Par Jean Uwizeye
En politique, il existe des vérités immuables qui traversent les temps sans perdre de rigueur : « Ce qu’on doit craindre des troupes mercenaires, c’est leur lâcheté », écrit Nicolas Machiavel dans Le Prince (1532). C’est ce qui convient de dire d’Evgueni Prigojine et de sa suite. La lâcheté vous dites ? Avec la politique d’Emmanuel MACRON en Afrique, on ne sait pas si c’est la puissance de feu de l’armée française ou sa lâcheté que les Africains craignent dans le Sahel. Une chose est sûre, ils ne veulent plus du tout de leur présence.
Depuis un quart de siècle, la propagande des alliés d’Emmanuel MACRON (Paul KAGAME et les siens) a consisté à faire passer les militaires français pour des lâchés suite à une dizaine de soldats de l’opération Turquoise, faits prisonniers par le FPR dans une embuscade dans la région de Butare en 1994. Et avec le temps, là où l’armée française ne peut plus assumer son rôle, ce sont les Inkotanyi qui y jouent le rôle des tirailleurs sénégalais du temps moderne au Mozambique, République Centrafricaine et dans le Sahel.
À force de laisser prospère cette propagande dans les médias dominants français et autres, c’est le prestige des armées françaises qui en paie le prix au nom de la liberté de presse mensongère.
Les ennemis de la France, ce sont les Français !
Chez le gamin d’Amiens locataire de l’Élysée chef suprême des armées françaises, il y a, on dirait tout d’un lâcher ; il déshabille les musulmanes au nom de la laïcité et en un clin d’œil, il s’affiche dans une messe avec le pape. Bizarre, bizarre non ? On peut en déduire tout ce qu’on veut ! Il faut dire que chaque a ses préférences. Il vous dira qu’il a battu à deux reprises l’extrême droite aux élections présidentielles. Et qu’il n’a rien à se reprocher. Il faut vraiment être connaisseur du sujet sinon on risque de se rendre compte qu’entre les nazis et le reste la frontière est toute mince et surtout perméable.
Au Rwanda comme en RDC, ses alliés suprémacistes tutsi ont décimé l’Église catholique et ils affirment même avoir abattu Dieu quelque part au nord du Rwanda à la frontière ougandaise. Contrairement au philosophe Nietzsche, eux, ils ont la preuve que Dieu est mort puisqu’ils sont ses bourreaux. Pauvre peuple rwandais croyants en Dieu d’Abraham qui se demande où est passé Dieu.
Avec les inyenzi-nkotanyi, il faudra avoir la foi inébranlable et dure comme le fer. Le diable est parmi vous au Rwanda. Le président Félix Antoine Kilombo Tshisekedi en a fait allusion et le général Roméo Dallaire en a témoigné et a fini par s’offrir à lui entièrement. Et d’ailleurs le ministre Jean Batiste BIZIMANA et les autres suprémacistes tutsi complices de cette forfaiture envisagent d’introniser Paul KAGAME au rang de dieu si ce n’est pas en réalité le cas quand ils disent qu’il est le frère jumeau de Jésus de Nazareth.
Lorsque Friedrich Nietzsche écrivait que Dieu était mort, « Il s’agit en effet de la chute du christianisme comme religion de l’occident et de la chute de la morale, la métaphysique, et les normes chrétiennes. Cette situation expose la société à un sentiment plus aigu d’anomie, ou de nihilisme, dans lequel « les règles traditionnelles ont perdu leur autorité » ». Selon Wikipédia et d’autres textes philosophique sur le sujet.
C’est dans ce sens-là qu’il faut comprendre la mission et les agitations diaboliques de Paul KAGAME et les siens au Rwanda, au Burundi, en RDC et ailleurs sous prétexte de la lutte contre l’islamiste. À partir de là, vous pouvez deviner de quel bord idéologie, philosophique et religieux en occident et ailleurs dans le monde les alliés du FPR Inkotanyi appartiennent. Sachant que la révolution, la démocratie et la République rwandaise sont nées de la cuisse de l’église chrétienne.
Que Dieu nous délivre du mal.
