POUR UNE PROSTITUÉE, ON RENONCE À UN PEU DE PAIN, MAIS POUR UNE FEMME MARIÉE, ON RISQUE SA VIE ENTIÈRE.

« En effet, pour une prostituée, on renonce à un peu de pain, mais pour une femme mariée, on risque sa vie entière ». C’est un versé biblique tiré dans le livre Proverbes 6 : 26 pour introduit le propos de cet article. Dans la culture politique du FPR Inkotanyi qui a ses racines dans la culture suprémaciste tutsi ; le pussy power, c’est-à-dire le pouvoir de la chatte dans le langage d’aujourd’hui est une pratique politique ancienne répandue et décriée par la communauté rwandaise en majorité chrétienne et musulmane aujourd’hui. Loin du phénomène de la pop culture notre sujet trait de la question des commandos de charme, terme emprunté à Honoré Ngbanda ancien conseiller du président Mobutu.

Par un documentaire intitulé Madame Claude, sexes, mensonge et secrets d’état https://youtu.be/cceh7xN25oI?si=2HFhafzTBR-Atg1A nombreux de mes compatriotes devraient y trouver des réponses et compréhension sur ce sujet. Sans faire des commentaires inutiles, le sort de l’ancien président Tchadien François Tombalbaye mort assassiné dans un coup d’état à cause de son appétit sexuel pour avoir dévoilé un secret d’état suffira à lui seul à ouvrir les yeux sur une pratique courante généralisée et bien répandue dans le monde entier. Ce n’est pas une exclusivité de la culture politique Nyiginya-Tutsi. Travailler sur votre culture générale pour éviter de tomber dans le piège de stigmatisation d’une communauté sensible.

C’est la loi de l’offre et de la demande dans le monde des charmes et l’avenir nous dira le sort du président Faustin-Archange Touadéra, car il sera saisi par les envies de s’extirper de sa relation sans lendemain avec le régime de Paul KAGAME et les siens.

Jean Uwizeye