L’OUTLAW BORIS JOHNSON A FAIT UN FAUX PAS DE TROP

Par Jean Uwizeye

Au Royaume-Uni une course à la succession du Premier ministre britannique Boris Johnson est en marche. Ostracisé par les siens, un des racailles du monde politique d’outre manche a été forcé de se retirer de la tête de son parti politique ce qui a entraîné de fait son départ proche à la tête du gouvernement. En attendant son successeur et son départ sans gloire, il ne s’occupe que des affaires courantes. Les mensongers de cet individu sans scrupule ont fini par le rattraper et le perdre. Boris Johnson appartient à la catégorie des politiques  dit pragmatique. Sans foi ni loi ; ils n’obéissent qu’à leur propre désir sans tenir en compte l’obéissance à la loi ni à la morale. C’est de la philosophie utilitariste.

La bible nous dit à ce sujet philosophique : « Ne soyons pas justes à l’excès, ni sages outre mesure. Pourquoi nous détruire nous-mêmes ? Ne nous laissons pas emporter par la méchanceté et ne nous conduisons pas de manière insensée. Pourquoi mourir avant l’heure ? » Ecclésiaste 7 : 16-18. L’outlaw britannique a adopté la première sagesse et il a ignoré la seconde de ce passage. Insensé, il a mené son pays hors de l’Union européenne contre toute logique de la loi mercantile. Près de 50 %, des échanges commerciaux du Royaume-Uni sont faits avec l’Union européenne. Son pays comme le reste des pays occidentaux ont bousculé beaucoup des régimes au nom du libéralisme mercantile que par exemple l’Amérique latine à du mal à s’en remettre. Insensé, il s’est mis à dos les monarchistes de son environnement en persévérant contre toute attente sur sa politique d’immigration à la saveur esclavagiste. Insensé, il a osé induire en erreur les pauvres réfugiés sur le danger que représente le régime suprémaciste tutsi de Paul KAGAME et les siens. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-politique-britannique-d-expulsions-vers-le-rwanda-loin-d-etre-dissuasive-20220718. La liste n’est pas exhaustive ce qui a fait débordé la vase, c’est la conduite prédatrice d’un pervers sexuel de son entourage proche et protégé de notre BoJo.
Le juste vivra par la foi.
Le peuple rwandais endure la politique perverse et dévastatrice de la racaille britannique depuis la prise du pouvoir par le FPR INKOTANYI au Rwanda en juillet 1994. Pour nous autres nègres rwandais en mal avec les abus du pouvoir des suprémacistes tutsi notre impuissance est apprécié à la lumière de ce verset qui traduit fidèlement la réalité rwandaise en termes de responsabilité hiérarchique qui incombe à la suprématie blanche : « Il ne faut pas s’étonner de voir le pauvre opprimé ni de voir le droit et la justice bafoués dans le pays. En effet, un personnage haut placé est couvert par un plus grand que lui et tous deux sont protégés par des gens plus haut placés encore. » Ecclésiaste 5 : 7. Que ce qui a de l’intelligence comprenne la logique des conseils politique comme Tony Blair, Boris Johnson… Qui sont dans l’entourage de Paul KAGAME et les siens. Dans le verset 8, il est dit : « Il serait préférable pour le pays d’avoir un roi qui favorise le travail des champs» C’est la raison pour laquelle le cri de détresse de la population rwandaise est ignoré et est substitué par la campagne médiatique de la soi-disant réussite économique d’un pays classé parmi les 17 premiers pauvres au monde en dépit des milliards versés annuellement pour renflouer le budget de l’état de toute part. Ils vous diront toujours que le Rwanda est un pays sûr et ils couvriront les abus du régime par des médailles et autres décorations ridicules. Que comprenne qui pourra ; cependant, nos ennemis en occident sont issus de la culture judéo-chrétienne, avec en peu d’effort, il est aisément facile de décortiquer voire d’anticiper leurs actions, car nous sommes aussi les héritiers de la bible dans notre ère actuelle. Comme si le sort s’acharne pour ne rien arranger, le génocidaire tutsi rwandais Paul KAGAME accueilli partout en occident de la meilleure des façons vient de signifier au monde entier qu’il sera encore là pour au moins 20 ans à la tête de l’état rwandais. Pour avoir une telle espérance de vie politique dans un pays pauvre, meurtrier et en conflit depuis 28 ans contre une partie de sa propre population et pays voisins, le rôle joué par les suprémacistes blancs comme Boris Johnson est déterminant.

Selon certains préceptes de la lutte politique comme la grève, ville morte et arrêt total du travail, boycottage ; ces actions à un certain degré aident à produire des effets qui fléchissent les pouvoirs publics. Evidement, avec le Covid-19 et son lot de difficultés, on s’entendait à l’inflation galopante et à l’effondrement de la monnaie locale pour ne citer que cela comme occasion inespérée à ébranler le régime de Kigali. Il allait ouvrir la voie royale au changement du climat politique rwandais en renversent tout sur son passage grâce au confinement. C’était sans compter avec le FMI et le président Emmanuel MACRON qui sont venus à la rescousse de la Tyrannie des suprémacistes tutsi à hauteur de plus de 500 000 000 $. Dernièrement, pour pallier la conséquence de la crise ukrainienne créée par les pays membres de l’OTAN pour enrayer l’opération spéciale russe sur le régime génocidaire rwandais, la retrouvaille des Anglais fut le versement d’une centaine de millions de livres Sterling au nom de l’accueil des réfugiés indésirable au Royaume-Uni. Un moyen détourné de financer le génocide dit des hutu en brouillant la complicité. https://www.theguardian.com/politics/2022/jul/17/suicidal-afghan-was-fine-about-being-sent-to-rwanda-home-office-officials-claimed.

Les tentatives de la population rwandaise pour se défaire de l’emprise du FPR Inkotanyi ont toujours rencontré sur son passage une résidence tenace des puissances étrangères en Europe comme aux États-Unis en guise de soutien politique inconditionnel, militaire, diplomatique, médiatique et financier. Cela a engendré une démocratisation de la Hutuphobie qui fait rage dans les médias dominants, dans le monde de la lecture et de la politique. Par conséquent, il s’avère que les victimes de cette complicité sont dénombrées aussi dans la classe politique congolaise de la RDC. Les Congolais doivent s’en rendre compte. On ne peut pas combattre le suprémacisme tutsi tout en épouse la grille de lecture de l’histoire selon le FPR INKOTANYI et consorts. Se servir de leur vocabulaire et langages affaiblir votre argumentation et leur donner raison et légitimité d’être là où ils ont tort. Quel que soit le plan de défense de la RDC, il doit composer avec l’opposition rwandaise. Pourquoi s’en prendre au Hutu au nom du génocide dit des tutsi discutable alors que de toute évidence, le FPR INKOTANYI s’en est rendu publiquement coupable en RDC. Ne serait-ce que les procès qui ont lieu en France, cette histoire du génocide est discutable de A à Z autrement comment expliquer que toutes les personnes jugées actuellement en France ont en ces points communs des épouses ou/et mères tutsi ?

Contrairement à l’idée répandue sur le pillage de la RDC, l’objectif premier de la suprématie tutsi est de s’approprier le Kivu et de dominer la conduite de la politique régionale pour consolider les gains. Se soustraire de la conduite politique des gens de l’ouest jugés peu intelligentes. La coexistence pacifique avec une communauté qui s’estime supérieure est impossible. Cela fait au moins deux fois que les officiels rwandais ne répètent que les Congolais pleurniché. Mais il n’y a que les enfants qui pleurnichent ! En déduire que les Congolais sont des enfants donc inaptes à diriger le pays. Les suprémacistes blancs comme Boris Johnson disent que la RDC est trop grande pour être dirigée par un nègre et par ricochet la RDC doit être balkanisée. À l’heure de l’internet, il existe des contenus audiovisuel en kinyarwanda susceptible de vous aider pour établir les preuves de l’idéologie suprématie tutsi dont vous êtes victimes. Ce n’est pas une thèse ! C’est un fait établi.
Il est recommandé à la diplomatie congolaise de démasquer les ambitions continentales du Rwanda qui ne servent qu’à couvrir en réalité le démantèlement de la RDC. Pour étendre efficacement l’influence du gouvernement central, la capitale politique doit déménager au centre de la RDC et en même temps stopper pour un siècle la politique de décentralisation. Le Burundi comme la Tanzanie sont des exemples proches à s’inspirer. À bon entendeur, salut !