyarimana à la différence de ce sénateur qui n’est pas au service de l’opposition. Tous les témoins qui ont servi aux assertions du génocide dit des tutsi ont ce point en commun : avoir été au service du FPR Inkotanyi au moment où ils dévoilent les informations gênantes avant ou après. C’est sans conscience qu’on peut accorder du crédit à leurs dires.

Un mensonge répète mille fois se transforme en vérité. C’est justement le rôle que jouent les médias dominants pour accréditer la propagande du FPR Inkotanyi comme le triste photographe personnel d’Adolf Hitler condamné pour avoir trompé l’imaginaire des Allemands. Comment peut-on accuser l’armée française d’avoir utilisé un guide trouvé sur place ignorant tout de lui alors que les mêmes experts des génocides dans leurs médias ont toujours joué le rôle de Roffamann Heinrich. Le rôle de Paul KAGAME et les siens dans le génocide dit des tutsi est connu de tous ! Cela ne lui est jamais un obstacle majeur pour accéder à la cour des grands de ce monde. Ses crimes génocidaires contre les hutu et ses appels à les commettre n’ont jamais effrayé Vincent Duclert et ils se fréquentent en connaissance de cause. Qui sont vraiment les ennemis de la France ? Qui est coupable ? Les juges devront apprécier la différence.

Il existe une autre chanson populaire récente qui met à mal l’importance et le rôle de la carte d’identité dans le drame rwandais. Dans cette chanson qui prône le sectarisme sur les bases ethnique sous l’ère du régime suprémaciste tutsi de Paul KAGAME et les siens, les juges français et belges devraient y trouver des preuves authentiques et solides pour déjouer les mensonges des actes d’accusation des dossiers judiciaire brûlants à leur charge. C’est une question d’analyse. Quel est le rôle joué par les tutsi dans leur propre malheur ! Ils reproduisent les mêmes éléments qu’ils prétendent être à l’origine du génocide. N’y a-t-il pas quelque chose qui croche dans la vérité officielle sur le génocide dit des tutsi ?

Avant l’assassinat du président Habyarimana Juvénal, ses adversaires politiques et militaires étaient de tout les composants sociaux hutu-tutsi-twa et de toutes les régions rwandaises. Seules les personnes fichées et recherchées pouvaient être interceptées lors des contrôles sur les barrages en temps de guerre où les mouvements de la population étaient limite. Logiquement, les tutsi comme tels n’étaient pas les seuls qui étaient visés par les barrages. L’insécurité venait de tout part. À moins qu’ils disent qu’ils étaient les seuls à semer l’insécurité. Au début de la guerre, les bus ont été affrétés pour rapatrier les gens dans leurs milieux familiaux une façon ingénieuse de démasquer les infiltrés. Avec un laissez-passer, les gens pouvaient circuler sans tracasseries. En-dehors de celui qui n’en avait pas et qui n’était pas riverain de l’emplacement du lieu de contrôle son identité nationale n’avait pas d’importance. C’est la raison pour laquelle il ou elle circulant sans ses documents officiels disponibles dans son cas de figure, c’est l’absence des documents et non son appartenance ethnique qui primait. Il y avait des hutu au service du FPR Inkotanyi comme aujourd’hui.

Dans la perspective du multipartisme la compétition politique pour séduire les électeurs, la manifestation d’hostilité envers un groupe de population n’est pas le moyen approprié pour gagner l’adhésion des votes en sa faveur. Habyarimana Juvénal n’avait pas les moyens de gagner la guerre, il était obligé de composer avec l’opposition politique et militaire sans heurter la sensibilité des uns et des autres. Il était en négociation sincère pour trouver une solution pacifique avec le FPR Inkotanyi qui avait lui, des alliés prêt à lui accorder une victoire militaire. C’est justement en sauvegardant la sécurité des tutsi qu’il croyait atteindre ses objectifs que le FPR Inkotanyi avait pour objectif d’empêcher pour s’emparer de tout le pouvoir.

C’est après son assassinat, le 06 avril 1994 dans un chaos total la carte d’identité nationale a revêtu une importance fatale pour les uns et salvatrice pour les autres. À ce moment-là, il n’y avait plus l’armée française. La preuve toute faite est en chanson en vogue ces derniers temps à Kigali : https://youtu.be/W1uivRReJAw?si=-cqtF5TiT88fl1d7

Dès l’assassinat du président Habyarimana Juvénal et le président Cyprien Ntaryamira avec leurs suites, ce sont les Belges qui ont été accusés en premier lieu pour la forfaiture. Et les premiers massacres ont visé ces derniers et les hutu. Le témoin qui dit que c’est les tutsi qui ont été immédiatement accusés de la responsabilité de l’attentat sur l’avion présidentiel est un menteur dans le procès de Twahirwa Séraphin.

Dans le cas de Pierre Basabose, il est victime de sa fortune comme tous les hutus Rwandais qui avait un certain niveau de vie. Les riches hommes d’affaires hutu rwandais ont en commun comme accusation lourde le financement des tueurs. Cette accusation est un moyen bien trouvé par les suprémacistes tutsi pour les éliminer à l’aidé de l’outil judiciaire à défaut de l’accomplir physiquement. Qui avait de l’argent à donner aux tueurs déjà enrichis par le pillage ? Au moment où tout le monde s’apprête à tout perdre, à fuir le pays qui avait l’argent à donner aux tueurs ? A-t-il fait des virements bancaires, des chèques et combien de liquidités avait-il chez lui ? Garde-t-il de l’argent à la maison dans cette période de banditisme armé ?

Est-il allé à sa banque ? Était-elle ouverte ? En réalité, les tueurs avaient suffisamment pillé sur leurs victimes nombreuses, les véhicules, argent, gasoil…

La RTLM, la radio kidnappée par ses propres journalistes n’a pas été réduite au silence par les militaires français, belges, italiens ou des nations unies, car chacun voulait préserver la sécurité de sa mission. Est-il compliqué de comprendre que même les actionnaires de cette radio avaient la sécurité de leurs familles et d’eux-mêmes à préserver ? Et si c’est une question de courage, le courage des uns et les autres qui nous jugent ne pèse pas grand-chose. Ils ont manqué l’occasion de le démontrer.

Dans la nouvelle plainte déposée en avril 2023, il n’y a rien de nouveau. Les mêmes accusations qui refont surface après un rapport avalisé par le gamin d’Amiens locataire de l’Élysée qui ouvre droit à l’indemnisation des prétendues victimes. Dans la mesure où la France reconnaît son rôle, elle doit au moins 200 milliards d’euros sur 1 000 milliards à la population rwandaise, congolaise et burundaise. Les arrangements mesquins ne peuvent pas tenir lieu d’une quelconque forme de réparation. Si les tutsi se contentent de ça, le reste des communautés de la région des grands lacs africains doivent éviter de brader les enjeux financiers de la reconstruction de notre région et société. Si c’est un besoin urgent pour financer le M23, Macron doit trouver un autre arrangement soit avec Total énergie ou l’Union européenne. https://www.mediapart.fr/journal/international/111023/genocide-des-tutsis-des-victimes-demandent-reparation-la-france