Yanditswe na Eric Niyomwungeri
Nyuma y’uko imiryango irenga 1000 yari ituye mu karere ka Gasabo ahazwi ku izina rya Bannyahe ibariwe agaciro k’imitungo yabo mu mwaka wa 2017; abaturage bategereje ingurane ikwiye baraheba.
Taliki 25/11/2020 nibwo ministiri w’ubutegetsi bw’igihugu prof Anastase Shyaka yabatangarije ko bamaze kubategurira aho bazatura mu cyimbo cyo kubaha ingurane.
Nyuma yo gusenyerwa bagasigara mu matongo igihe kirenga amezi 7. Ubuyobozi bwabamurikiye inzu bemerewe za studio (icyumba na salon) ziri mu karere ka Kicukiro kuri buri muturage hatitawe ku igenagaciro bari barahawe.
Amakuru dukesha ikinyamakuru umubavu.com avuga ko aba baturage bakomeje guhatirwa ayo mazu, gusa abo baturage bashaka kwishyurwa hakurikijwe igenagaciro ryabo; ubu bahisemo kugana iy’inkiko.
Kugeza uyu munsi imiryango 48 yagombaga kwimurwa ubu hamaze kwimurwa 15 gusa abandi bakaba bakibarizwa mu matongo.
Ibi bikorwa byo gusenyera abaturage bikaba byafashe indi ntera aho ubu inzego z’ibanze mu mujyi wa Kigali zatangiye gusenya inzu z’abaturage mu duce twa Kinamba, Gatsata, Gisozi, Kinyinya, Rwampara, n’ahandi zivuga ko banze kuva mu gace zivuga ko ari mu bishanga.
Ubuyobozi bw’umujyi wa Kigali buvuga ko gusenyera abaturage ari igikorwa kigamije gukiza ubuzima bw’abaturage kubera ko imvura imaze kuba nyinshi. Ndetse bukomeza kuvuga ko kubafite ibyangombwa hari gahunda yo guhabwa ingurane ikwiye ariko ubu igikorwa gihari ni ugukiza ubuzima bwabo.
Gusa amakuru ava mubaturage ni uko basaba ko ibyo leta yita gukiza ubuzima bwabo byakorwa hakurikijwe itegeko; nk’uko rivuga ko “umuntu avanwa mu mutungo we bwite ahawe ingurane ikwiye.”
Abaturage bari gusenyerwa kugeza ubu bavuga ko ntaho kujya bafite, ubuyobozi bwo buvuga ko bwemeye kubacumbikira mu byumba by’amashuri, abandi bakitabaza incuti n’imiryango bakabacumbikira.
Abaturage bakomeje gusaba gukorerwa ubuvugizi nyuma y’akarengane bakorewe aho bavuga ko bamaze kugurwa n’abashoramari ndetse ko leta yamaze kugurisha ibyabo ikaba iri kubahatira kujya gutuzwa mu ma studio ku gahato.
Turasaba abaturage gukomeza kuba maso birinda gutanga ibyangombwa by’amazu yabo kuko ubu iyi leta iri kubyitwaza igirango isibanganye ibimenyetso byose biha uburenganzira abaturage ku mitungo yabo.
Ibi bikaba byakozwe n’umuyobozi w’umujyi wa Kigali ushinzwe guteza imbere imihanda witwa UWIRINGIYIMANA Juvenal wabwiye abaturage bo mu kagali ka Kagina ho mu karere ka Kicukiro ko bagomba gutanga ibyangombwa ngo bikosorwe ariko ikigamijwe ari ukubinyaga abo baturage.
Ndasoza nshishikariza abanyarwanda aho muri hose ku isi cyane cyane urubyiruko guhaguruka tukarwanya akarengane kari gukorwa na Leta ya Kigali ikomeje guhonyora abaturarwanda ntacyo yitayeho. Igihe ni iki kugirango dusenyere umugozi umwe turwanye akarengane.
Kugeza ubu ntagisubizo kirambye kirabonerwa abaturage basenyewe. turakomeza kubakurikiranira iy’inkuru…..
Le bas peuple rwandais est “déchets ” a dit limpidement Kagame devant des millions de Rwandais.
Le monde entier a vu les enfants de rue et des mendiants en prison pour avoir commis un seul crime, celui d’être pauvres et conséquemment des déchets qui salissent sa ville, Kigali, et qu’il faut dès lors jeter à leur place réel.
Ces Rwandais n’appartiennent pas à l’humanité. Par conséquent, ils ne méritent ni compassion ni justice.
C’est pour ce motif que les méfaits de Kagame et sa clique à leur endroit ne sont pas condamnés par qui que ce soit, sauf notre Karasira Aimable, le seul qui dit les faits tels qu’ils sont, nonobstant les risques gravement encourus par lui.
Que faut-il faire ?
Un homme sans honneur et sans dignité, même un chien ne peut le respecter.
Que vaut-t-il l’homme s’il est traité de déchet par les soi-dirigeants de son pays, si son honneur et sa dignité sont impunément bafoués par ces derniers ?
Kagame prétend être au-dessus du Peuple Rwandais et donc plus fort que celui-ci.
Le Peuple Rwandais, uni comme un seul homme, car il est unique et indivisible et ce, pour l’éternité, doit oser lui prouver qu’il se trompe.
Nul ne peut prétendre être supérieur au Peuple Rwandais. L’unité faisant la force, les Rwandais doivent agir ce concert pour mettre Kagame et sa clique à leur place réelle, le tout au lieu de pleurnicher dans tous les coins de rue.
La condition sine qua none pour faire comprendre à Kagame et sa bande qu’ils ne valent rien en dehors du Peuple Rwandais, il faut préalablement avoir intrinsèquement intégré le sens du sacrifice.
L’honneur, la dignité et le respect n’ont pas de prix. Sans le sens de sacrifice parfaitement intégré par les Rwandais, il n’y aura pas de changement dans ce pays.
Les exemples des Peuples courageux sont nombreux. Le plus connu récent en Afrique est le Peuple Burkinabé. Par leur courage et détermination, Blaise Compaoré mis à sa place réel. Au Burkina Fasso, sait le sort qui lui sera réservé au cas où il tenterait de mépriser son Peuple. C’est ce courage qui fait défaut au Peuple Rwandais, Peuple qui, pourtant, qui vient du fond des âges.
Kagame a-t-il des prisons pour des millions de Rwandais ? Sûrement pas.
Il ne fait pas oublier que nous sommes dans une ère de la haute technologie de l’information et que, par conséquent si Kagame ose commettre les mêmes forfaits que ceux commis en RDC contre les Rwandais et les Congolais, il ne pourra sûrement pas échapper à la Cour Pénale Internationale même si le Rwanda n’est pas parti au Traité de Rome.
Il n’y a ni respect ni compassion ni justice à l’endroit des pleurnichards.
Au lieu de pleurnicher, agissez de concert et vite. Et le monde vous soutiendra. Dans le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui, le soutien est apporté à celui qui prouve qu’il mérite être soutenu. Il en est de même du respect.
Dix Karassira Aimable alliés à des actions concrètes des Rwandais, agissant de concert, vite et d’une manière ordonnée suffisent amplement pour faire comprendre à la clique mafieuse à la tête de notre pays que nul ne peut impunément prétendre être au-dessus du Peuple Rwandais. Or, à ce jour, le constant macabre est qu’il n’y a qu’un seul Karasira Aimable.
Sur l’échelle du temps, l’homme n’est que de passage ici-bas. Les années ne produisent pas les âges. Elles produisent la vieillesse. L’héritage que l’homme laisse ici-bas est ce qu’il a fait de bon pour les siens et pour la communauté nationale dont il est issu et qui l’a fait.
Quand il se réveille le matin, chaque Rwandais ne devrait-il pas se regarder dans la glace d’abord et regarder ensuite ses enfants et se poser les questions suivantes ?
1/ Que vaux-je devant mes enfants et les Rwandais?
2/ Quel héritage laisserai-je à mes enfants et au Rwanda, le pays de mes ancêtres ?
3/ Nos enfants, sont le Rwanda de demain, que retiendront-ils de moi?
Kagame et sa clique, eux ne se posent pas ces questions.
La course effrénée aux biens matériels est la seule valeur qui guide leur vie et leurs actions. Ils ont inculqué cette valeur à leurs progénitures et entendent l’inculquer à toute la société rwandaise. D’où la décadence morale d’une exceptionnelle gravité qui frappe la société rwandaise d’aujourd’hui y compris les communautés religieuses.
La considération d’un Rwandais par un autre Rwandais, sauf quelques exceptions, est fondée sur la nature et la quantité de son portefeuille. Plus son portefeuille est bien garni, plus il mérite respect et considération. Le centre de l’action politique des « dirigeants » rwandais et des relations sociales et humaines dans ce pays est le portefeuille détenu par le Rwandais. Les faits macabres d’actualité en sont la parfaite illustration : vols, assassinats, meurtres, viols même des enfants par les membres de leurs familles, empoisonnements, corruption généralisée, respect de la parole donnée inexistant au Rwanda, disparition de la solidarité sociale, la jalousie, la haine même à l’endroit des personnes que l’on ne connait pas etc. gangrènent la société rwandaise actuelle. Ces maux dont les conséquences dont il est difficile de mesure leur gravité à long terme sur notre pays sont devenus des valeurs parfaitement intégrées par les Rwandais de niveau social. Il y a, bien entendu des exceptions dans la masse populaire et sûrement dans l’oligarchie de la place car pour un dirigeant ou un gestionnaire de bien public rwandais, être intègre est constitutif d’un acte de mauvaise gestion du bien public dont il la charge et conséquemment un danger pour les membres de l’oligarchie de la place ici au Rwanda. Pour être membre de celle-ci, il faut impérativement respecter les valeurs qui gouvernent son fonctionnement. A défaut, l’intéressé est éjecté et/ou renvoyée en prison ou prend le chemin de l’exil. Il est livré aux chiens par le club d’oligarques mafieux et leurs porte-paroles que sont les médias d’Etat. La parfaite illustration est un ancien faut fonctionnaire, alors numéro deux du ministère de la défense qui a refusé la surfacturation des marches publics et les sacoches de plusieurs millions de nos francs donnés par les candidats aux marches publics de son ministère et tenté d’éradiquer ce mal qui rongeait son ministère. S’il lit the rwanden, il se reconnaîtra. Résultat : il a été limogé et renvoyé en prison par Kagame. Il est actuellement en exil forcé.
Le constat: les gestionnaires des caisses publiques ont une seule mission: vider les caisses de l’Etat en toute impunité et ainsi afficher avec arrogance leur opulence; pour montrer qu’ils sont au-dessus de la masse populaire rwandaise, en sus des détournements massifs de deniers publics, ils se livrent à la spoliation des Rwandais de leurs biens immobiliers; ils détruisent des habitations des milliers de familles rwandaises et envoient ainsi dans la rue sans scrupule des femmes, enfants et hommes rwandais de tous âges; ces Rwandais sont traités de déchets par ces rapaces mafieux; le drame est que les responsables religieux, par leur silence sur ces actes immoraux participent à la diffusion de cette décadence morale dans tout le corps social rwandais. Des valeurs humaines universelles qui distinguent l’homme de l’animal sont des éléments dépourvus de sens dans la société rwandaise d’aujourd’hui.
Le Président dit des Rwandais, sans choquer le moins du monde, a publiquement dit à ses ministres que leur mission est d’abord de s’enrichir et secondairement être au service des Rwandais. Ces deux missions sont incompatibles : il leur a demandé d’affamer les Rwandais par les détournements massifs de deniers publics et d’être au service de ceux qu’ils ont affamé ou affament. Aussi, des millions de Rwandais ont vu Kagame appelé ses ministres de vider modèlement les caisses de l’Etat dont ils sont gestionnaires. Il a même cité publiquement les plus méritants dans ce domaine dont le ministre de la justice. Il ne s’agit pas ici du problème Hutu-Tutsi qui, à mon sens est un problème strictement politique et nullement ethnique comme je l’ai maintes fois démontré sans être contredit par qui que ce soit. Le problème dont souffre gravement notre pays et les Rwandais est Kagame et sa clique sous la houlette de Nyaramongi Kagame Jeannette qui, en fait dirige actuellement le Rwanda. Elle s’est dotée d’un groupe de conseillers occultes de Burundais, ses anciennes connaissances au Burundi à savoir les Sans-Echec qui grouillent ici au Rwanda. En guise de reconnaissance pour les services qu’ils lui ont rendus lorsqu’ils étaient aux affaires, leurs enfants bénéficient des bourses d’études des associations de Jeannette Kagame et du FARG alors que les enfants rwandais issus de la masse populaire pauvre en sont exclus. L’impunité des méfaits contre les Rwandais est assurée par le ministre de la justice et procureur général BUSINGYE Johnston, ougandais de naissance. Celui-ci a toujours son passeport ougandais et un des membres du club d’oligarchie rwandaise.