Olivier Nduhungirehe ati: Ntabwo tuzaganira n’abakora iterabwoba!

Mu makuru ya Radio Urumuri yo Kuwa gatanu tariki ya 25 Ukwakira 2019, umunyamakuru Jean Claude Mulindahabi yaganiriye n’abatumirwa batandukanye ku bivugwa ko ibihugu by’akarere (Burundi, Rwanda, Tanzania, Uganda) bigiye kohereza ingabo zabyo mu burasirazuba bwa Congo ngo zirandure imitwe yitwaje intwaro iri muri ako parere.

Abatumirwa ni :

Olivier Nduhungirehe, Umunyamabanga wa Leta muri Ministeri y’ububanyi n’amahanga mu Rwanda

Padiri Thomas Nahimana wo mu ishyaka Ishema ry’u Rwanda

Jean Paul Turayishimye, wari umuvugizi w’ihuriro Nyarwanda RNC.

Ikiganiro mushobora kucyumva hano hasi:

1 COMMENT

  1. Le droit de s’opposer à la tyrannie est un droit fondamental inhérent à tout Homme.
    Le régime dont Nduhungirehe Olivier, fils de JC Nduhungirehe, ex-serviteur des régimes Kayibanda et Habyarimana, est un chantre ou expert dans l’aboiement est un régime tyrannique et despotique.
    Par conséquent, les Rwandais ont un droit absolu de s’opposer à celui-ci, voire même de le combattre par tous moyens en leur possession, à défaut de les écouter et de répondre positivement à leurs doléances.
    Qu’inspirent les actions menées par ces jeunes gens qui sont majoritairement nés sous le régime Kagame?
    Kagame a marché dans le sang des millions de Rwandais aux fins de s’emparer du pouvoir par la force pour prétendument libérer les Tutsi, ligotés ou détenus par le Président Habyarimana, selon lui. C’est ce slogan qu’il a colporté à grande échelle, le tout avec le concours des siens et des excroissances du FPR opérant à l’étranger.
    Le constat est que ce slogan a été ensuite enterré par Kagame en personne. Il a montré son vrai visage.
    Les jeunes gens qui tentent tant bien que mal combattre légitimement le régime Kagame, ce sont les enfants Rwandais, les enfants de la République qui ne supportent plus le mépris, la terreur, les humiliations et la tyrannie à l’encontre du Peuple Rwandais. Ils ne sont ni Hutu ni Tutsi ni Twa.
    Ce sont des Rwandais dont le courage, le sens du devoir, de sacrifice et d’abnégation doit être ou est une inspiration pour des millions de Rwandais.
    Kagame sera débarqué par les Jeunes Rwandais qui sont nés sous son régime. C’est une question de temps.
    Kagame a cru pouvoir diviser les Rwandais en trois strates distinctes à savoir par ordre, strates Tutsi en haut, Hutu au milieu et Twa en bas (article 50 de la constitution rwandaise en vigueur).
    Les actions des jeunes rwandais contre son régime constituent une preuve irréfutable de l’échec de son méfait.
    Il convient de rappeler que parmi ces combattants de la Liberté, il y a d’ex-étudiants avec les bourses FARG, des fonctionnaires et employés dans le secteur privé.
    Ils ont tout abandonné. C’est le prix à payer pour que les Rwandais recouvrent la Liberté.
    A l’instar des FDLR, les pertes sont automatiquement remplacées par de nouveaux volontaires animés par le même esprit et même détermination.
    Le FPR était composé d’éléments issus de l’armée ougandaise qui ne connaissaient donc rien sur le Rwanda réel et qui a ramassé le pouvoir cherchant preneur dans la rue. Il était donc facile de le mettre définitivement hors-jeu si ceux qui dirigeaient le Rwanda d’alors n’avaient pas démissionné et n’étaient pas la honte du Peuple Rwandais dans son ensemble.
    Par contre, les combattants du FNL ou combattants de la Liberté sont des Rwandais de l’intérieur dont l’étiquetage relève du passé ou est dépourvu de sens. Ils sont intrinsèquement issus du corps social et déterminés pour relever le défi que Kagame a lancé au Peuple Rwandais. Le pouvoir est entre les mains de Kagame qui s’y agrippe comme une tique sur une peau graisseuse d’un zébu.

    Il s’ensuit que, contrairement aux dires de Nduhungirehe Olivier, les éléments du FNL ne sont pas les ennemis du Peuple Rwandais. Ce sont les combattants de la Liberté et l’émanation directe de celui-ci. Leur combat est celui de celui du Peuple Rwandais. Ils doivent être vus et traités comme tels.

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