Pourquoi la France et la Belgique ont-elles peur des crimes de Paul Kagame

Le 7 avril 1994, les hommes de Paul Kagame assassinent froidement 2 gendarmes français, l’épouse de l’un d’eux et leur chien.

Le même jour 10 casques bleus belges sont assassinés après avoir été enlevés la veille 6 avril par un officier de Kagame.

La Belgique n’ose pas demander des explications à Kagame la France non plus. Le commandant des casques bleus, Luc Marchal parle et l’ancien ministre rwandais de la défense, Augustin Ndindiliyimana, s’étonne.

2 COMMENTS

  1. La France et la Belgique connaissent la Vérité. Ils connaissent parfaitement les auteurs de l’attentant contre l’avion du Président Habyarimana.
    1/ La Belgique a présenté 10 victimes, à savoir exactement 10 casques bleus qui ont été tués par les soldats rwandais au camp militaire de Kigali. Les autorités belges ont présenté au public belge 10 corps seulement.
    Pour le public belge, les soldats belges morts au Rwanda sont exactement au nombre de 10. Une stèle qui leur est dédiée a été construite avec leurs grades, noms et prénoms.

    Mais nulle, peu importe les moyens dont ils disposent, ne peut enterrer définitivement la Vérité. Les faits établis c’est-à-dire constatés et étayés par des éléments testimoniaux font état de 13 corps de soldats belges qui étaient à la morgue et nullement 10 présentés par les autorités belges.

    Général Dallaire a vu 13 corps, Général Ndindiliyimana, sous réserve de précision contraire de sa part, a vu 13 corps. Ce chiffre a été également confirmé par un officier de renseignement de la MINUAR.

    Et avant l’attentat contre l’avion du Président Habyarimana, des témoins oculaires rwandais ont vu un véhicule dans lequel il y avait 6 soldats belges qui allaient vers la zone du tir des missiles contre l’avion du feu Président Habyarimana. Au retour, après le méfait, ils ont vu 3 soldats et non pas 6 dans le même véhicule militaire belge.
    Se pose alors les question suivantes: où allaient ces 6 soldats belges, pourquoi 3 et nullement 6 et où sont partis les 3 qui manquaient? Pourquoi ils ne sont pas sur la liste des soldats belges morts au Rwanda? Pourquoi les autorités belges ont-ils caché leur mort et la cause de celle-ci au public belge, surtout aux parents?

    2/ Un autres fait qui prouve la responsabilité de la Belgique dans l’attentat contre l’avion du feu Habyarimana.

    La Vérité blesse celui qui n’est pas en état de l’affronter tout droit dans les yeux.
    La Rapport de la Commission du Sénat belge dit qu’ à l’heure de l’abattage de l’avion du Président Habyarima, derrière, il avait un avion espion belge, équipé de système anti-missile d’une part et il n’était pas prévu d’autre part. Le Commandant de bord a été interrogé sommairement par les Sénateurs belges non pas le fond à savoir qu faisait-il cet avion (le seul avion de l’armée belge acheté aux USA) dans le ciel rwandais, qui était le donneur d’ordre, quelles étaient ses missions, dès lors que cet avion était équipé de système anti-missile, ce commandant a nécessairement vu le lieu d’où venaient les missiles tirés contre l’avion du Président et qu’a-t-il vu exactement. Il lui aurait été difficile de mentir.Le constat macabre est que les sénateurs lui on posé des questions sommaires et hors-sujet? Question: pourquoi? ? Ils l’ont faii sciemment pour étouffer la Vérité.

    Par contre les autorités belges, appuyées par tous leurs médias ont fait une campagne médiatique pour robotiser mentalement les Belges qui ont pris pour les Saintes Ecritures les faits colportés à grande par ces premiers: 10 casques bleus tués par les soldats rwandais parce qu’ils étaient belges et un auteur des crimes a été trouvés. Il s’agit d’un major Rwandais, Bernard Ntuyahaga. Celui-ci a été livré aux chiens belges et emprisonnés puis expédié à leur allié Kagame comme un colis avarié après avoir purgé sa peine, au mépris total des lois belges et de diverses conventions internationales auxquelles la Belgique est partie.
    2/ Un autre fait qui n’est pas connu non seulement du public rwandais mais du public belge même vu le degré son robotisation mentale, il est pratiquement impossible qu’ils reconnaissent que leurs dirigeants leurs ont menti et leur demander conséquemment les comptes pour leur méfait qui, à mon sens , constitue un acte d’une particulière gravité pour un Etat dit de droit qu’est la Belgique

    Dans son livre, Rwanda, la fin du silence , témoignage d’un officier français, pages 81 et 82, Guillaume Ancel, alors capitaine de l’armée française de l’Opération Turquoise reconnaît avoir vu un gilet pare-écrats ensanglanté, au camouflage de l’armée belge avec la bande patronymique du sergent « P.Van Moyden » porté par un jeune Rwandais à Cyangugu.
    Il a connu ce sergent belge lors de l’entraînement des tirs des missiles en Allemagne. Il prétend qu’il faisait partie de l’escorte de la Première Ministre Uwilingiyimana Agathe.Or, ce sergent est nulle part mentionné sur des noms de soldats belges de l’escorte de celle-ci.
    Au regard des affirmations de Guillaume Ancel, ce sergent était expert des tirs des missiles. Il faisait partie de 6 soldats belges qui ont été vus par les Rwandais se diriger vers le lieu où les missiles ont été tirés. De plus, Ancel dits que son gilet était ensanglanté. Ce qui signifie qu’il était parmi les 3 soldats belges qui ont été tués par les soldats pour avoir refusé de décliner leurs identités et de descendre de leur véhicule. Ce sont ces 3 soldats qui ont participé au tir de missiles contre l’avion du Président Habyarimane qui ne figurent nulle part sur la listes des soldats belges morts au Rwanda et présentés au public belge.

    un fait que les Rwandais doivent savoir en tirer des conséquences s’il y a lieu. Le même Guillaume Ancel au lieu d’interroger ce jeune Rwandais pour savoir où a-t-il trouvé ce gilet ou qui le lui a donné et quand, il l’a exécuté de sang froid et a ordonné de fusiller tous les jeunes non armés qui était avec celui exécuté personnellement avec Ancel.Les crimes qui ont été commis par celui-ci sont constitutifs de crimes de guerre imprescriptibles. Ce qui est gravissime, cet officier français se vante d’avoir exécuté les jeunes rwandais non armés et ne constituant aucune menace pour lui et ses soldats. Ces crimes sont passible de poursuites pénales. Ce criminel ne peut rester impuni. C’est le même capitaine qui jeté le véhicule de l’Evêque de Cyangugu dans le lac Kivu après l’avoir menacé de mort. C’est bien lui qui le dit

    Les intérêts des alliés passent avant ceux d’un citoyen non détenteur du pouvoir. Les autorités françaises, peu importe leur partie politique, savent que la Belgique est directement impliqué dans les assassinats non seulement du Président Rwandais, Habyarimana et tous les passagers de son avion mais également dans ceux des membres d’équipage de l’avion du président , de nationalité française. C’est donc un fait établi que la Belgique a assassiné 3 citoyens français et que Kagame a assassiné les 2 gendarmes français et l’épouse de l’un d’eux , le 8 avril 1994 à Kigali. La France entend couvrir la Belgique, son alliée et Macron devenu ami de Kagame, entend couvrir son ami par la commission de déni de justice contre ses propres citoyens, en tout 6. Le droit d’accès à la justice de leur pays leur est dénié sur décision de leur président, Emmanuel Macron. Par contre, il accède aux demandes de Kagame par les arrestations des Hutu Rwandais résidant en France visés par Kagame et les siens pour des crimes fabriqués par les experts du régime dans ce domaine. Les demandes sont déposées aux tribunaux français par les officines du régime opérant en France tels que le CPCR de Gauthier, Survie, Ibuka-France. Leur mode opératoire est connu. Ils sont appuyés par les médias français et autres excroissances du régime rwandais en France sans oublier certains politiciens français.Macron a donné la parole à son ami.Il la respectera.

    Le mot Etat de droit et démocratique est un mot qu’il faut relativiser. Il est à géométrie variable comme l’est la justice comme en témoigne la condamnation à 20ans de réclusion de l’ex-préfet de Gikongoro pour une complicité imaginaire des juges français par inaction du génocide dit des Tutsi et de crimes contre l’humanité contre les Tutsi.

  2. Dans le cas présent, les intérêts de la Belgique, alliée de France, passent avant ceux des Français, pris individuellement.
    Il est crié sur tous les toits que ces Etats sont des Etats de droit. Quelle est la preuve que la Belgique et la France sont effectivement des Etats de droit ? Que signifie Etat de droit ? Ces deux pays sont-ils des Etats de droit comme leurs dirigeants le crient haut et fort ?
    Les réponses à ces questions sont apportées par les faits.
    Les faits:
    1/ Silence de tombeau de la part des autorités belges, quels que soient leurs partis politiques, sur les causes de la mort de 10 casques bleus d’une part et sur les 3 autres soldats belges évoqués par Général Dallaire (manquant à l’appel et dont les corps n’ont jamais été remis à leurs familles et ne figurent donc pas sur la liste des casques bleus belges morts au Rwanda) d’autre part.
    Pour calmer psychologiquement et cyniquement les membres des familles des victimes, ces autorités belges ont trouvé un pauvre Rwandais réfugié à qui elles ont imputé la mort des soldats belges.
    Les médias belges ont été mis à contribution pour colporter à grande échelle la triste nouvelle: – l’assassin des soldats belges vit en Belgique; 2- il doit être déféré devant la justice pour répondre de ses actes. Ce qui a été fait. Le criminel dont l’identité et les photos ont été diffusées dans tous les médias belges est Major Ntuyahaga Bernard.
    Un assassin des soldats belges est allé demander à la Belgique la reconnaissance de la qualité de réfugié politique. C’est le monde à l’envers.
    Il a été livré aux chiens. Après avoir purgé sa peine, il a été livré à Kagame comme un colis avarié alors qu’il était un paisible exilé sans tâche. Dans tous les Etats dit de droit, un condamné qui a purgé sa peine devient blanc comme neige.
    Dans un Etat qui se dit de droit comme la Belgique, un condamné qui a définitivement payé sa dette à la société reste toujours un condamné.
    Le paiement de sa dette n’a manifestement aucun effet les faits pour lesquels il a été sanctionné et purgé la sanction prononcée par les juges belges. Ceux-ci ont la mission de rendre justice pour tous les Belges, dit-on.
    Au regard des faits, en Belgique, il deux types de justice, une justice pour tous les Belges et étrangers et une justice pour les Etrangers listés. Les juges belges rendent justice pour tous s’agissant de la première catégorie, le tout en application de la loi. Pour la seconde catégorie, les juges rendent justice comme bon leur semble.
    Pour montrer au public qu’en Belgique, les juges rendent justice pour tous les Belges et étrangers résidant sur le sol belge, force est de constater qu’ils organisent une mise en scène judiciaire et procèdent au bricolage juridique des jugements, soupe imbuvable pour les initiés en droit pour les étrangers spécialement listés comme Ntuyahaga.
    Pour les juges belges, l’important est que les membres des familles des victimes reconnaissent ou retiennent que la justice ait été rendue comme ils ont souhaité.
    Toutefois, une question se pose de savoir si les autorités belges ont rendu les corps de 3 soldats belges manquant à l’appel dont Sergent Patrick Van Moyden, selon leur Commandant en chef, Général Dallaire, à leurs familles.
    Le cas du Sergent Patric Van Moyden est très intéressant car il était expert de tirs des missiles. Et c’est bien lui qui a probablement tiré le second missile qui coupé en morceaux l’avion du Président Habyarimana. Il serait judicieux de voir sa famille, au pays des Flamands, pour savoir si son corps lui a été rendu. Colonel Luc Marchal le connaissait sûrement. Il a des informations suffisantes à porter à la connaissance des publics belge et étrangers.
    2/ Sur instruction du Président Français, Emmanuel Macron, le dossier judiciaire de trois membres d’équipage de l’avion du Président Habyarimana qui ont été assassinés par Kagame, les juges français ont décidé de l’enterrer définitivement. Ce qui signifie que, nonobstant l’existence des preuves irréfutables de la commission du crime Kagame, Il n’y aura pas de justice pour ces trois victimes françaises.
    La France a décidé d’enterrer ce dossier aux seules fins de couvrir la Belgique, son alliée, directement impliquée dans l’assassinat de 3 citoyens français et par ricochet du Président Habyarimana et autres passagers de l’avion.
    Si les juges avaient montré que la France est effectivement un Etat de droit et que dans un tel Etat, les juges sont indépendants, les publics, français, rwandais et belges auraient su que les véritables auteurs de l’attentat mortel contre l’avion Président Habyarimana, de l’assassinat de 3 Français et des conséquences de ce crime sont Kagame avec l’appui de la Belgique. Ce qui aurait alors obligé les juges français de poursuivre judiciairement les Belges directement impliqués dans la commission de ce crime. Ce que ne peut nullement faire la France.
    Pour ce faire, une omerta médiatique couvre ces crimes. Ainsi, les Français ne pourront plus savoir ce qui s’est exactement passé. Ils avaleront comme des baguettes les dires des médias français et belges d’une part ceux des prétendus experts du Rwanda d’autre part.
    De même, le Procureur Général de Paris, a refusé d’enquêter sur les assassinats de 2 gendarmes français, Adjudant-chef René Maïer, Adjudant-chef Alain Didot et l’épouse de celui-ci qui ont été assassinés par les soldats du FPR sur ordre de Kagame, le 8 avril 1994. Ce même juge a n’a même pas voulu donner suite aux demandes des témoins oculaires qui ne sollicitaient qu’une seule chose à savoir être entendus sur ce qu’ils ont vu exactement.
    Une enquêté menée par le Procureur français aurait inévitablement permis aux Français, en particulier les membres des familles de ces victime de connaître la Vérité : assassinat de 3 Français par Kagame.
    En raison de l’entrée des Présidents Français, d’abord Sarkozy puis Macron dans le club des amis de Kagame d’une part et du fait que c’est une constante historique, la France a toujours été pro-Tutsi, malgré les humiliations et mépris de Kagame infligés publiquement à certains dirigeants français d’une part et des insultes de celui-ci à l’endroit de la France, de ses soldats et dirigeants d’autre part, le déni de justice manifeste contre ces trois victimes françaises étaient et est sans conséquence pour les décideurs français.
    Il suffit de décider une omerta médiatique sur cette Affaire et de colporter à grande échelle par tous les canaux de communication moderne la vérité telle qu’elle a été fabriquée par la France, ses médias et leurs amis de Kigali.
    C’est cette vérité fabriquée qui a été retenue par les Français et recopiée machinalement par les doctorants et chercheurs de tout calibre en France. Les Rwandais ont tout vu. Les soi-disant experts du Rwanda, qui ne parlent aucun mot de notre langue et qui ne savent même pas qui était qui et qui faisait quoi au sein de la technostructure administrative rwandaise à l’époque des faits (octobre 1990 à juillet 1994), sont présentés par les juges français dans les affaires des Rwandais exilés en France pourchassés par Kagame et les siens pour fournir leur haute expertise relativement au drame rwandais. Ils sont présentés par les médias comme experts incontestés du Rwanda. Leurs divagations constituent des références incontestables des juges dans les jugements négatifs contre les pauvres exilés Hutu Rwandais, accusés de génocide, crime contre l’humanité, complicité de génocide et de crime contre l’humanité. Pat contre les experts rwandais présentés par les accusés sont systématiquement refusés par les juges. Ils ont décider d’enterrer la Vérité tout en sachant qu’on l’on enterre pas indéfiniment la « VERITE ».
    En France, les principaux relais des accusations de Kagame et autres contre les Hutu listés sont la FIDH, la Ligue des droits de l’homme, la LICRA, CPCR, Ibuka-Frace. Dans un premier temps, Kagame et les siens fabriquent les accusations, forment les faux témoins. Dans un second temps, Ils les communiquent au CPCR et Ibuka-France. Ces officines du FPR mettent à contribution la FIDH, la LDH et la LICRA. Ils forment une coalition contre les Hutu ciblés. C’est pourquoi dans toutes les Affaires des Hutu Rwandais, ils sont tous parties civiles. Il en est de même des experts du Rwanda. Le payeur des honoraires d’avocats est naturellement le Rwanda et non pas Kagame, accusateur en chef.
    Pour la FIDH, la LDH et la LICRA, les victimes Tutsi Rwandaises méritent plus de justice et de compassion que les victimes françaises. Etant précisé que ces associations étant d’utilité publique, elles sont financées par l’Etat Français c’est-à-dire par les Français dont les membres de 6 victimes ci-dessus évoquées.
    Au regard de ces faits pris dans leur ensemble, l’Etat de droit est un mot à géométrie variable. Il est crié sur tous les toits quant les décideurs entendent défendre les intérêts qu’ils estiment légitimes et ignoré lorsqu’ils considèrent que soit ’intérêt à défendre quand bien-même celui-ci soit légitime, le défendre risque de porter atteinte aux intérêts d’un allié, soit il n’est pas du tout légitime même l’évidence prouve le contraire. Aucun des prédicateurs du respect des droits de l’homme n’a dénoncé le déni de justice commis par les juges français contre les 6 Français.
    Ce n’est pas la loi qui a le dernier mot mais les décideurs. Il s’ensuit qu’il serait judicieux de relativiser le mot « Etat de droit ». Il appartient ou il appartiendra au Peuple Rwanda de défendre ses intérêts légitimes.
    Dans segmenter les assassins qui se baladent impunément partout dans le monde, les actionner judiciairement par l’intermédiaire d’un collectif d’avocats volontaires amoureux de la justice pour tous les Rwandais. Il convient de préciser que les crimes qui ont été commis contre les Rwandais et étrangers au Rwanda sont imprescriptibles et tous connexes.

Comments are closed.