IDAMANGE kuri jye uri Interahamwe, ugambanira Abarokotse: Yolanda Mukagasana

1 COMMENT

  1. Si Mukagasana Yolande, ex-infirmière au CHK, anesthésiste par expérience et non pas par qualification ou diplôme, lit the rwandan, je l’invite à faire ce qui suit.

    Afin de ne pas tomber dans le caniveau de ridicules, elle doit éviter de proférer des propos scatologiques à l’endroit de cette jeune femme, le tout bien entendu si le mot ridicule a un sens.
    Elle doit réfuter ses assertions morceau par morceau ou par jeu d’argument contre argument.

    Au regard de sa réaction, il est manifeste qu’elle est blessée par la Vérité et n’est pas en état de l’affronter tout droit. Ce qui est encore grave pour une femme de “son niveau”, elle semble ignorer que sa chanson “génocide des Tutsi “, négation du génocide des Tutsi, minimisation du génocide des Tutsi” , Interahamwe etc.ne vaut même pas un clou ou relève du passé. Elle a cru que chanter mille fois cette chanson vaudra éternellement vérité. Elle s’est trompée. Elle ignore la règle immuable et millénaire qui gouverne la vie humaine : un menteur finit par se démasquer lui-même ou être démasqué soit par les siens, soit par les autres.

    Mukagasana s’est illustrée et s’illustre encore comme experte dans la propagation de la haine entre les Rwandais. Elle prétend prêcher l’amour. Or, l’amour et la haine sont deux éléments contradictoires. Là où il y a l’amour, la haine disparait ou est inexistant et vice versa. Pour elle, la haine =amour (voir le contenu de ses prêches dans ses publications et déclarations publiques).

    Mukagasana Yolande que tous les Rwandais qui ont été hospitalisés au CHK dans les années 70 et 80 connaissent a affirmé qu’elle est rescapée du génocide des Tutsi, qu’elle a perdu plusieurs membres de sa famille dont son mari et ses enfants. Son cas n’est pas unique au Rwanda.

    Or la même veuve et rescapée du génocide dits des Tutsi soutient le bien fondé de l’exhumation et l’exposition des cranes de son mari, ses enfants, ses proches et des Tutsi dont seul Kagame et consorts savent comment ils ont fait pour identifier et distinguer des ossements des victimes Tutsi de ceux des victimes Hutu (dont Mukagasana Yolanda a toujours nié l’existence) au titre des produits touristiques.

    Dans la tradition millénaire de notre pays, le respect des morts s’impose à tous les Rwandais pourvus d’humanité et de décence les plus élémentaires. La tradition se transmet de génération en génération. Même s’elle n’est pas une norme juridique au sens exact du terme, elle est une norme sociale intrinsèquement attachée au Peuple Rwandais comme à tout autre peuple humain au demeurant. C’est un élément éternel de la civilisation humaine. Son respect a la même la valeur et effet que la loi telle qu’elle est définie par l’homme dans les sociétés modernes. La loi est l’habit des agissements de l’homme dans son environnement. Son respect s’impose à tous les membres de la collectivité nationale. Il en est de même de la tradition ci-dessus évoquée. Son mépris a des effets plus néfastes que ceux de la méconnaissance de la loi car s’elle évolue avec la société, elle reste globalement immuable. La tradition est l’âme d’un Peuple quel qu’il soit. Un peuple sans tradition c’est comme un peuple sans histoire. Celui-ci est dans ce cas, un Peuple sans âme.

    Mukagasana Yolande reconnaît que, exhiber les cranes de ses enfants, de son mari, de ses frères et sœurs au titre de produits touristiques c’est-à-dire présenter ces cranes aux étrangers moyennant paiement d’une certaine somme d’argent est un acte positif. Selon elle, toute dénonciation ou condamnation de cet agissement par un Rwandais ou quiconque autre constitue un crime de négation du génocide des Tutsi ou de minimisation de celui-ci et l’auteur de cette condamnation ou dénonciation est un Interahamwe ou ennemi du Rwanda confondu avec le régime Kagame.

    S’elle lit the rwandan, je lui pose les question suivante.
    Comment une femme qui prétend avoir perdu des enfants, son mari et plusieurs proches dans les massacres de masse de 1994 peut-elle soutenir que l’exposition de leurs cranes au titre de produits touristiques est un acte positif et que quiconque le dénonce est un ennemi du Rwanda, négationniste du génocide des Tutsi, Interahamwe etc. ?

    Autrement dit, comment l’exposition des cranes des enfants, du mari et des proches (exactement identifiés par les experts dans les cranes des Tutsi rwandais) de Mukagasana Yolande destinée aux étrangers qui sont conduits comme des moutons pour les regarder moyennant une somme d’argent ne la gêne-t-il pas outre mesure?

    Selon celle-ci, c’est un acte positif et de gestion du Rwanda qu’il faut saluer et soutenir par tout moyen et quiconque le dénonce comme Madame Idamange doit être envoyé à la potence ou bucher

    C’est cet agissement immonde qui méconnaît la tradition millénaire du Peuple Rwanda qui exige le respect des morts en toutes circonstances que Yvonne Idamange a courageusement osé dénoncer haut et fort. Elle a dit clairement qu’aucune personne pourvue de discernement ne peut comprendre comment un Rwandais ou une Rwandaise en l’espèce une femme comme Mukagasana Yolande qui a prétendu avoir perdu ses enfants, son mari, ses proches et amis peut-il oser accepter que leurs crânes soient exhumés et exposés au titre des produits d’exhibition touristique et qu’ils soient regardés par les étrangers moyennant paiement d’une somme d’argent ou soient des produits d’exhibition touristique, comment des individus qui prétendent avoir perdu des leurs les déterrent et exhibent leurs crânes moyennant le paiement des sommes d’argent pour regarder leur cranes.

    Elle n’a pas dénoncé le détournement du produit généré par l’exposition des cranes dits des Tutsi dont les enfants et le mari de Mukagasana par les oligarques du régime qui ont accès direct à la caisse.

    Au regard des dires de Yolande Mukagasana, le fait d’être membre du régime Kagame et autres a gravement altéré son sens d’honnêteté intellectuelle, de décence, de dignité et d’honneur les plus élémentaires de sorte qu’elle est tombée au niveau le plus bas des caniveaux de ridicules. C’est effrayant.

    Ce qui est encore grave, c’est qu’elle prétend être membre des érudits du régime dont elle est la chantre éclairée et fait le tour du monde pour prétendument prêcher deux éléments contradictoires, la haine et l’amour tel qu’il est défini par elle. Elle opère une fuite en avant aux télévisions et télévisions rwandaises en proférant des infamies immondes contre la Vérité. Pour elle, celle-ci constitue une blessure et un crime. Le problème est que nul ne peut tuer la Vérité.

    Yvonne Idamange est la Vérité. Quiconque prétend avoir une autre vérité, il est tenu de lui opposer la sienne et nullement proférer des propos scatologiques à son endroit. Les escadrons de la mort de la police politique qu’est le RIB peuvent lui faire subir le même sort que Kizito Mihigo, Iragena Illuminée, la Voix des enfants de rue et autres mais ils doivent savoir que si par malheur ils commettent l’irréparable, ce sera la fin de leur régime. Ils seront pourchassés comme des chiens enragés et même s’ils se terrent dans les entrailles de la terre, ils seront trouvés. Ces escadrons de la mort sont déjà connus et leur liste a été établie.

    Le commerce des organes des Rwandais disparus et certains prisonniers par la mafia de la place est connu ici au Rwanda. Il est aujourd’hui connu de certains Rwandais que les trafiquants d’organes et de produits en tout genre grouillent ici.

    Exemple : Les escadrons de la mort ont liquidé Mihigo Kizito, victime du régime Kagame la plus connue dans le monde. Sa mère a-t-elle vu son corps après son assassinat ? Qu’un Rwandais qui a vu son corps puisse éclairer les Rwandais ? Qui a acheté son cercueil que des millions de Rwandais ont vu ?
    Si sa mère ou quiconque autre n’a pas vu son corps après son assassinat et que ce sont les assassins qui ont acheté le cercueil, j’ai, raisonnablement dit le jour de son enterrement que ce n’est pas le corps de Kizito Mihigo qui était dans le cercueil et qui a été inhumé. La police politique m’a cherché en vain.

    Aucun Rwandais pourvu de bon sens ne peut comprendre comment un assassin peut-il acheter le cercueil de sa victime, transporter celui-ci jusqu’au sa mise en terre complète et faire surveiller la tombe durant une semaine après l’enterrement.

    Comme je l’ai maintes fois dit, même si les Mengele du régime sanguinaire et impitoyable qui n’épargne même pas les enfants (voir les photos macabres d’enfants de rue de Kigali brûlés vifs pour avoir commis un seul crime, celui d’être pauvres ou déchets selon les propres mots de Kagame) se cachent dans les trous les plus profonds de la terre, ils seront trouvés. La liste de ces Mengele de Kagame et autres dont Rutaremara, aujourd’hui âgé de 76 ans a été établie.

    J’ose espérer que les escadrons de la mort du régime Kagame et les Mengele de celui-ci lisent the rwandan en l’occurrence. Leurs agissements ne resteront pas impunis. Le fait d’opérer une fuite en avant en enfermant cette jeune femme aggrave leur situation et est la preuve de la nature intrinsèque du régime dont ces escadrons de la mort et les Mengele sont serviteurs. Ils ont déjà dépassé les bornes dans la commission d’irréparable. L’histoire ne pardonne jamais.

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